1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 ations qui les aimaient, viola leur sanctuaire de Montségur — le Montsalvat de la légende du Graal44 — enfin saccagea brutalement
2 rien aux influences courtoises. Le Montsalvat (ou Montségur ) des chastes (ou cathares) y est remplacé par le Venusberg ! 85. Le
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
3 ahn, la Table ronde du Parzival, au sanctuaire de Montségur ou « Montsalvat » — dernière forteresse des cathares — c’était le sym
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
4 e. 43. Voir l’excellent ouvrage de Fernand Niel, Montségur , la montagne inspirée, 1955. « Si Montségur n’a pas été le château du
5 Niel, Montségur, la montagne inspirée, 1955. « Si Montségur n’a pas été le château du Graal [comme l’affirmait Rahn] aucun autre
6 e hypothèse sont ceux qui n’ont pas vu le site de Montségur . Le choc émotif profond provoqué par l’apparition formidable du pic s
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
7 e. 36. Voir l’excellent ouvrage de Fernand Niel, Montségur , la montagne inspirée, 1955. « Si Montségur n’a pas été le château du
8 Niel, Montségur, la montagne inspirée, 1955. « Si Montségur n’a pas été le château du Graal [comme l’affirmait Rahn] aucun autre
9 e hypothèse sont ceux qui n’ont pas vu le site de Montségur . Le choc émotif profond provoqué par l’apparition formidable du pic s
5 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
10 le Graal d’Otto Rahn, jeune Allemand fasciné par Montségur , où il croit reconnaître le château du Graal, et qui mourra mystérieu
11 la renaissance d’une mystique occitane autour de Montségur , d’une « aventure nouvelle » (selon Robert Lafont) et qu’avec les étu
12 e pas à écrire : « Il n’y a jamais eu de bûcher à Montségur  » ? Voilà une bonne nouvelle, mais elle arrive trop tard pour les deu
13 a qui se passe aussi quand je relis Otto Rahn sur Montségur ou Luigi Valli sur Dante, ou Ferdinand de Saussure sur le décodage de