1 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
1 uoi le Congrès se tient-il à Bombay ? — Parce que M. Nehru le veut ainsi. (Réponse propre à faire croire au fonctionnaire que c’
2 propre à faire croire au fonctionnaire que c’est M. Nehru qui patronne le Congrès, alors qu’en vérité, il s’est borné à le dépl
3 ns. Mon opinion sur la neutralité de l’Inde ? Sur Nehru  ? Éclair de magnésium. Aveuglé, je comprends, et m’efforce de donner
4 ec lui dans la lutte et d’en sortir contaminé. ⁂ Nehru . — L’un de ses anciens amis m’a mis en garde. « Nehru, me disait-il,
5 u. — L’un de ses anciens amis m’a mis en garde. «  Nehru , me disait-il, suit en toute occasion la ligne approuvée par les Russ
6 agons de céréales, on salue la grandeur du geste. Nehru , qui a visité la Russie soviétique il y a vingt ans, la tient pour le
7 ance de clôture du congrès, s’est écrié : « Votre Nehru , c’est l’un des six ou sept qui dirigent aujourd’hui le monde et qui
8 ndant une entrevue « banale », et c’est son prix. Nehru est un brahmine éduqué à Cambridge, un aristocrate libéral inclinant
9 ce de l’Histoire. Il y a beaucoup de caprice chez Nehru . À l’inverse d’un Staline, d’un Hitler, mais peut-être aussi d’un Gan
10 ant oublier l’un comme l’autre.) Sur le visage de Nehru , l’âme affleure et vient en surface. Mais dans son être intime, le re
11 agie. Cette crise profonde de l’Inde se résume en Nehru . J’en suis sûr maintenant : ce grand Indien, qui libéra son peuple de
12 sait pas quel camp choisir. Comme on comprend que Nehru , qui doit « jouer » pour elle sur le plan international, ne soit tent
13 on abstention. Mais sur quelles valeurs positives Nehru peut-il fonder le double refus qui paraît inspirer sa politique ? Au
14 tions en face de l’URSS… et un portrait nuancé de Nehru . »
2 1953, Articles divers (1951-1956). Pourquoi je suis Européen (20 juin 1953)
15 se présente et les forces virtuelles de l’Europe. Nehru , énumérant les puissances qui comptent dans notre monde, citait, l’au
3 1954, Articles divers (1951-1956). Ce petit cap de l’Asie (1er juin 1954)
16 otre colonialisme. Ne sauront-ils pas voir aussi, M. Nehru le premier, que nous nous en allons, mais que les autres arrivent ! L
4 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
17 us avons essayé d’agir auprès de l’ONU, auprès de Nehru , auprès de l’opinion libre. Mais l’ONU ne trouve quelque force et n’a
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
18 llustre d’une « conscience », le Premier ministre Nehru . Lorsque, à la conférence de Colombo, les Cingalais demandèrent que l
19 s menées communistes dans les pays libres d’Asie, Nehru dit oui, mais à la condition que fussent également condamnées les men
6 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
20 il n’y a presque rien de commun. À tel point que M. Nehru , qui fut l’un des créateurs de l’unité indienne, pour avoir contribué
7 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
21 ème tamil, ne peuvent s’entendre qu’en anglais et Nehru leur parlait en anglais. Les Chinois recourent à l’échange muet d’idé
8 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
22 le tamil, ne peuvent s’entendre qu’en anglais, et Nehru leur parlait en anglais. Les Chinois recourent à l’échange muet d’idé
9 1971, Articles divers (1970-1973). L’Europe est d’abord une unité de culture (1971)
23 res les unes aux autres, et qu’en Inde, le Pandit Nehru ne pouvait se faire comprendre qu’en anglais de l’immense majorité de