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iles à l’économie, au commerce, à l’industrie, au
PNB
, produit national brut. Je voudrais qu’on fasse aussi une petite plac
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tribuer à tout prix à l’accroissement indéfini du
PNB
(produit national brut) — ou plutôt recréer un habitat décent, une co
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e au seul impératif de l’élévation perpétuelle du
PNB
— cette tour de Babel du xxe siècle ! Une politique européenne de ce
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veau de vie » déterminé en termes de profit et de
PNB
, c’est passer du matérialisme capitaliste et communiste à la mise en
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tribuer à tout prix à l’accroissement indéfini du
PNB
(Produit national brut) — ou plutôt recréer un habitat décent, une co
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e au seul impératif de l’élévation perpétuelle du
PNB
— cette tour de Babel du xxe siècle ! Une politique européenne de ce
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veau de vie » déterminé en termes de profit et de
PNB
, c’est passer du matérialisme capitaliste et communiste à la mise en
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uestions suivantes : — La croissance indéfinie du
PNB
est-elle une obligation sacrée, donc indiscutable, ou faut-il la subo
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l’idée matérialiste, capitaliste : pourvu que le
PNB
augmente, qu’il n’y ait pas de chômage, tout ira bien et tant pis pou
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tribuer à tout prix à l’accroissement indéfini du
PNB
(produit national brut) — ou plutôt recréer un habitat décent, une co
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e au seul impératif de l’élévation perpétuelle du
PNB
— cette tour de Babel du xxe siècle ! Une politique européenne de ce
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est le prix du lait et le taux d’accroissement du
PNB
. » Principes d’une réponse : a) N’est-il pas justement trop difficil
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veau de vie matériel, défini par la croissance du
PNB
, ou au mode de vie existentiel, « sensible au cœur » ? Où trouver auj
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otre société industrielle, par quelques chiffres (
PNB
, revenu « par tête », pouvoir d’achat, etc.) et par des statistiques
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veau de vie » déterminé en termes de profit et de
PNB
, c’est passer du matérialisme capitaliste et communiste à la mise en
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tribuer à tout prix à l’accroissement indéfini du
PNB
(Produit National Brut) — ou plutôt recréer un habitat décent, une co
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e au seul impératif de l’élévation perpétuelle du
PNB
— cette tour de Babel du xxe siècle ! Une politique européenne de ce
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veau de vie » déterminé en termes de profit et de
PNB
, c’est passer du matérialisme capitaliste et communiste à la mise en
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-nation, s’entend), la Croissance à tout prix (du
PNB
, des salaires et des dividendes), et alors on se rue aux catastrophes
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il est plus facile de mesurer la croissance d’un
PNB
que de déterminer les conditions d’une qualité de vie meilleure, d’un
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tragique de l’ère industrielle que de prendre le
PNB
pour indicateur unique et suffisant du Progrès, ce serait une erreur
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eul profit individuel ni à la seule croissance du
PNB
, mais à un équilibre dynamique entre la personne, la cité et l’enviro
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a production industrielle (diminution relative du
PNB
), ou affaiblissement du « prestige » national, au bénéfice d’un certa
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École est de former des agents d’accroissement du
PNB
, si l’on est aux États-Unis ; des sujets obéissants d’une nation prêt
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: elle aurait pour finalité non la croissance du
PNB
mais l’équilibre dynamique entre ces trois déséquilibres perpétuels q
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rait pour finalité non la croissance indéfinie du
PNB
, mais l’équilibre dynamique entre ces trois déséquilibres perpétuels
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al. Comme le fait voir leur procédé de mesure, le
PNB
(que je voudrais appeler Prestige National Brutal) qui ramène tout à
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que la croissance industrielle, la croissance du
PNB
, la croissance du revenu par tête d’habitant n’est pas une mesure hum
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nheur (de moi, des autres), ni l’accroissement du
PNB
, ni même la défense militaire de nos frontières. La plupart des critè
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, symbolisée vers le milieu du xxe siècle par le
PNB
ou Produit National Brut ; la création continuelle de besoins nouveau
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chiffre : car cette opération, si elle accroît le
PNB
, n’en a pas moins pour effet d’inverser totalement le sens de la fonc
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e à vivre, plutôt que le gonflement artificiel du
PNB
et les stocks de bombes calculés en « équivalents TNT ». Condamner l’
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s investissements majeurs, et un bond en avant du
PNB
, mesure des dépenses nationales. Enfin « très dangereux » exige à la
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rales nucléaires. Les États qui ont augmenté leur
PNB
se mettent à vendre des centrales nucléaires — je n’ai pas besoin de
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ce industrielle, sans quoi point de croissance du
PNB
, sans quoi l’État risque une baisse de prestige… Dans un tel monde, t
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berrants, dont le dernier en date est le culte du
PNB
. Un indicateur universel de la croissance : le PNB Le produit n
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Un indicateur universel de la croissance : le
PNB
Le produit national brut, ou PNB, est un total, obtenu par l’addit
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oissance : le PNB Le produit national brut, ou
PNB
, est un total, obtenu par l’addition des dépenses de consommation, de
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la croissance et paramètre unique du progrès, le
PNB
définit à lui seul, et beaucoup mieux que la « consommation », l’espr
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non proclamées. Dès lors que, par définition, le
PNB
ne compte que ce qui se paie en argent, il faut bien qu’il mette au s
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fait qu’il ne comptabilise rien de tout cela, le
PNB
habitue les pouvoirs à donner tous leurs soins au coûteux de l’existe
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biosphère. On voit bien que le mode de calcul du
PNB
ne reste pas sans effets sur notre société, ses valeurs et son mode d
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sans limites, puis de l’augmentation sans fin du
PNB
, rapportée à son mode de calcul c’est-à-dire au « progrès » purement
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git ce mode de comptabilité. On a remarqué que le
PNB
. s’accroissait de nos malheurs autant que des efforts pour y remédier
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: tout cela paraîtra largement dans le calcul du
PNB
par habitant, et définira le progrès. Mieux encore ; on a calculé que
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ra le progrès. Mieux encore ; on a calculé que le
PNB
s’accroîtrait de plus d’un tiers si toutes les femmes qui font le mén
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se mettaient à faire le trottoir. En revanche, le
PNB
décroîtrait aux États-Unis d’au moins 10 milliards de dollars par an
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existence37. » Ainsi le « progrès » mesuré sur le
PNB
par habitant n’est spectaculaire, dans la plupart des cas, que du seu
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nt, les pertes humaines aux profits matériels. Le
PNB
n’est pas du tout cet « instrument certes imparfait et qu’il s’agit d
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volontés délibérées. En effet, le vice majeur du
PNB
ne réside pas dans le P et le B, comme on le répète, mais dans le N,
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is naissance la notion de croissance indéfinie du
PNB
. Utopie analogue à celle qui rêve que la balance commerciale devienne
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d’occulter ce qui ne saurait être compté dans le
PNB
. Ainsi l’attention du public, mais aussi de la plupart de nos économi
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ce le procédé de mesure adopté en ce temps-là, le
PNB
(pour Prestige National Brutal) chef-d’œuvre inégalé de bêtise codée
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s ou régionales. Tant qu’il y aura cet N dans le
PNB
, non seulement l’instrument restera sans valeur, inutile ou dangereux
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re de procéder à ces calculs. Il faut renoncer au
PNB
, et tout d’abord à l’ambition secrète qui est à son origine et qui se
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s comptes d’une nation ou dans les additions d’un
PNB
.) — mais les gains et les pertes réelles, globales, naturelles et hum
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n même mouvement pour un nouveau bond en avant du
PNB
. i) Les temps d’absence de guerre sont anormaux, ne peuvent durer, d
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s de progrès matériel, de profits immédiats et de
PNB
dans le cadre stato-national. Le système, né de la guerre, y conduit
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sur les douze mois qui viennent. Digne ancêtre du
PNB
, c’est un indicateur étonnamment abstrait, qui réduit toute la vie pu
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finalement plus importante que l’accroissement du
PNB
. Jouvenel ose introduire dans la grande discussion des années 1960 le
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nheur (de moi, des autres), ni l’accroissement du
PNB
, ni même la défense militaire de nos frontières. La plupart des critè
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là, non pas dans les capitales où se calculent le
PNB
, la balance commerciale et les rapports de forces nucléaires, indicat
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ion d’informations nuisibles à l’accroissement du
PNB
. L’Assemblée nationale, dans son rapport sur la pollution du littoral
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tandis que les États ne peuvent que mesurer leur
PNB
. La crise de l’énergie appelle les régions La petite panique cr
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État-nation, progrès, socialisme et capitalisme,
PNB
et bonheur des masses. Je prends ici le terme en son sens le plus lar
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e la presse de ce jour), dont l’indicateur est le
PNB
, s’oppose l’autogestion possiblement heureuse à tous les niveaux comm
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t ou indirect d’une part sans cesse croissante du
PNB
. (40 % en France !) ; le monopole de la production d’énergie et la ma
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e à vivre, plutôt que le gonflement artificiel du
PNB
. et les stocks de bombes calculés en « équivalents TNT ». Condamner l
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s avez aussi un merveilleux sens des formules. Le
PNB
(produit national brut) que vous transformez en « prestige national b
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umanité sont-ils vraiment liés à la croissance du
PNB
et de la consommation d’énergie, comme l’ont cru depuis le siècle der
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e égale accroissement des dépenses nationales (ou
PNB
), gaspillage d’énergie, fabrication de la bombe atomique » ? Le fait
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médicaments, les hôpitaux ? Dans tous ces cas, le
PNB
s’accroît » (chap. 8.3). J’approuve totalement et avec joie la répons
73
gmentation indéfinie du produit national brut, ou
PNB
. Le tiers-monde va donc se révolter contre l’Occident, et d’abord con
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gmentation indéfinie du produit national brut, ou
PNB
. Le tiers-monde va donc se révolter contre l’Occident, et d’abord con
75
tériel, sont-ils vraiment liés à la croissance du
PNB
et de la consommation d’énergie, comme l’ont cru, depuis le siècle de
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croissement des dépenses publiques et privées (ou
PNB
), gaspillage d’énergie, terrorisme, suicides, névroses, drogue, cance
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odo à ceux de l’accroissement (hors inflation) du
PNB
. 2. Congrès fédéraliste de Montreux, 1947. Congrès de l’Europe à La
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en-être » proportionnel au taux d’augmentation du
PNB
. L’inverse est en passe de devenir vrai. Quand on apprend un beau mat
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santé et pour la bourse du contribuable), plus le
PNB
augmente et permet au Premier ministre de parler de « la santé sans c
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a multiplication des objets et l’accroissement du
PNB
. Les signes étaient apparus bien avant, mais il est clair que ce sont
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inien, fasciste ou nazi ; croissance indéfinie du
PNB
… Si à l’inverse quelques saints comme il s’en est trouvé croit-on au
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médicaments, les hôpitaux ? Dans tous les cas, le
PNB
s’accroît ! » Le PNB, non le bien-être ! J’approuve totalement et ave
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taux ? Dans tous les cas, le PNB s’accroît ! » Le
PNB
, non le bien-être ! J’approuve totalement et avec joie la réponse don
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onde sur l’autre, ni même l’élévation sans fin du
PNB
, objectif proprement délirant de la plupart de nos ministres — qui n’
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ècle : le chômage croissant au même rythme que le
PNB
et le cancer, et l’inflation chronique dans tous les États de l’Occid
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es investissements majeurs, et un bon en avant du
PNB
, mesure des dépenses nationales. Enfin « très dangereux » exige à la
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n même mouvement pour un nouveau bond en avant du
PNB
. 7. Où nous mène cette évolution ? Le stade suprême de la sacra
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cations. Accroissement du prestige national, du
PNB
et du potentiel militaire Garantie des libertés et des responsabilité
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déterminé en termes quantitatifs de profit et de
PNB
, c’est passer du matérialisme capitaliste et communiste à la mise en
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e au seul impératif de l’élévation perpétuelle du
PNB
— cette tour de Babel du xxe siècle ! Au contraire, si nous donnons
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n pour la croissance économique à la recherche du
PNB
le plus élevé) ou la liberté (modèle alternatif de la fédération au n
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titatif ou qualitatif ? croissance ou équilibre ?
PNB
ou qualité de vie ? etc. Et nous voyons bien que les premiers termes
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a nature, ou seulement la croissance indéfinie du
PNB
, ou encore le profit calculé uniquement en argent, ou calculé aussi e
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iformisation ; la religion de la croissance et du
PNB
, de la puissance nationale et des disciplines que tout cela implique,
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, dans la mesure où les efforts se portent sur le
PNB
ou sur les dépenses militaires ; enfin, mainmise des fonctionnaires s
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eau de vie du plus grand nombre possible de gens (
PNB
, taux de croissance, qui sont le sacré des hommes politiques d’aujour