1
aard, pas plus que Luther et Calvin, pas plus que
Paul
ou Jérémie. Que cela suffise aussi à écarter les toutes superficielle
2
bien réel, s’il est bien tel que l’ont formulé un
Paul
, un Luther, un Calvin, ce sont alors ces appréciations toutes humaine
3
rses formes de la croyance à la résurrection chez
Paul
et Jean, puis chez les rédacteurs des évangiles, enfin chez les premi
4
ne est pleine de contradictions, elle aussi, mais
Paul
les a toutes rassemblées dans une formule unique qui renvoie au fonde
5
ais le mal que je hais. » C’est pourquoi, lorsque
Paul
critique la vie des chrétiens de son temps, il parle avec autorité, t
6
nous l’attendons avec persévérance », dit encore
Paul
. Cette attente persévérante, cette action d’espérance, voilà le sens
7
hèse provisoire (ce que n’avait pas fait l’apôtre
Paul
, autorisant en fin de compte le mariage), il renvoie à cette synthèse
8
r ses crimes ; ce n’est pas au nom d’un parti que
Paul
ébranle l’Empire romain, ce n’est pas au nom d’un parti que Luther et
9
encore, nous ne sommes pas tous des Jérémie, des
Paul
, des Luther, des Calvin, ni même des Kagawa, ni même des salutistes,
10
e qu’apporta dans le monde le message de l’apôtre
Paul
, idée centrale de la doctrine de Calvin. Ordonner toutes choses, et d
11
lvin et Luther ont fait leur temps, — que dire de
Paul
bien plus ancien ! — tous ceux qui tiennent la prédestination pour un
12
incroyant, ou celui qui ne partage pas la foi de
Paul
et des apôtres. D’abord, le langage scolastique, qui n’est pas propre
13
nstant (dans un « atome » de temps, comme l’écrit
Paul
) (I Cor. 15 : 52) ? Qui t’assure que notre raison, tout attachée à no
14
mais qui est au cœur même de l’Évangile. L’apôtre
Paul
l’a formulé avant toute « tradition ecclésiastique », et tous les Pèr
15
orrespondre, terme à terme, à celui que Luther et
Paul
— et l’Évangile — posent à notre foi. C’est qu’il a poussé, comme Lut
16
s’agit maintenant de le transformer. Et l’apôtre
Paul
écrit dans sa Lettre aux Romains (12, 2) : Ne vous conformez pas à c
17
st-à-dire en tant que l’on obéit à l’Esprit, pour
Paul
, et en tant que l’on fait la révolution, pour Marx). Il s’agit donc d
18
ition de Marx et de l’apôtre éclate en ceci : que
Paul
veut transformer l’homme d’abord — et le monde par lui — tandis que M
19
indivisibles de la « transformation » dont parle
Paul
. L’un n’est pas concevable, sérieusement, sans l’autre. « Toute droit
20
donner du pain et des spectacles à la foule. Mais
Paul
était apôtre et non pas dictateur. C’est pourquoi son message nous es
21
alvin et Luther ont fait leur temps — que dire de
Paul
, bien plus ancien — tous ceux qui tiennent la prédestination pour un
22
incroyant, ou celui qui ne partage pas la foi de
Paul
et des Apôtres. D’abord, le langage scolastique, qui n’est pas propre
23
nstant (dans un « atome » de temps, comme l’écrit
Paul
) ?33 Qui t’assure que notre raison tout attachée à notre chair, à not
24
mais qui est au cœur même de l’Évangile. L’apôtre
Paul
l’a formulé avant toute « tradition ecclésiastique » ; et tous les Pè
25
orrespondre, terme à terme, à celui que Luther et
Paul
— et l’Évangile — posent à notre foi. C’est qu’il a poussé comme Luth
26
jamais de querelles de familles ! Les épîtres de
Paul
suffiraient à dissiper cette illusion. Il n’en reste pas moins que ce
27
d totalitaire. On peut aussi les nommer Pierre et
Paul
, ou moi et l’autre, ou nous et l’ennemi : car « la seule chose qui im
28
leur sérieux : où est la différence ? « L’apôtre
Paul
avait-il un emploi officiel ? — Non, Paul n’avait pas un emploi offic
29
’apôtre Paul avait-il un emploi officiel ? — Non,
Paul
n’avait pas un emploi officiel. — Avait-il une autre manière de gagne
30
e de l’argent. — Était-il au moins marié ? — Non,
Paul
n’était pas marié. — Mais alors, Paul n’était pas un homme sérieux ?
31
ié ? — Non, Paul n’était pas marié. — Mais alors,
Paul
n’était pas un homme sérieux ? — Non, Paul n’était pas un homme série
32
alors, Paul n’était pas un homme sérieux ? — Non,
Paul
n’était pas un homme sérieux. » Ici paraît la dialectique du sérieux
33
alvin et Luther ont fait leur temps — que dire de
Paul
, bien plus ancien ! — tous ceux qui tiennent la prédestination pour u
34
incroyant, ou celui qui ne partage pas la foi de
Paul
et des apôtres. D’abord le langage scolastique, qui n’est pas du tout
35
nstant (dans un « atome » de temps, comme l’écrit
Paul
). Qui t’assure que notre raison, tout attachée à notre chair, à notre
36
mais qui est au cœur même de l’Évangile. L’apôtre
Paul
l’a formulé avant toute tradition ecclésiastique ; et tous les Pères
37
orrespondre, terme à terme, à celui que Luther et
Paul
posent ensemble à notre foi. C’est que Nietzsche a poussé comme Luthe
38
c’est dans ses appels à l’union, précisément, que
Paul
établit avec le plus de force la légitimité des diversités. Ce qui me
39
indépendante de coopération européenne (président
Paul
van Zeeland) ; Mouvement français pour l’Europe unie (président Raoul
40
) ; Ligue indépendante de coopération économique (
Paul
van Zeeland) ; Comité français pour l’Europe unie (E. Herriot et R. D
41
me envers l’État mondial romain et envers Arpino,
Paul
son loyalisme envers Rome et Tarse. Un conflit de loyalismes n’a pas
42
hemin de Damas, où Saul de Tarse devient l’apôtre
Paul
. Révolution et conversion ont le même sens : c’est se retourner compl
43
chemin de Damas où Saul de Tarse devient l’apôtre
Paul
. Révolution et conversion ont le même sens : c’est se retourner compl
44
oint de vue de l’histoire, tout change. C’est que
Paul
se battait pour fonder une Église, pour imposer une doctrine de l’hom
45
de la part d’un furieux contempteur de la Nature,
Paul
conclut : « Si quelqu’un se plaît à contester, nous n’avons pas cette
46
moin de la bonté du Christ l’ont témoigné ; enfin
Paul
nomma cet état très heureux la plénitude des temps. Vraiment temps et
47
ompre les liens de la société du Christ. L’apôtre
Paul
s’indigna un jour, en entendant des chrétiens prononcer ces paroles :
48
réhabilité le travail manuel : Jésus charpentier,
Paul
fabricant de tentes, « confréries de liberté », guildes et corporatio
49
né Courtin et R. W. G. Mackay ; pour l’économique
Paul
van Zeeland, D. Serruys et Lord Layton ; pour la culturelle Salvador
50
s’agit maintenant de le transformer. Et l’apôtre
Paul
écrit dans sa Lettre aux Romains (12, 2) : Ne vous conformez pas à c
51
st-à-dire en tant que l’on obéit à l’Esprit, pour
Paul
, et en tant que l’on fait la révolution, pour Marx). Il s’agit donc d
52
ition de Marx et de l’apôtre éclate en ceci : que
Paul
veut transformer l’homme d’abord — et le monde par lui — tandis que M
53
indivisibles de la « transformation » dont parle
Paul
. L’un n’est pas concevable, sérieusement, sans l’autre. « Toute droit
54
donner du pain et des spectacles à la foule. Mais
Paul
était apôtre et non pas dictateur. C’est pourquoi son message nous es
55
c’est dans ses appels à l’union, précisément, que
Paul
établit avec le plus de force la légitimité des diversités. Ce qui me
56
and bruit si on m’empêchait de lire le Message .
Paul
van Zeeland, sur ma demande, vint arbitrer le différend : on décida q
57
ait une bizarre claudication. Il avait fondé avec
Paul
van Zeeland, au lendemain de la guerre, la Ligue européenne de coopér
58
prièrent de sortir. J’envoyai quérir Retinger et
Paul
van Zeeland, qui étaient à la tribune. Dans une petite salle près de
59
: « Faites sortir ce journaliste irresponsable »,
Paul
van Zeeland, qui devait présider la séance de clôture du Congrès fit
60
) ; Ligue indépendante de coopération économique (
Paul
van Zeeland) ; Comité français pour l’Europe unie (E. Herriot et R. D
61
é la première à parler de la « mort de l’homme ».
Paul
revient sans cesse sur la nécessité pour le « vieil homme » de « mour
62
onde en paix sous « le divin Auguste monarque, et
Paul
nomma cet état très heureux la plénitude des temps », la voici « déch
63
onde en paix sous « le divin Auguste monarque, et
Paul
nomma cet état très heureux la plénitude des temps », la voici « déch
64
c’est dans ses appels à l’union, précisément, que
Paul
établit avec le plus de force la légitimité des diversités). Est-il p
65
lle présidée à La Haye par Salvador de Madariaga,
Paul
van Zeeland et Lord Layton se chargeant de l’économique, Paul Ramadie
66
), la Ligue économique de coopération européenne (
Paul
van Zeeland), les Nouvelles équipes internationales (catholiques, Rob