1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 e — au xiiie siècle et jusqu’à la Réforme. Selon Rahn , l’on peut attribuer pour origine précise à l’hérésie la secte des pr
2 ui succédait. « Il arrivait fréquemment, nous dit Rahn , que les cathares, après la réception du Consolamentum et pendant l’e
3 mondains ». Saint Bernard de Clairvaux (cité par Rahn ) a pu dire des cathares, qu’il combattit pourtant de toutes ses force
4 l’hérésie chrétienne des « purs » a puisé, selon Rahn , certains traits de sa mythologie. Que celle-ci ait revêtu chez les p
5 oniques secrètes de l’Église persécutée (thèse de Rahn , Péladan et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et l
6 bid. 30. Otto Rahn, La Croisade contre le Graal. Rahn fait probablement allusion à l’aventure du troubadour Pierre de Barja
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
7 les douze chevaliers de la Table ronde. Or, selon Rahn , la Table ronde du Parzival, au sanctuaire de Montségur ou « Montsalv
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
8 ns mondains. Saint Bernard de Clairvaux (cité par Rahn ) a pu dire des cathares, qu’il combattit pourtant de toutes ses force
9 oniques secrètes de l’Église persécutée (thèse de Rahn , Péladan et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et l
10 ’a pas été le château du Graal [comme l’affirmait Rahn ] aucun autre en Europe ne s’adapte mieux que lui aux légendes graaliq
11 aliques. » Pour F. Niel, la question tranchée par Rahn reste ouverte. J’ajouterai que les adversaires les plus virulents de
12 les poèmes des troubadours pouvaient être — selon Rahn , Aroux et Péladan — une sorte de langage secret du catharisme. Une re
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
13 ns mondains. Saint Bernard de Clairvaux (cité par Rahn ) a pu dire des cathares, qu’il combattit pourtant de toutes ses force
14 oniques secrètes de l’Église persécutée (thèse de Rahn , Péladan et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et l
15 ’a pas été le château du Graal [comme l’affirmait Rahn ] aucun autre en Europe ne s’adapte mieux que lui aux légendes graaliq
16 aliques. » Pour F. Niel, la question tranchée par Rahn reste ouverte. J’ajouterai que les adversaires les plus virulents de
17 i, Église, est tenu par certains (dont Péladan et Rahn ) pour un indice probable de catharisme chez un troubadour. Les cathar
18 les poèmes des troubadours pouvaient être — selon Rahn , Aroux et Péladan — une sorte de langage secret du catharisme. Une re
5 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
19 les poèmes des troubadours pouvaient être — selon Rahn , Aroux et Péladan — une sorte de langage secret du catharisme — une r
6 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
20 e mais qui était le plus vulnérable : la thèse de Rahn qui veut que le trobar clus ait joué le rôle d’un langage secret de l
21 ndre sans critique les hypothèses aventureuses de Rahn . »222 Les motifs de cette évolution à 180° du remarquable auteur de