1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
1 e sujet profond de ce roman, où l’on voit comment Pierre en vient à sacrifier Diane, son apaisement, pour Arthur, sa « maladie
2 l’analyse féroce de Crevel fouille les pensées de Pierre ou de Diane, les gestes d’Arthur, le roman vit et nous touche par la
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
3 apparences positives. Ainsi donc, j’ai cherché la Pierre des philosophes. D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
4 apparences positives. Ainsi donc, j’ai cherché la Pierre des philosophes. D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 apparences positives. Ainsi donc j’ai cherché la Pierre des Philosophes. D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait
5 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
6 spérer l’espèce d’hommes qui “se hâte”. » 15. I Pierre 3 :15. Version de Calvin. 16. Et malgré certains catéchismes. Nous y
6 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
7 e jugement va commencer par la maison de Dieu. I. Pierre , 4, 17. Le faux rapport entre le christianisme et le christianisme
7 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
8 jugement va commencer par la maison de Dieu. I. Pierre , 4, 17. Le faux rapport entre le christianisme et le christianisme
8 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
9 if, l’acte de foi impossible à l’homme, celui que Pierre fit lorsqu’il dit à Jésus : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant
10 s remettre tant bien que mal dans la situation de Pierre devant Jésus, bref, de nous rendre contemporains de Jésus-Christ en f
11 ps de la prophétie et de l’apostolat, le temps de Pierre sur lequel Christ bâtit son Église…, — autre encore est le temps de c
12 t un saut17. Prenons un exemple fameux : celui de Pierre à Césarée de Philippe. Certes, Pierre vit dans le même temps que Jésu
13  : celui de Pierre à Césarée de Philippe. Certes, Pierre vit dans le même temps que Jésus, le rabbi de Nazareth, mais il ne de
14 amais que Nicodème, ou Salomon, le roi savant, ou Pierre doutant, mais non pas Pierre croyant ; Abraham tergiversant, mais non
15 n, le roi savant, ou Pierre doutant, mais non pas Pierre croyant ; Abraham tergiversant, mais non pas Abraham partant ; les di
9 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
16 i sur lequel Jésus venait de la fonder : l’apôtre Pierre . Jésus avait demandé à ses disciples : — Et vous, qui dites-vous que
17 us fonde l’Église : « Et moi, je te dis que tu es Pierre , et que sur cette pierre je bâtirai mon Église. » Le Seigneur donne
18 rre je bâtirai mon Église. » Le Seigneur donne à Pierre les plus grands pouvoirs vicariaux : « Ce que tu lieras sur la terre
19 iples sa mort prochaine et sa résurrection. Alors Pierre s’est mis à le reprendre : « À Dieu ne plaise, Seigneur ! cela ne t’a
20 as ! » À peine fondée, l’Église en la personne de Pierre , son chef terrestre, a voulu s’assurer de son chef céleste afin de ga
21 ant du même souffle : « À Dieu ne plaise ! », dit Pierre . Or il plaisait à Dieu… En quelques lignes, l’auteur de l’Évangile a
22 le drame du propriétaire. Jésus confie l’Église à Pierre , car lorsque Pierre croit, il est l’Église. (Tout homme qui croit, da
23 aire. Jésus confie l’Église à Pierre, car lorsque Pierre croit, il est l’Église. (Tout homme qui croit, dans l’instant de la f
24 homme qui croit, dans l’instant de la foi devient Pierre à son tour, et fondement de l’Église.) Mais lorsque Pierre se croit l
25 son tour, et fondement de l’Église.) Mais lorsque Pierre se croit le possesseur du bien dont il a reçu la charge, il prétend a
26 nde, ni l’ordre ou la justice, ni la moralité que Pierre devait maintenir par l’Église dans le monde, mais le mystère et la pr
27 . L’Église n’aura plus rien à dire, le pouvoir de Pierre sera vide. L’Église est posée dans l’Histoire pour y représenter le p
28 eurs spirituelles », elle ne se fonde plus sur le Pierre qui a cru, mais sur le Pierre auquel Jésus disait : « Arrière de moi
29 e fonde plus sur le Pierre qui a cru, mais sur le Pierre auquel Jésus disait : « Arrière de moi Satan ! Car tu m’es en scandal
10 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
30 i sur lequel Jésus venait de la fonder : l’apôtre Pierre . Jésus avait demandé à ses disciples : — Et vous, qui dites-vous que
31 us fonde l’Église : « Et moi, je te dis que tu es Pierre , et que sur cette pierre je bâtirai mon Église. » Le Seigneur donne à
32 erre je bâtirai mon Église. » Le Seigneur donne à Pierre les plus grands pouvoirs vicariaux : « Ce que tu lieras sur la terre
33 iples sa mort prochaine et sa résurrection. Alors Pierre s’est mis à le reprendre : « À Dieu ne plaise, Seigneur ! cela ne t’a
34 as ! » À peine fondée, l’Église en la personne de Pierre , son chef terrestre, a voulu s’assurer de son chef céleste afin de ga
35 ant du même souffle : « À Dieu ne plaise ! », dit Pierre . Or il plaisait à Dieu… En quelques lignes, l’auteur de l’Évangile a
36 le drame du propriétaire. Jésus confie l’Église à Pierre , car lorsque Pierre croit, il est l’Église. (Tout homme qui croit, da
37 aire. Jésus confie l’Église à Pierre, car lorsque Pierre croit, il est l’Église. (Tout homme qui croit, dans l’instant de la f
38 homme qui croit, dans l’instant de la foi devient Pierre à son tour, et fondement de l’Église.) Mais lorsque Pierre se croit l
39 son tour, et fondement de l’Église.) Mais lorsque Pierre se croit le possesseur du bien dont il a reçu la charge, il prétend a
40 nde, ni l’ordre ou la justice, ni la moralité que Pierre devait maintenir par l’Église dans le monde, mais le mystère et la pr
41 . L’Église n’aura plus rien à dire, le pouvoir de Pierre sera vide. L’Église est posée dans l’Histoire pour y représenter le p
42 eurs spirituelles », elle ne se fonde plus sur le Pierre qui a cru, mais sur le Pierre auquel Jésus disait : « Arrière de moi
43 e fonde plus sur le Pierre qui a cru, mais sur le Pierre auquel Jésus disait : « Arrière de moi Satan ! Car tu m’es en scandal
11 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
44 t le second totalitaire. On peut aussi les nommer Pierre et Paul, ou moi et l’autre, ou nous et l’ennemi : car « la seule chos
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
45 apparences positives. Ainsi donc, j’ai cherché la Pierre des philosophes. D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait
13 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
46 s le plein sens du mot, que connut l’Europe »14). Pierre , âgé de vingt-cinq ans, voyage en Europe, s’engage comme charpentier
47 et remplaçant l’ancien patriarchat. Rappelons que Pierre épouse la maîtresse de son favori, Martha Glück, fille d’un pasteur a
48 u xix e siècle demeure symbolisée par la ville de Pierre , non par la Sainte Moskwa. Déjà, Joseph de Maistre, dans ses Soirées
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
49 istine de Suède meurt à Rome en 1689 ; et le tsar Pierre part pour l’Europe en 1696. Genre littéraire aux frontières indécises
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
50 ntalistes. Les premiers n’ont vu dans l’œuvre de Pierre qu’une transgression des bases de la Russie, une contrainte qui pesa
16 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
51 commencer par la maison de Dieu », écrit l’apôtre Pierre . De plus, si nous voulons agir sur le siècle, il nous faut d’abord co