1 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
1 goûter aux mortels. Puis, dans l’idée de défier l’ Olympe et d’éprouver son omniscience, il avait tué son propre fils Pélops, p
2 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
2 goûter aux mortels. Puis, dans l’idée de défier l’ Olympe et d’éprouver son omniscience, il avait tué son propre fils Pélops, p
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
3 e, puis fécondée par le dieu mâle qui règne sur l’ Olympe des Grecs continentaux : le grand masque d’or retrouvé sous les ruine
4 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
4 os. « Zeus qui voit loin » a sa cité divine sur l’ Olympe  : dans le massif de l’Olympe, le Pénée prend sa source, et il a pour
5 sa cité divine sur l’Olympe : dans le massif de l’ Olympe , le Pénée prend sa source, et il a pour affluent l’Europos. Le fait q
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
6 e, puis fécondée par le dieu mâle qui règne sur l’ Olympe des Grecs continentaux : le grand masque d’or retrouvé sous les ruine
7 os. « Zeus qui voit loin » a sa cité divine sur l’ Olympe  : dans le massif de l’Olympe, le Pénée prend sa source, et il a pour
8 sa cité divine sur l’Olympe : dans le massif de l’ Olympe , le Pénée prend sa source, et il a pour affluent l’Europos. Le fait q
6 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
9 uves, le Rhin allemand, mais aussi l’Aigle vers l’ Olympe , vers les antres de Lemnos, et vers les forêts de l’Indus ! Mallarmé
10 nostalgie constitutive du poème : le Gothard et l’ Olympe , Pister, l’Indus, Patmos, et Dodone, et Délos, et Delphes, et le mati
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
11 leur insuffler une âme, vole par ruse le feu de l’ Olympe . Notons qu’il ne vole pas l’éclair, feu de la connaissance, de l’illu