1 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
1 liquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar , sous les marronniers. À quatre heures, l’orchestre s’est mis à jouer
2 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
2 liquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar , sous les marronniers. À quatre heures, l’orchestre s’est mis à jouer
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
3 liquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar , sous les marronniers. À quatre heures, l’orchestre s’est mis à jouer
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
4 liquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar , sous les marronniers. À quatre heures, l’orchestre s’est mis à jouer
5 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
5 ut être qu’à venir, — à revenir dans le mythe. Le Neckar sera beau quand d’une Grèce dorienne — Cap Sounion, Olympie, temples
6 vec ses prés charmants et les saules des rives ». Neckar imaginé comme enfance perdue, mais aussi comme aimé de loin, dans un
7 ’essai cité, page 268 éd. de la Pléiade. 27. Le Neckar , Pléiade, p. 459. 28. Une sorte de futur, en réalité, comme le futur