1 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
1 le rire de Kierkegaard. Ce n’est pas le rire d’un Molière  : Molière fait rire la foule au dépens de l’extravagant. Mais Kierkeg
2 Kierkegaard. Ce n’est pas le rire d’un Molière : Molière fait rire la foule au dépens de l’extravagant. Mais Kierkegaard rit t
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
3 se blessure. Et Don Juan bondit sur la scène : de Molière à Mozart, c’est la grande éclipse du mythe. Mais à partir du roman de
4 ration. 141. Celui de Mozart plutôt que celui de Molière , beaucoup moins significatif à mon avis, et qui d’ailleurs n’eut aucu
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
5 se blessure. Et Don Juan bondit sur la scène : de Molière à Mozart, c’est la grande éclipse du mythe. Mais à partir du roman de
6 n 1947. 159. Celui de Mozart plutôt que celui de Molière , beaucoup moins significatif à mon avis, et qui d’ailleurs n’eut aucu
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
7 se blessure. Et Don Juan bondit sur la scène ; de Molière à Mozart, c’est la grande éclipse du mythe. Mais à partir du roman de
8 1967.) 148. Celui de Mozart plutôt que celui de Molière , beaucoup moins significatif à mon avis, et qui d’ailleurs n’eut aucu
5 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
9 le rire de Kierkegaard. Ce n’est pas le rire d’un Molière  : Molière fait rire la foule aux dépens de l’extravagant. Mais Kierke
10 Kierkegaard. Ce n’est pas le rire d’un Molière : Molière fait rire la foule aux dépens de l’extravagant. Mais Kierkegaard rit
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
11 uelque chose dans Villon, Shakespeare, Cervantès, Molière , et une fois dans Racine. La misère humaine est mise à nu, à propos d
7 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
12 e une apparente et passagère éclipse du mythe. De Molière à Mozart, c’est Don Juan qui occupe la scène de sa présence insolente