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e sujet profond de ce roman, où l’on voit comment
Pierre
en vient à sacrifier Diane, son apaisement, pour Arthur, sa « maladie
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l’analyse féroce de Crevel fouille les pensées de
Pierre
ou de Diane, les gestes d’Arthur, le roman vit et nous touche par la
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apparences positives. Ainsi donc, j’ai cherché la
Pierre
des philosophes. D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait
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apparences positives. Ainsi donc, j’ai cherché la
Pierre
des philosophes. D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait
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apparences positives. Ainsi donc j’ai cherché la
Pierre
des Philosophes. D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait
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spérer l’espèce d’hommes qui “se hâte”. » 15. I
Pierre
3 :15. Version de Calvin. 16. Et malgré certains catéchismes. Nous y
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e jugement va commencer par la maison de Dieu. I.
Pierre
, 4, 17. Le faux rapport entre le christianisme et le christianisme
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jugement va commencer par la maison de Dieu. I.
Pierre
, 4, 17. Le faux rapport entre le christianisme et le christianisme
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if, l’acte de foi impossible à l’homme, celui que
Pierre
fit lorsqu’il dit à Jésus : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant
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s remettre tant bien que mal dans la situation de
Pierre
devant Jésus, bref, de nous rendre contemporains de Jésus-Christ en f
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ps de la prophétie et de l’apostolat, le temps de
Pierre
sur lequel Christ bâtit son Église…, — autre encore est le temps de c
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t un saut17. Prenons un exemple fameux : celui de
Pierre
à Césarée de Philippe. Certes, Pierre vit dans le même temps que Jésu
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: celui de Pierre à Césarée de Philippe. Certes,
Pierre
vit dans le même temps que Jésus, le rabbi de Nazareth, mais il ne de
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amais que Nicodème, ou Salomon, le roi savant, ou
Pierre
doutant, mais non pas Pierre croyant ; Abraham tergiversant, mais non
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n, le roi savant, ou Pierre doutant, mais non pas
Pierre
croyant ; Abraham tergiversant, mais non pas Abraham partant ; les di
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i sur lequel Jésus venait de la fonder : l’apôtre
Pierre
. Jésus avait demandé à ses disciples : — Et vous, qui dites-vous que
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us fonde l’Église : « Et moi, je te dis que tu es
Pierre
, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église. » Le Seigneur donne
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rre je bâtirai mon Église. » Le Seigneur donne à
Pierre
les plus grands pouvoirs vicariaux : « Ce que tu lieras sur la terre
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iples sa mort prochaine et sa résurrection. Alors
Pierre
s’est mis à le reprendre : « À Dieu ne plaise, Seigneur ! cela ne t’a
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as ! » À peine fondée, l’Église en la personne de
Pierre
, son chef terrestre, a voulu s’assurer de son chef céleste afin de ga
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ant du même souffle : « À Dieu ne plaise ! », dit
Pierre
. Or il plaisait à Dieu… En quelques lignes, l’auteur de l’Évangile a
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le drame du propriétaire. Jésus confie l’Église à
Pierre
, car lorsque Pierre croit, il est l’Église. (Tout homme qui croit, da
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aire. Jésus confie l’Église à Pierre, car lorsque
Pierre
croit, il est l’Église. (Tout homme qui croit, dans l’instant de la f
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homme qui croit, dans l’instant de la foi devient
Pierre
à son tour, et fondement de l’Église.) Mais lorsque Pierre se croit l
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son tour, et fondement de l’Église.) Mais lorsque
Pierre
se croit le possesseur du bien dont il a reçu la charge, il prétend a
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nde, ni l’ordre ou la justice, ni la moralité que
Pierre
devait maintenir par l’Église dans le monde, mais le mystère et la pr
27
. L’Église n’aura plus rien à dire, le pouvoir de
Pierre
sera vide. L’Église est posée dans l’Histoire pour y représenter le p
28
eurs spirituelles », elle ne se fonde plus sur le
Pierre
qui a cru, mais sur le Pierre auquel Jésus disait : « Arrière de moi
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e fonde plus sur le Pierre qui a cru, mais sur le
Pierre
auquel Jésus disait : « Arrière de moi Satan ! Car tu m’es en scandal
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i sur lequel Jésus venait de la fonder : l’apôtre
Pierre
. Jésus avait demandé à ses disciples : — Et vous, qui dites-vous que
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us fonde l’Église : « Et moi, je te dis que tu es
Pierre
, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église. » Le Seigneur donne à
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erre je bâtirai mon Église. » Le Seigneur donne à
Pierre
les plus grands pouvoirs vicariaux : « Ce que tu lieras sur la terre
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iples sa mort prochaine et sa résurrection. Alors
Pierre
s’est mis à le reprendre : « À Dieu ne plaise, Seigneur ! cela ne t’a
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as ! » À peine fondée, l’Église en la personne de
Pierre
, son chef terrestre, a voulu s’assurer de son chef céleste afin de ga
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ant du même souffle : « À Dieu ne plaise ! », dit
Pierre
. Or il plaisait à Dieu… En quelques lignes, l’auteur de l’Évangile a
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le drame du propriétaire. Jésus confie l’Église à
Pierre
, car lorsque Pierre croit, il est l’Église. (Tout homme qui croit, da
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aire. Jésus confie l’Église à Pierre, car lorsque
Pierre
croit, il est l’Église. (Tout homme qui croit, dans l’instant de la f
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homme qui croit, dans l’instant de la foi devient
Pierre
à son tour, et fondement de l’Église.) Mais lorsque Pierre se croit l
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son tour, et fondement de l’Église.) Mais lorsque
Pierre
se croit le possesseur du bien dont il a reçu la charge, il prétend a
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nde, ni l’ordre ou la justice, ni la moralité que
Pierre
devait maintenir par l’Église dans le monde, mais le mystère et la pr
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. L’Église n’aura plus rien à dire, le pouvoir de
Pierre
sera vide. L’Église est posée dans l’Histoire pour y représenter le p
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eurs spirituelles », elle ne se fonde plus sur le
Pierre
qui a cru, mais sur le Pierre auquel Jésus disait : « Arrière de moi
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e fonde plus sur le Pierre qui a cru, mais sur le
Pierre
auquel Jésus disait : « Arrière de moi Satan ! Car tu m’es en scandal
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t le second totalitaire. On peut aussi les nommer
Pierre
et Paul, ou moi et l’autre, ou nous et l’ennemi : car « la seule chos
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apparences positives. Ainsi donc, j’ai cherché la
Pierre
des philosophes. D’autres aussi, peut-être, la cherchent. Et qui sait
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s le plein sens du mot, que connut l’Europe »14).
Pierre
, âgé de vingt-cinq ans, voyage en Europe, s’engage comme charpentier
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et remplaçant l’ancien patriarchat. Rappelons que
Pierre
épouse la maîtresse de son favori, Martha Glück, fille d’un pasteur a
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u xix e siècle demeure symbolisée par la ville de
Pierre
, non par la Sainte Moskwa. Déjà, Joseph de Maistre, dans ses Soirées
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istine de Suède meurt à Rome en 1689 ; et le tsar
Pierre
part pour l’Europe en 1696. Genre littéraire aux frontières indécises
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ntalistes. Les premiers n’ont vu dans l’œuvre de
Pierre
qu’une transgression des bases de la Russie, une contrainte qui pesa
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commencer par la maison de Dieu », écrit l’apôtre
Pierre
. De plus, si nous voulons agir sur le siècle, il nous faut d’abord co