1 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
1 la mesure ! (Mais où les audaces souveraines d’un Racine , d’un Descartes ?) D’ailleurs, c’est bien simple, si vous persistez à
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
2 là où le créateur, supposant le problème résolu ( Racine ), fait une œuvre d’art. Ou bien encore, l’artiste, usant de cette sor
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
3 hoisir un cadre étroit, voire même conventionnel. Racine en est le plus haut exemple. La Société dans laquelle évoluent les hé
4 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
4 lus triplé, et c’est sans doute encore trop dire. Racine avait un millier d’auditeurs ; Valéry, Claudel, Gide, Péguy n’ont guè
5 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
5 lus triplé, et c’est sans doute encore trop dire. Racine avait un millier d’auditeurs ; Valéry, Claudel, Gide, Péguy n’ont guè
6 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
6 te offense en mon cœur sera longtemps nouvelle. » Racine . 91. Ici encore, se défier de l’histoire. L’origine vivante n’est pa
7 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
7 lus triplé, et c’est sans doute encore trop dire. Racine avait un millier d’auditeurs ; Valéry, Claudel, Gide, Péguy n’ont guè
8 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
8 te offense en mon cœur sera longtemps nouvelle. » Racine . 93. Ici encore, se défier de l’histoire. L’origine vivante n’est pa
9 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
9 ou le mythe déchaîné L’opposition classique de Racine et de Corneille se réduit à ceci touchant le mythe : Racine part du p
10 de Corneille se réduit à ceci touchant le mythe : Racine part du philtre comme d’un fait indiscutable privant ses victimes de
11 devient-elle la formule même de notre mythe. Mais Racine , dans ses premières pièces, raccourcit la portée du mythe à la mesure
12 it du sang et des morts dans une tragédie, ajoute Racine , il suffit que l’action en soit grande, que les acteurs en soient hér
13 t fallu pousser jusqu’à la mort, — cette mort que Racine ne juge pas nécessaire. La pudeur classique, tant vantée, ne va pas,
14 r absolu. Mais faute d’atteindre cette limite, un Racine se condamne et nous condamne à goûter une mélancolie de nature essent
15 ifier la vie ; mais les « passions excitées » par Racine , cette « tristesse » à laquelle il nous invite à prendre on ne sait q
16 » (sécularisation de la passion) ne peut conduire Racine qu’au jansénisme, c’est-à-dire à la forme de mortification morose — d
17 ra s’opérer qu’à la faveur d’une crise révélant à Racine lui-même la vraie nature de son délire. Phèdre est un moment décisif
18 censure » morale évidemment chrétienne d’origine. Racine ne peut ni ne veut être pleinement lucide. Car sa lucidité l’obligera
19 aveu. Phèdre, c’est la revanche de la mort. Oui, Racine le sait maintenant, c’est une nécessité qu’il y ait du sang et des mo
20 uant à la mort la fille de Minos, et sa victime ! Racine , sous le couvert de son sujet antique, se punit doublement dans Phèdr
21 ssible de vouloir vaincre. L’opinion — à laquelle Racine se montre si sensible — l’opinion est toujours avec Tristan contre le
22 n’est jamais avec les amants incestueux. Ensuite, Racine se punit par personnes interposées en refusant à la passion de Phèdre
23 i y tint le rôle de la reine. Et Hippolyte, c’est Racine tel que maintenant il se souhaite : insensible au charme mortel… Conf
24 ion est condamnable sans appel. Mais je l’ai dit, Racine à l’époque de Phèdre est encore en pleine crise, balançant devant la
25 a loi du jour qu’il veut servir désormais, oblige Racine à rendre le jeune prince insensible à l’amour de Phèdre. Il déclare d
26 a belle-mère d’Hippolyte. Mais le vieil homme, le Racine naturel, cherche à tourner cette loi sévère qui, condamnant l’inceste
27 , c’est la passion qui intéresse — au sens fort — Racine . L’autre moyen qu’il a trouvé pour en parler voluptueusement, tout en
28 Malgré tout, — malgré même ce dernier trait que Racine a su faire mentir — j’en viens à croire qu’il est sincère dans sa Pré
29 e majestueuse ». On est tout près de Port-Royal. Racine , comme Pétrarque, était de la race des troubadours qui trahissent l’A
30 12.Éclipse du mythe Malgré Corneille, malgré Racine jusqu’à Phèdre, la fin du xviie siècle français souffre ou bénéficie
31 en éléments de moins en moins mystérieux ; enfin Racine l’abat, non sans avoir reçu dans cette lutte avec l’ange mauvais la p
32 iers jours de son empire. » (Suétone, traduit par Racine , préface de Bérénice.) 137. Hippolyte parlant d’Aricie, acte Ier, sc
10 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
33 et nulle culture ne sont proprement concevables. Racine aussi, nous l’avons vu, croyait qu’on pouvait faire des tragédies san
11 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
34 ou le mythe déchaîné L’opposition classique de Racine et de Corneille se réduit à ceci, touchant le mythe : Racine part du
35 e Corneille se réduit à ceci, touchant le mythe : Racine part du philtre comme d’un fait indiscutable privant ses victimes de
36 devient-elle la formule même de notre mythe. Mais Racine , dans ses premières pièces, raccourcit la portée du mythe à la mesure
37 it du sang et des morts dans une tragédie, ajoute Racine , il suffit que l’action en soit grande, que, les acteurs en soient hé
38 t fallu pousser jusqu’à la mort, — cette mort que Racine ne juge pas nécessaire. La pudeur classique, tant vantée, ne va pas,
39 r absolu. Mais faute d’atteindre cette limite, un Racine se condamne et nous condamne à goûter une mélancolie de nature essent
40 ifier la vie ; mais les « passions excitées » par Racine , cette « tristesse » à laquelle il nous invite à prendre on ne sait q
41 » (sécularisation de la passion) ne peut conduire Racine qu’au jansénisme, c’est-à-dire à la forme de mortification morose — d
42 ra s’opérer qu’à la faveur d’une crise révélant à Racine lui-même la vraie nature de son délire. Phèdre est un moment décisif
43 censure » morale évidemment chrétienne d’origine. Racine ne peut ni ne veut être pleinement lucide. Car sa lucidité l’obligera
44 aveu. Phèdre, c’est la revanche de la mort. Oui, Racine le sait maintenant, c’est une nécessité qu’il y ait du sang et des mo
45 uant à la mort la fille de Minos, et sa victime ! Racine , sous le couvert de son sujet antique, se punit doublement dans Phèdr
46 ssible de vouloir vaincre. L’opinion — à laquelle Racine se montre si sensible — l’opinion est toujours avec Tristan contre le
47 n’est jamais avec les amants incestueux. Ensuite, Racine se punit par personnes interposées en refusant à la passion de Phèdre
48 i y tint le rôle de la reine. Et Hippolyte, c’est Racine tel que maintenant il se souhaite : insensible au charme mortel… Conf
49 ion est condamnable sans appel. Mais je l’ai dit, Racine à l’époque de Phèdre est encore en pleine crise, balançant devant la
50 a loi du jour qu’il veut servir désormais, oblige Racine à rendre le jeune prince insensible à l’amour de Phèdre. Il déclare d
51 a belle-mère d’Hippolyte. Mais le vieil homme, le Racine naturel, cherche à tourner cette loi sévère qui, condamnant l’inceste
52 , c’est la passion qui intéresse — au sens fort — Racine . L’autre moyen qu’il a trouvé pour en parler voluptueusement, tout en
53 ! Malgré tout — malgré même ce dernier trait que Racine a su faire mentir j’en viens à croire qu’il est sincère dans sa Préfa
54 se majestueuse ». On est tout près de Port-Royal. Racine , comme Pétrarque, était de la race des troubadours qui trahissent l’A
55 12.Éclipse du mythe Malgré Corneille, malgré Racine jusqu’à Phèdre, la fin du xviie siècle français souffre ou bénéficie
56 en éléments de moins en moins mystérieux ; enfin Racine l’abat, non sans avoir reçu dans cette lutte avec l’ange mauvais la p
57 iers jours de son empire. » (Suétone, traduit par Racine , préface de Bérénice.) 155. Hippolyte parlant d’Aricie, acte Ier, sc
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
58 et nulle culture ne sont proprement concevables. Racine aussi, nous l’avons vu, croyait qu’on pouvait faire des tragédies san
13 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
59 ou le mythe déchaîné L’opposition classique de Racine et de Corneille se réduit à ceci, touchant le mythe : Racine part du
60 e Corneille se réduit à ceci, touchant le mythe : Racine part du philtre comme d’un fait indiscutable privant ses victimes de
61 devient-elle la formule même de notre mythe. Mais Racine , dans ses premières pièces, raccourcit la portée du mythe à la mesure
62 it du sang et des morts dans une tragédie, ajoute Racine , il suffit que l’action en soit grande, que les acteurs en soient hér
63 t fallu pousser jusqu’à la mort, — cette mort que Racine ne juge pas nécessaire. La pudeur classique, tant vantée, ne va pas,
64 r absolu. Mais faute d’atteindre cette limite, un Racine se condamne et nous condamne à goûter une mélancolie de nature essent
65 ifier la vie ; mais les « passions excitées » par Racine , cette « tristesse » à laquelle il nous invite à prendre on ne sait q
66 » (sécularisation de la passion) ne peut conduire Racine qu’au jansénisme, c’est-à-dire à la forme de mortification morose — d
67 ra s’opérer qu’à la faveur d’une crise révélant à Racine lui-même la vraie nature de son délire. Phèdre est un moment décisif
68 censure » morale évidemment chrétienne d’origine. Racine ne peut ni ne veut être pleinement lucide. Car sa lucidité l’obligera
69 aveu. Phèdre, c’est la revanche de la mort. Oui, Racine le sait maintenant, c’est une nécessité qu’il y ait du sang et des mo
70 uant à la mort la fille de Minos, et sa victime ! Racine , sous le couvert de son sujet antique, se punit doublement dans Phèdr
71 ssible de vouloir vaincre. L’opinion — à laquelle Racine se montre si sensible — l’opinion est toujours avec Tristan contre le
72 n’est jamais avec les amants incestueux. Ensuite, Racine se punit par personnes interposées en refusant à la passion de Phèdre
73 i y tint le rôle de la reine. Et Hippolyte, c’est Racine tel que maintenant il se souhaite : insensible au charme mortel… Conf
74 ion est condamnable sans appel. Mais je l’ai dit, Racine à l’époque de Phèdre est encore en pleine crise, balançant devant la
75 a loi du jour qu’il veut servir désormais, oblige Racine à rendre le jeune prince insensible à l’amour de Phèdre. Il déclare d
76 a belle-mère d’Hippolyte. Mais le vieil homme, le Racine naturel, cherche à tourner cette loi sévère qui, condamnant l’inceste
77 , c’est la passion qui intéresse — au sens fort — Racine . L’autre moyen qu’il a trouvé pour en parler voluptueusement, tout en
78 ! Malgré tout — malgré même ce dernier trait que Racine a su faire mentir — j’en viens à croire qu’il est sincère dans sa Pré
79 se majestueuse ». On est tout près de Port-Royal. Racine , comme Pétrarque, était de la race des troubadours qui trahissent l’A
80 12.Éclipse du mythe Malgré Corneille, malgré Racine jusqu’à Phèdre, la fin du xviie siècle français souffre ou bénéficie
81 en éléments de moins en moins mystérieux ; enfin Racine l’abat, non sans avoir reçu dans cette lutte avec l’ange mauvais la p
82 iers jours de son empire. » (Suétone, traduit par Racine , préface de Bérénice). 144. Hippolyte parlant d’Aricie, acte Ier, sc
14 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
83 et nulle culture ne sont proprement concevables. Racine aussi, nous l’avons vu, croyait qu’on pouvait faire des tragédies san
15 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
84 Calvin sur d’Aubigné, du jansénisme sur Pascal et Racine , de Swedenborg sur Balzac, de Newman sur Gerard Manley Hopkins. Mais
16 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
85 e, Rousseau, etc. ? Et Calvin ! Mais La Fontaine, Racine  ?… À leur époque, ils accomplirent leur métier d’écrivain comme alors
17 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Promesses du Marché commun [Avant-propos] (décembre 1957)
86 prévoient dans la marche vers l’union. L’étude de M. Raymond Racine veut au contraire dégager les implications générales du Marché commun
87 — souci majeur du Centre européen de la culture. M. Raymond Racine a dirigé les débats du séminaire d’économistes convoqué par le CEC en
18 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
88 monde ; Auteuil lui suffisait. Paris suffisait à Racine  ; et tous deux, Racine et Boileau, furent bien gênés, lorsqu’ils dure
89 ffisait. Paris suffisait à Racine ; et tous deux, Racine et Boileau, furent bien gênés, lorsqu’ils durent suivre le roi dans s
19 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
90 r nous le frisson sacré du drame antique, dont un Racine n’avait guère retenu que l’argument) ; redécouverte des secrets du st
91 Shakespeare, Cervantès, Molière, et une fois dans Racine . La misère humaine est mise à nu, à propos de l’amour, dans l’École d
20 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
92 par leur rayonnement (comme le furent celle d’un Racine , d’un Newton, d’un Kant, d’un Novalis, d’un Kierkegaard, qui n’ont vé
21 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
93 Calvin sur d’Aubigné, du jansénisme sur Pascal et Racine , de Swedenborg sur Balzac, de Newman sur Gerard Manley Hopkins. Mais
22 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
94 i de compositeurs du plus haut rang. Hölderlin ou Racine , Mozart ou Rubens, Shakespeare ou Dostoïevski seraient impensables en
23 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
95 i de compositeurs du plus haut rang. Hölderlin ou Racine , Mozart ou Rubens, Shakespeare ou Dostoïevski seraient impensables en
24 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
96 le génie de la France du Grand Siècle qui a fait Racine , c’est à cause de Racine qu’on parle du Grand Siècle, pour désigner u
97 Grand Siècle qui a fait Racine, c’est à cause de Racine qu’on parle du Grand Siècle, pour désigner une période des plus sombr
25 1969, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Une longue et vieille histoire (7 juin 1969)
98 sentimentale dans la littérature française. Avec Racine , tout s’érotise, à un tel point que la sexualité en devient comme sup
26 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
99 le génie de la France du Grand Siècle qui a fait Racine  ; c’est plutôt à cause de Racine qu’on parle du Grand Siècle, pour dé
100 iècle qui a fait Racine ; c’est plutôt à cause de Racine qu’on parle du Grand Siècle, pour désigner une période des plus sombr
27 1975, Articles divers (1974-1977). « Le sort des écrivains emprisonnés constitue un drame et un avertissement » (juin 1975)
101 leurs ça n’a pas toujours été le cas : je pense à Racine et à Corneille qui étaient au service de Louis XIV. Les grands peintr
28 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
102 tueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie » ( Racine , préface de Bérénice). Nous avons vu qu’à chaque fois que la société
103 Phèdre descendent bien moins de l’Antiquité, dont Racine prétend s’inspirer, que de l’amour courtois et de la passion fatale,
104 relle en Europe. L’empire du mythe tristanien sur Racine est manifeste : il explique seul que l’amour de Phèdre pour Hippolyte
105 eux, donc absolument interdit. Quant à Hippolyte, Racine le fait amoureux d’Aricie « qui est la fille et la sœur des ennemis m
106 sentiments et ces passions sont condamnables, et Racine les condamne, mais il en fait son œuvre ! L’autre moyen qu’il a trouv
107 ée : Par un charme fatal vous fûtes entraînée. Racine est-il vraiment sincère dans sa préface lorsqu’il écrit : Ce que je
108 plaire à un besoin de « tristesse majestueuse ». Racine va se retirer du monde et des passions mondaines. De Don Juan à Sa
29 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
109 dire sensible ?), je réponds par un hémistiche de Racine , qui aurait de quoi les inquiéter : « Il perd le sentiment » veut dir
30 1979, Articles divers (1978-1981). Cet amour qui nous rendrait la liberté (mars 1979)
110 Sade ? Rousseau ou Diderot ? Le xviie siècle de Racine ou celui des Élisabéthains, le xiie siècle des troubadours et de Tri
31 1986, Articles divers (1982-1985). L’Europe des consciences (1986)
111 prose que dans ses vers. On m’opposera sans doute Racine . Mais toute loi souffre exception, comme toute préférence quelque inj