1
’entre-deux-guerres, un Lawrence, un Caldwell, un
Miller
et leurs imitateurs. Voici ce que nous disaient ces hommes : « Nous e
2
e parti au pouvoir. Ainsi, Faulkner, Hemingway et
Miller
, nolens volens, servent Truman (même s’ils ont écrit sous Roosevelt).
3
américains de « tirer parti » du pessimisme d’un
Miller
ou d’un Faulkner, pour faire de leurs livres des « rabatteurs de doll
4
œuvres « pessimistes » de Faulkner et surtout de
Miller
, loin d’être des best-sellers, tirent à 5 ou 20 000 exemplaires, tand
5
de rapports avec les vomissements décrits par un
Miller
, que la réalité américaine avec ce qu’en écrit un stalinien. Ceci dit
6
st un triomphe mondial qui réduit à néant ceux de
Miller
à Paris, c’est que la majorité du grand public est imbécile. Il faut
7
r L’Humanité tout se résume dans le pessimisme de
Miller
, dont le succès, je l’ai montré, loin d’être le fait des éditeurs amé
8
en ôtant les « idées ». Simplifions par Céline et
Miller
, voulez-vous ? Je n’ai pas cité bien d’autres écrivains fameux, qui a
9
dans Proust, l’inceste dans Musil, la luxure dans
Miller
, ou le simple coït dans l’amour ? Il voit ce qui le choque, qui est a
10
dans Proust, l’inceste dans Musil, la luxure dans
Miller
, ou le simple coït dans l’amour ? Il voit d’abord ce qui le choque, q