1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 éalistes. Voire. On est moins libre à Moscou qu’à Montparnasse . D’ailleurs leurs théories nous ramèneraient vite l’âge de la pierre,
2 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
2 Déjà nous traversons la nuit rose et violette de Montparnasse . Là, l’insondable lubie d’un agent nous immobilise une minute aux lis
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
3 Déjà nous traversons la nuit rose et violette de Montparnasse . Là, l’insondable lubie d’un agent nous immobilise une minute aux lis
4 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
4 envoi aux calendes de la Grande Communication… ⁂ Montparnasse . — Stupidité triste, parfois insolente, et lourde, de cette populatio
5 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
5 de haïr et aucune d’admirer. Au sortir de la gare Montparnasse , ces bouffées de chaleur insupportable qui montent du trottoir bleu h
6 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
6 renvoi aux calendes de la Grande Communication… Montparnasse . — Stupidité triste, parfois insolente et lourde, de cette population
7 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
7 ubourg Saint-Germain (comme on disait naguère) et Montparnasse se mêlaient à merveille. Le déhanchement des inversions et l’odeur so
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
8 des aînés qui sont de la partie, dans le triangle Montparnasse , Sorbonne, Saint-Germain-des-Prés. J’y vais en train, vingt-cinq minu
9 en train, vingt-cinq minutes de Clamart à la gare Montparnasse , plus huit minutes à pied de la voûte d’entrée de notre bloc à la gar
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
10 de haïr et aucune d’admirer. Au sortir de la gare Montparnasse , ces bouffées de chaleur insupportable qui montent du trottoir bleu h
10 1947, Articles divers (1946-1948). La balance n’est pas égale entre les États-Unis et l’URSS (8 novembre 1947)
11 son désespoir « dans son pays » : c’est la vie de Montparnasse entre les deux guerres que décrivent ses Tropiques, publiés à Paris,
11 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
12 teurs venus de toute l’Europe à Montmartre puis à Montparnasse  : Picasso et Miro, Chirico et Modigliani, Max Ernst et Hans Arp, Sout
12 1985, Articles divers (1982-1985). Quelques-uns de mes écrivains : anecdotes (1985)
13 ans un petit restaurant chinois, derrière la gare Montparnasse . Nous remontons à pied la rue de Rennes, contournons la gare, et lon