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e Tenman, Tamazukuri, tout à fait dans le genre d’
Osaka
, écrits sur des lampes carrées. Entre les stations, des étendues de t
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uiles, avec de la fumée noire qui s’en échappait.
Osaka
, la nuit, avait un air étrange, quelque chose comme un océan battu pa
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de Akaneya et Sankatsu, sa bien-aimée. Suicide et
Osaka
la nuit ! Il ne comprenait pas pourquoi ces deux mots lui semblaient
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ts intimes et atroces. Quel horrible endroit, cet
Osaka
! Les endroits surpeuplés sont terribles ! Nous trouvons d’abord Eii