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e — au xiiie siècle et jusqu’à la Réforme. Selon
Rahn
, l’on peut attribuer pour origine précise à l’hérésie la secte des pr
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ui succédait. « Il arrivait fréquemment, nous dit
Rahn
, que les cathares, après la réception du Consolamentum et pendant l’e
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mondains ». Saint Bernard de Clairvaux (cité par
Rahn
) a pu dire des cathares, qu’il combattit pourtant de toutes ses force
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l’hérésie chrétienne des « purs » a puisé, selon
Rahn
, certains traits de sa mythologie. Que celle-ci ait revêtu chez les p
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oniques secrètes de l’Église persécutée (thèse de
Rahn
, Péladan et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et l
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bid. 30. Otto Rahn, La Croisade contre le Graal.
Rahn
fait probablement allusion à l’aventure du troubadour Pierre de Barja
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les douze chevaliers de la Table ronde. Or, selon
Rahn
, la Table ronde du Parzival, au sanctuaire de Montségur ou « Montsalv
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ns mondains. Saint Bernard de Clairvaux (cité par
Rahn
) a pu dire des cathares, qu’il combattit pourtant de toutes ses force
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oniques secrètes de l’Église persécutée (thèse de
Rahn
, Péladan et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et l
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’a pas été le château du Graal [comme l’affirmait
Rahn
] aucun autre en Europe ne s’adapte mieux que lui aux légendes graaliq
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aliques. » Pour F. Niel, la question tranchée par
Rahn
reste ouverte. J’ajouterai que les adversaires les plus virulents de
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les poèmes des troubadours pouvaient être — selon
Rahn
, Aroux et Péladan — une sorte de langage secret du catharisme. Une re
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ns mondains. Saint Bernard de Clairvaux (cité par
Rahn
) a pu dire des cathares, qu’il combattit pourtant de toutes ses force
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oniques secrètes de l’Église persécutée (thèse de
Rahn
, Péladan et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et l
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’a pas été le château du Graal [comme l’affirmait
Rahn
] aucun autre en Europe ne s’adapte mieux que lui aux légendes graaliq
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aliques. » Pour F. Niel, la question tranchée par
Rahn
reste ouverte. J’ajouterai que les adversaires les plus virulents de
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i, Église, est tenu par certains (dont Péladan et
Rahn
) pour un indice probable de catharisme chez un troubadour. Les cathar
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les poèmes des troubadours pouvaient être — selon
Rahn
, Aroux et Péladan — une sorte de langage secret du catharisme. Une re
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les poèmes des troubadours pouvaient être — selon
Rahn
, Aroux et Péladan — une sorte de langage secret du catharisme — une r
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e mais qui était le plus vulnérable : la thèse de
Rahn
qui veut que le trobar clus ait joué le rôle d’un langage secret de l
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ndre sans critique les hypothèses aventureuses de
Rahn
. »222 Les motifs de cette évolution à 180° du remarquable auteur de