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e entre trente-six-mille autres dans l’ouvrage de
M. Monod
. Vous savez qu’il a 3000 pages. Mais que dites-vous de ces deux phras
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t, très exactement, mon point de vue, que mon ami
Monod
exprime ici. Le terrain du bon sens, eh oui ! c’est bien cela ! Moi.
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n du bon sens, eh oui ! c’est bien cela ! Moi. —
M. Monod
dit même : « Le terrain concret de l’humble bon sens cartésien. » Éti
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Pardonnez-moi d’ergoter… Mais je sais bien ce que
M. Monod
voulait dire : il pense que les jeunes « réacteurs » se placent plus
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nce… » Mme Nicodème. — Comme c’est bien dit ! Ce
M. Monod
a vraiment le don de la formule. Et quelle charité dans tout ce qu’il
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c’est déprimant ! Nicodème. — Ma chère Poupette,
M. Monod
ne voulait pas dire ce que tu crois. Il est, comme moi d’ailleurs, un
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du paradoxe, comme l’appelle si joliment mon ami
Monod
. » Selon Nicodème, le terme d’existentiel n’était qu’une locution phi
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mprises que Sabatier, tantôt l’humble bon sens de
M. Monod
, tantôt la science universelle du même auteur. Cette espèce de cacoph
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vait repris en main le « monument » du professeur
Monod
, et s’amusait à lire à ses voisins certains passages qui éveillaient
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eptionnelle par ses dimensions que par son style.
M. Wilfred Monod
est actuellement le représentant le plus marquant d’une famille dont
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mieux que d’écrire un pamphlet contre la race des
Monod
, les traditions, l’esprit et l’idéologie de cette « tribu ». Il sembl
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l’apparence paradoxale est typique de l’esprit de
M. Monod
, figure sans aucun doute le document le plus complet que le modernism
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ance, à cause du Bien. D’une part, en effet, dit
M. Monod
, « l’athéisme n’explique pas la Beauté, la Joie, l’Amour, la Sainteté
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ur Barth, c’est Dieu qui met l’homme en question.
M. Monod
part au contraire d’une mise en question de « Dieu » par la conscienc
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se et restreinte que celle que je lui donne ici —
M. Monod
rejoint souvent des conclusions théologiques que Barth ne saurait ren
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re adversaire — l’athée et l’orthodoxe desséché —
M. Monod
recourt au fait de son expérience intérieure. Après avoir montré que
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rétien qui prie en marchant », — voilà qui pose à
M. Monod
le problème central de ce livre. Faudra-t-il donc revenir à Marcion,
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e Dieu, est venu pour combattre et pour vaincre ?
M. Monod
le pense. Jésus, dit-il, « n’est pas venu nous enseigner que l’univer
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chéri davantage le paradoxe depuis Kierkegaard —
M. Monod
déduit de cette « hypothèse de travail » une réaffirmation du dogme t
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mouvant souci. À cet égard, on peut bien dire que
M. Monod
revient de loin. Les Soliloques dans la nuit, fragments d’un journal
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s calembours trop plaisants. Je dirai, pastichant
M. Monod
, que ces ébauches suggestives ne vont pas sans quelque débauche intel
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système d’un autre Emmanuel — Kant en l’espèce ?
M. Monod
ne saurait m’en vouloir de lui retourner une boutade qui porte évidem