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vète ! J’ai eu un autre vengeur en la personne de
M. François Porché
. Mais j’avoue que cet article de Parisien est moins heureux que celui
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en est moins heureux que celui de la Romorantine.
M. Porché
estime que dans le Journal « tout est faux-semblant, illusion… » et
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voici où les choses se gâtent. L’auteur, conclut
M. Porché
, « a joué à la pauvreté ; quel sacrilège ! » Or, sacrilège veut dire
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e veut dire : qui lèse le sacré. On en déduit que
M. Porché
tient la pauvreté pour sacrée. Là, j’avoue que je ne puis le suivre.
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ée, il a essayé d’en sortir. Je signale le cas de
M. Porché
à la vigilance de Mme Meylan, défenseur des rentes. Pour finir, je vo