1 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
1 Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis , des mélodies de Bach. Après le Notre Père, chacun s’en va, sérieux,
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
2 Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis , des mélodies de Bach. Après le Notre Père, chacun s’en va, sérieux,
3 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
3 notre langue13 ? Alors que toute l’Allemagne des Novalis , des Schelling et des Schlegel philosophe ardemment autour de cette «
4 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
4 e nous présente sont inconnus du public français, Novalis et Ruysbroeck mis à part ; et beaucoup sont de grands poètes, des phi
5 erine Emmerich, et qui mérite au moins autant que Novalis de figurer parmi les grands mystiques modernes. Mais sans doute M. Ch
5 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
6 lle nous révèle sont inconnus du public français, Novalis et Ruysbroeck mis à part ; et beaucoup sont de grands poètes, des phi
6 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
7 ches d’un Valéry ou d’un Claudel avec celles d’un Novalis , par exemple. Ce serait l’occasion de réviser bien des préjugés ancré
7 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
8 gement n’était pas pris pour ce monde », écrivait Novalis songeant à sa fiancée perdue. C’est l’émouvante formule de la fidélit
9 limation d’Éros. » 98. Comme le croira cependant Novalis renouvelant la mystique courtoise et les vieilles traditions celtique
8 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
10 est celle de Jean-Paul à la mort de ses amis, de Novalis perdant Sophie von Kühn ou de Nerval poursuivant l’image d’Aurélia, A
11 ie des sublimations — sauf peut-être Jean-Paul et Novalis . Ils n’arrivent pas à retrouver dans leur au-delà une Présence qui pa
12 que. Et je ne dis pas du tout que les écrits d’un Novalis ou d’un Jean-Paul soient à sa source ; ce serait absurde. Mais je dis
9 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
13 ’Éternel féminin nous entraîne », dira Goethe. Et Novalis  : « La femme est le but de l’homme. » Ainsi l’aspiration vers la Lumi
10 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
14 seul avec tout ce qu’on aime », écrira plus tard Novalis , ce mystique de la Nuit et de la Lumière secrète. Cette maxime tradui
15 t Thérèse d’Avila disait, plusieurs siècles avant Novalis , que dans l’extase, l’âme doit penser « comme s’il n’y avait que Dieu
11 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
16 rimitif — l’on arrive à Jean-Paul, à Hölderlin, à Novalis . Dans la panique de la Révolution, de la Terreur, des guerres europée
17 a sans cesse notre union.148 Journal intime de Novalis  : Lorsque j’étais sur le tombeau [de sa fiancée] la pensée m’est ven
18 ment n’était pas pris pour ce monde… Maximes de Novalis  : Toutes les passions finissent comme une tragédie, tout ce qui est
19 e de Jean-Paul. Elle se confond avec l’amour chez Novalis . Elle fut pour Kleist « le seul accomplissement » possible d’une « pa
20 sion de foi de la « religion nouvelle » rêvée par Novalis et ses amis : Elle aussi, l’ère du Christ, que Dieu nous voile, Pass
21 ire : trop rigoureux… Auprès de lui, Jean-Paul et Novalis feront toujours figure d’adolescents. Le goût de la mort, chez les Al
22 , disciple de Schelling. 152. Voir le Journal de Novalis , et le portrait qu’il donne de sa fiancée perdue, Sophie von Kühn, mo
12 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
23 gement n’était pas pris pour ce monde », écrivait Novalis songeant à sa fiancée perdue. C’est l’émouvante formule de la fidélit
24 blimation d’Éros. 201. Comme le croira cependant Novalis , renouvelant la mystique courtoise et les vieilles traditions celtiqu
13 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
25 ’Éternel féminin nous entraîne », dira Goethe. Et Novalis  : « La femme est le but de l’homme. » Ainsi l’aspiration vers la lumi
14 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
26 seul avec tout ce qu’on aime », écrira plus tard Novalis , ce mystique de la Nuit et de la Lumière secrète. Cette maxime tradui
27 t Thérèse d’Avila disait, plusieurs siècles avant Novalis , que dans l’extase, l’âme doit penser « comme s’il n’y avait que Dieu
15 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
28 rimitif — l’on arrive à Jean-Paul, à Hölderlin, à Novalis . Dans la panique de la Révolution, de la Terreur, des guerres europée
29 a sans cesse notre union166. Journal intime de Novalis  : Lorsque j’étais sur le tombeau [de sa fiancée] la pensée m’est venu
30 ent n’était pas pris pour ce monde… Maximes de Novalis  : Toutes les passions finissent comme une tragédie, tout ce qui est l
31 e de Jean-Paul. Elle se confond avec l’amour chez Novalis . Elle fut pour Kleist « le seul accomplissement » possible d’une « pa
32 sion de foi de la « religion nouvelle » rêvée par Novalis et ses amis : Elle aussi, l’ère du Christ, que Dieu nous voile, Pass
33 ire : trop rigoureux… Auprès de lui, Jean-Paul et Novalis feront toujours figure d’adolescents. Le goût de la mort, chez les Al
34 , disciple de Schelling. 170. Voir le Journal de Novalis , et le portrait qu’il donne de sa fiancée perdue, Sophie von Kühn, mo
16 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
35 gement n’était pas pris pour ce monde », écrivait Novalis songeant à sa fiancée perdue. C’est l’émouvante formule de la fidélit
36 imation d’Éros ». 219. Comme le croira cependant Novalis , renouvelant la mystique courtoise et les vieilles traditions celtiqu
17 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
37 ’Éternel féminin nous entraîne », dira Goethe. Et Novalis  : « La femme est le but de l’homme. » Ainsi l’aspiration vers la lumi
18 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
38 seul avec tout ce qu’on aime », écrira plus tard Novalis , ce mystique de la Nuit et de la Lumière secrète. Cette maxime tradui
39 t Thérèse d’Avila disait, plusieurs siècles avant Novalis , que dans l’extase, l’âme doit penser « comme s’il n’y avait que Dieu
19 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
40 rimitif — l’on arrive à Jean-Paul, à Hölderlin, à Novalis . Dans la panique de la Révolution, de la Terreur, des guerres europée
41 a sans cesse notre union.155 Journal intime de Novalis  : Lorsque j’étais sur le tombeau [de sa fiancée] la pensée m’est ven
42 ment n’était pas pris pour ce monde… Maximes de Novalis  : Toutes les passions finissent comme une tragédie, tout ce qui est
43 e de Jean-Paul. Elle se confond avec l’amour chez Novalis . Elle fut pour Kleist « le seul accomplissement » possible d’une « pa
44 sion de foi de la « religion nouvelle » rêvée par Novalis et ses amis : Elle aussi, l’ère du Christ, que Dieu nous voile, Pass
45 ire : trop rigoureux… Auprès de lui, Jean-Paul et Novalis feront toujours figure d’adolescents. Le goût de la mort, chez les Al
46 , disciple de Schelling. 159. Voir le Journal de Novalis , et le portrait qu’il donne de sa fiancée perdue, Sophie von Kühn, mo
20 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
47 gement n’était pas pris pour ce monde », écrivait Novalis songeant à sa fiancée perdue. C’est l’émouvante formule de la fidélit
48 e « le but de l’homme » comme le croira cependant Novalis , renouvelant la mystique courtoise et les vieilles traditions celtiqu
21 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
49 est celle de Jean-Paul à la mort de ses amis, de Novalis perdant Sophie von Kuhn, de Guérin méditant sur la mort de Marie, ou
50 ie des sublimations — sauf peut-être Jean-Paul et Novalis . Ils n’arrivent pas à retrouver, dans leur au-delà, une présence qui
51 que. Et je ne dis pas du tout que les écrits d’un Novalis ou d’un Jean Paul soient à sa source, ce serait absurde et injurieux
22 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
52 Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis , des mélodies de Bach. Après le Notre Père, chacun s’en va, sérieux,
23 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
53 plaçais Pascal et Rimbaud mais aussi Hölderlin et Novalis à l’ascendant de mon horoscope idéal, le réel étant goethéen non seul
24 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
54 it oder Europa, selon le titre du fameux essai de Novalis . Les masses comme les élites échappent aux Églises. Elles ne croient
25 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
55 it oder Europa, selon le titre du fameux essai de Novalis . Les masses comme les élites échappent aux Églises. Elles ne croient
26 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
56 engagement n’était pas pris pour cette vie », dit Novalis parlant de sa fiancée perdue. Sur la tombe de Tristan et d’Iseut, deu
27 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
57 ent être des ingénieurs des mines : Swedenborg et Novalis . 36. Le modèle qui servit à Goethe pour écrire la fin du second Faus
28 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
58 lse : Liber paramirum. 63. — Prognostication. 64. Novalis  : Poésies et fragments philosophiques. 65. Hölderlin : Poèmes. 66. Ch
29 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
59 engagement n’était pas pris pour cette vie », dit Novalis parlant de sa fiancée perdue. Sur la tombe de Tristan et d’Iseut, deu
30 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
60 ent être des ingénieurs des mines : Swedenborg et Novalis . 74. Le modèle qui servit à Goethe pour écrire la fin du second Faus
31 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
61 ous un Goethe, créant le personnage de Mignon, un Novalis dédiant son œuvre à l’amour de Sophie von Kuhn, morte à 11 ans, un Ed
32 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
62 é des esprits et des cœurs, telle que l’a décrite Novalis  : nous savons aujourd’hui qu’il n’en fut rien, et que les conflits qu
33 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
63 é des esprits et des cœurs, telle que l’a décrite Novalis  : nous savons aujourd’hui qu’il n’en fut rien, et que les conflits qu
34 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
64 é des esprits et des cœurs, telle que l’a décrite Novalis  : nous savons aujourd’hui qu’il n’en fut rien, et que les conflits qu
35 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
65 aration, parce que « leur engagement — comme dira Novalis — n’était pas pris pour cette vie », mais pour l’autre ? S’il est une
36 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
66 nous un Goethe créant le personnage de Mignon, un Novalis dédiant son œuvre à l’amour de Sophie von Kuhn, morte à 11 ans, un Ed
37 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
67 aration, parce que « leur engagement — comme dira Novalis  — n’était pas pris pour cette vie », mais pour l’autre ? S’il est une
38 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
68 28. Les citations sont de saint Jean de la Croix, Novalis , et Wagner (dans Tristan). 129. Paul Éluard. 130. Marc, 4, 32.
39 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
69 aste est total avec les conceptions des Schlegel, Novalis et Görres, ses cadets d’une quinzaine d’années — qui bientôt accusero
40 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
70 anique : un groupe de romantiques catholicisants, Novalis , Görres, Baader et Adam Müller ; et un groupe de philosophes aux vues
41 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
71 7.Synthèses historico-philosophiques (II) Novalis (Friedrich von Hardenberg) (1772-1802) avait écrit en 1799 déjà un es
72 devenir la nostalgie commune de tous les amis de Novalis , penseurs, artistes et poètes, catholiques de naissance ou néophytes
73 atholiques de naissance ou néophytes comme le fut Novalis lui-même : Schlegel, Schelling, Görres, Baader, Adam Müller, Clemens
74 ème des Hymnes à la Nuit — qui a toujours fasciné Novalis , n’est pas seulement une vision utopique du passé, jetée à la face du
75 istre, il communie dans l’espérance œcuménique de Novalis . Dans un écrit qu’il adresse en 1814 aux empereurs de Russie et d’Aut
76 e fermer les cycles inaugurés par Herder, Kant et Novalis , et c’est pourquoi nous le plaçons ici, quoique son « Système » porte
77 e Fichte et l’essai sur l’Europe de Gentz. Ami de Novalis dans sa jeunesse et devenu plus tard catholique comme lui, il fut l’u
42 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
78 unité ». Cette utopie à rebours, qui fut celle de Novalis dans La Chrétienté ou l’Europe, est devenue lieu commun pour l’école
79 riedrich Heer — si la légende d’un Moyen Âge à la Novalis a vécu, si ce passé était fort loin d’être aussi chrétien qu’on l’a d
43 1962, Arts, articles (1952-1965). Le miracle européen a créé le monde civilisé (6 juin 1962)
80 l’Europe au christianisme, comme voulut le faire Novalis dans son célèbre essai intitulé Die Christenheit oder Europa, c’est f
44 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
81 l’Europe au christianisme, comme voulut le faire Novalis dans son célèbre essai intitulé Die Christenheit oder Europa, c’est f
45 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
82 t celle d’un Racine, d’un Newton, d’un Kant, d’un Novalis , d’un Kierkegaard, qui n’ont vécu que dans leur seule nation, et d’el
46 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Entretien avec Denis de Rougemont (6-7 avril 1968)
83 Suisse français, je me suis nourri de Goethe, de Novalis , et de Hölderlin que les jeunes Français ne connaissaient pas. On peu
47 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les prophètes de la décadence (24 septembre 1970)
84 é des esprits et des cœurs, telle que l’a décrite Novalis  : nous savons aujourd’hui qu’il n’en fut rien, et que les conflits qu
48 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
85 é des esprits et des cœurs, telle que l’a décrite Novalis  : nous savons aujourd’hui qu’il n’en fut rien, et que les conflits qu
49 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
86 celles de Hegel, de Schelling et des Schlegel, de Novalis et de Jean-Paul, de Hölderlin et de Humboldt, au moment même où Napol
50 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
87 par ses écrits. Je lisais les poètes, Hölderlin, Novalis , Jean-Paul, Rilke. Surtout, je découvrais et lisais en allemand Kierk
51 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
88 seau, l’Ellénore, l’Adolphe, la petite fiancée de Novalis , la radieuse Adrienne de Gérard de Nerval, l’« Éva qui donc es-tu… »
89 comme on doit aimer : dans le désespoir ! À quoi Novalis fait écho : Quand on fuit la douleur, c’est qu’on ne veut plus aimer
90 Mourir ensemble ! voilà le seul accomplissement. Novalis , dans son journal intime : Notre engagement n’était pas pris pour ce
91 Drang aux lakistes, de Platen à Baudelaire et de Novalis aux symbolistes. Car l’amour passionné, répétons-le, prend sa source
52 1979, Articles divers (1978-1981). Cet amour qui nous rendrait la liberté (mars 1979)
92 qui se puisse comparer à Tristan ni à Werther, à Novalis , ni aux chefs-d’œuvre des Brontë, de Thomas Hardy, de Tolstoï, voire
93 ntisme — mais encore quels exemples y choisit-on, Novalis ou Sade ? Rousseau ou Diderot ? Le xviie siècle de Racine ou celui d
53 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
94 se poursuit jusqu’au xixe siècle romantique des Novalis d’abord (Die Christenheit oder Europa) puis des Petöfi et des Mickiew
54 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
95 se poursuit jusqu’au xixe siècle romantique des Novalis d’abord (Die Christenheit oder Europa) puis des Petöfi et des Mickiew