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ue j’emporte avec mes livres. 25. Déclaration de
M. Georges Pompidou
à la revue Réalités, juin 1970.
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L’État-nation est le bien suprême Discours de
M. Georges Pompidou
à Poitiers, le 25 janvier 1974, pour inaugurer le Conseil régional ré
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ème médiéval. Dans le même discours de Poitiers,
M. Pompidou
rappelle « qu’il a fallu mille ans d’efforts en France pour créer not
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celui du Moyen Âge et de la féodalité », affirme
M. Georges Pompidou
. « Briser les nations pour leur substituer des régions ? Cette tendan
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lon l’épigraphe de l’Action française reprise par
M. Pompidou
dans son discours de Poitiers : « Il a fallu mille ans, ou presque, d
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en vient à cette phrase inoubliable du président
Pompidou
, à propos de la route express qui obligera à anéantir les célèbres be
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sont vingt-neuf en 1976. Quant au Moyen Âge, MM.
Pompidou
, Debré et Marchais s’imaginent qu’il suffit d’évoquer son spectre hid
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he du point de vue écologique. Quand on pense que
Pompidou
a pu commettre cette bourde monumentale : « Il est temps que Paris s’
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plus grand nombre. Je dis ça contre la phrase de
Pompidou
que je cite : « Gouverner, c’est contraindre. » Quelle phrase affreus
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er la crainte, le roi l’affection. » La maxime de
Pompidou
, lue par Érasme, ne définit fort heureusement qu’une seule forme de g
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est qu’elle les « hérisse » selon l’expression de
Pompidou
, tandis qu’elle paraît à d’autres « infâme » et « criminelle ». On sa
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es régions, cela a beaucoup énervé des gens comme
Pompidou
pour qui c’était le retour à la féodalité ; et cela représentait donc