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le rire de Kierkegaard. Ce n’est pas le rire d’un
Molière
: Molière fait rire la foule au dépens de l’extravagant. Mais Kierkeg
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Kierkegaard. Ce n’est pas le rire d’un Molière :
Molière
fait rire la foule au dépens de l’extravagant. Mais Kierkegaard rit t
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se blessure. Et Don Juan bondit sur la scène : de
Molière
à Mozart, c’est la grande éclipse du mythe. Mais à partir du roman de
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ration. 141. Celui de Mozart plutôt que celui de
Molière
, beaucoup moins significatif à mon avis, et qui d’ailleurs n’eut aucu
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se blessure. Et Don Juan bondit sur la scène : de
Molière
à Mozart, c’est la grande éclipse du mythe. Mais à partir du roman de
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n 1947. 159. Celui de Mozart plutôt que celui de
Molière
, beaucoup moins significatif à mon avis, et qui d’ailleurs n’eut aucu
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se blessure. Et Don Juan bondit sur la scène ; de
Molière
à Mozart, c’est la grande éclipse du mythe. Mais à partir du roman de
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1967.) 148. Celui de Mozart plutôt que celui de
Molière
, beaucoup moins significatif à mon avis, et qui d’ailleurs n’eut aucu
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le rire de Kierkegaard. Ce n’est pas le rire d’un
Molière
: Molière fait rire la foule aux dépens de l’extravagant. Mais Kierke
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Kierkegaard. Ce n’est pas le rire d’un Molière :
Molière
fait rire la foule aux dépens de l’extravagant. Mais Kierkegaard rit
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uelque chose dans Villon, Shakespeare, Cervantès,
Molière
, et une fois dans Racine. La misère humaine est mise à nu, à propos d
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e une apparente et passagère éclipse du mythe. De
Molière
à Mozart, c’est Don Juan qui occupe la scène de sa présence insolente