1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 visme. L’autre philosophie est celle de l’antique Rome , qui a inspiré le catholicisme, la Renaissance, le traditionnisme et
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
2 ouvenir de l’aventure antique, et dans ce qui fut Rome ou la Grèce, revivre sa tradition. Toute son œuvre pourrait se défini
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
3 iré de lui dans son fameux discours aux édiles de Rome ). Urbanisme est une étude technique et un pamphlet dont l’argumentat
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
4 art, pensais-je : le salut n’est pas là, ou là, à Rome , à Athènes, à Moscou, dans cette doctrine, dans ces œuvres, à droite,
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
5 vrai : cette ville historique est aussi l’autre «  Rome protestante ». Mais d’avoir vu ses profondes bibliothèques et son qua
6 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
6 l’homme. Toute décadence invente un syncrétisme. Rome eut celui des dieux ; nous aurons celui des races de la Terre. Non pl
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
7 t Blanche ne se sentirait-elle pas attirée par la Rome papale, qui la console de la Rome de son mari et la venge de l’Anglet
8 attirée par la Rome papale, qui la console de la Rome de son mari et la venge de l’Angleterre de ses tantes. Elle abjure se
8 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
9 vrai : cette ville historique est aussi l’autre «  Rome protestante ». Mais d’avoir vu ses profondes bibliothèques et son qua
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
10 vrai : cette ville historique est aussi l’autre «  Rome protestante ». Mais d’avoir vu ses profondes bibliothèques et son qua
10 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
11 trouver un autre chemin : un chemin qui ne mène à Rome , ni à Berlin, ni à Moscou, mais à nous-mêmes devant Dieu. ⁂ Søren Ki
11 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
12 ormule qui n’est pas valable pour le seul pape de Rome et pour les seuls conciles. Les grands mouvements fascistes ne se réc
12 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
13 alors Calvin faire face d’une part à l’Église de Rome et c’est l’Épître à Sadolet ; d’autre part, aux premières déviations
13 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
14 rable, de l’Église qui est son corps ; tandis que Rome affirme que la tradition et le pape détiennent « le secret du Christ 
15 » de la Révélation. En réalité, c’est l’Église de Rome qui nous paraît à cet égard abandonnée à un subjectivisme redoutable.
16 ans cette inquiétude32, qui a conduit l’Église de Rome à statuer qu’il existe, à côté de la Bible, une autre source. Tout l’
17 on point cette infusio, ce principium divinum que Rome appelle grâce. Voir l’article de R. de Pury. k. « Sur une page de Bo
14 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
18 rielles d’abord ». Cette vue des plus courantes à Rome , à Berlin, à Moscou, nous vaut diverses dictatures, lesquelles, pour
15 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
19 la Grèce d’Homère et la Grèce de Périclès, et la Rome des Césars, et la France de Louis XIV, et les empires égyptiens et az
20 là-bas, nous serons colonisés, comme la Grèce par Rome . Cessons de loucher avec méfiance vers les empires étrangers. Regardo
16 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
21 ührer… Quatre ans plus tard, Mussolini marche sur Rome  : lui seul a su mâter ses anciens « camarades ». Puis c’est Hitler qu
17 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
22 le prophète Osée. Quand les clercs de la Cour de Rome cessent d’être les dociles instruments de la vocation catholique, pou
18 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
23 re catholique23 — et je ne dis pas de l’Église de Rome , mais bien de son empire réel sur la conscience européenne, cette déc
24 « grâce merveilleuse » à exposer les doctrines de Rome , les « propos ambigus et circonlocutions de paroles » du meilleur lat
19 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
25 le prophète Osée. Quand les clercs de la Cour de Rome cessent d’être les dociles instruments de la vocation catholique, pou
20 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
26 la Grèce d’Homère et la Grèce de Périclès, et la Rome des Césars, et la France de Louis XIV, et les empires égyptiens et az
27 là-bas, nous serons colonisés, comme la Grèce par Rome . Cessons de loucher avec méfiance vers les empires étrangers. Regardo
21 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
28 re catholique24 — et je ne dis pas de l’Église de Rome , mais bien de son empire réel sur la conscience européenne, cette déc
29 « grâce merveilleuse » à exposer les doctrines de Rome , les « propos ambigus et circonlocutions de paroles » du meilleur lat
22 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
30 le prophète Osée. Quand les clercs de la Cour de Rome cessent d’être les dociles instruments de la vocation catholique, pou
23 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
31 la Grèce d’Homère et la Grèce de Périclès, et la Rome des Césars, et la France de Louis XIV, et les empires égyptien et azt
32 là-bas, nous serons colonisés, comme la Grèce par Rome . Cessons de loucher avec méfiance vers les empires étrangers. Regardo
24 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
33 êt à intérêt que le capitalisme s’est introduit à Rome , et cela dès les ve et ive siècles avant J.-C. Le caractère essenti
34 dit aujourd’hui, d’une manière significative !) À Rome , la caisse de chômage s’appelait l’aumône. On distribuait au prolétar
35 donc à des importations considérables. Cependant Rome ne pouvait supporter d’être longtemps à la merci des possesseurs des
36 patriotes » comme Sylla et César, ont bien vu que Rome va périr : elle n’est plus qu’une cohue de jouisseurs sénatoriaux et
37 ion d’une classe paysanne. Mais il est trop tard. Rome tout entière, plèbe et patriciat, ne veut plus vivre que de ses rente
38 usticiables. Ils sont devenus — comme on le vit à Rome — des rentiers du sol, des exploiteurs, et non plus des protecteurs r
39 x sénateurs. Seuls les territoires situés loin de Rome dans les zones d’insécurité, virent des colonies plébéiennes. 62. La
25 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
40 ppuyées par ce mot d’ordre qu’on lit p. 10 : « Ni Rome , ni Berlin, ni Moscou ! » — laissent peu de doutes sur la significati
26 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
41 re. — Février. Les Italiens prennent Malaga, mais Rome commence à s’inquiéter pour le sort prochain de son corps expéditionn
27 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
42 esprit unitaire et impérial qui anime l’Église de Rome . Le grand souci d’œcuménisme, que nous voyons gagner toutes les églis
28 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
43 s rigoureuses. (Inde ancienne, Grèce de Périclès, Rome des Césars, papauté médiévale, empires égyptien et aztèque, Chine des
29 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
44 eligieuses en Orient et en Occident. ⁂ Bien avant Rome , les Celtes avaient conquis une grande partie de l’Europe actuelle. V
45 t du Nord-Est de la France, ils avaient mis à sac Rome et Delphes, et soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire
46 ens, brahmanes de l’Inde, pontifes et flamines de Rome . Le flamen porte d’ailleurs le même nom que le brahmane.18) Il est ce
47 nt subir un apparent « mariage » avec l’Église de Rome dont ils étaient les clercs, tout en servant dans leurs « pensées » u
48 dence, en cette époque précisément où l’Église de Rome préparait sa croisade et son Inquisition ? Mais venons-en aux textes,
49 qui ne s’évapore plus… Je ne veux ni l’Empire de Rome , ni qu’on m’en nomme le pape (et pour cause !), si je ne dois pas fai
50 ui Arnautz, che plor e vai cantan… ⁂ L’Église de Rome savait fort bien ce que trop de savants s’obstinent encore à ne pas v
51 Paul sur les eunuques volontaires. Et après tout, Rome approuve les couvents ! 42. Ici encore, D. Roché (op. cit.) combat l
52 rs gascons et troubadour lui-même, excommunié par Rome  ; et pour fille Marie de Champagne. 74. Le code « exotérique » le pl
30 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
53 ts avec une violence qui rappelle les procédés de Rome contre ses propres sectes. Mais ils ne purent ou ne voulurent les ané
54 s temps rend totalement impraticable. L’Église de Rome a triomphé. Mieux vaut dès lors se mettre du bon côté, avec l’honnête
55 ça… 7. Roméo et Juliette — Milton Cependant Rome n’a pas triomphé partout. Il est une île où son pouvoir est contesté.
56 a guerre, la société devait la persécuter. Ce fut Rome qui porta le fer et le feu dans les provinces gagnées à l’hérésie. En
57 ar le nom même de l’amour. En face de l’Église de Rome  : Roma, se dresse l’Église d’Amour : amor, et la seconde accuse la pr
58 ait, lui avait promis de l’épouser, la renvoya de Rome malgré lui et malgré elle, dès les premiers jours de son empire. » (S
31 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
59 orénavant « au nom de l’État » (socialisation). À Rome  : mesures draconiennes prises à l’égard des célibataires à partir de
32 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
60 avec amour le souvenir du solitaire du Ranft, que Rome a dès longtemps béatifié, et que la vénération du peuple, surtout dan
61 de la catholicité. Au pape d’Avignon, au pape de Rome , à l’antipape qu’on avait tenté de leur opposer — et tous les trois s
62 Huss, avant Wiclef, élevé contre la corruption de Rome et du clergé des protestations autrement violentes. Quant à la volont
33 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
63 ssurent, et l’État sa puissance matérielle. C’est Rome alors, c’est l’Empire romain qui nous donnera le symbole éternel de c
64 rnel de cette réaction collective. La victoire de Rome sur la Grèce, symboliquement interprétée, c’est la victoire de l’état
65 u de soldats. C’est l’histoire de la décadence de Rome . Le type d’homme que suppose l’État romain, c’est donc l’individu emb
66 elle a sombré dans l’anarchie. Et à son tour, la Rome étatique s’écroule sous son propre poids. De nouveau se reforme un vi
67 le besoin de se fédérer contre l’Empire et contre Rome , et cela se vérifie souvent au xvie siècle. Mais je maintiens que la
68 e ces deux phénomènes. En Russie, en Allemagne, à Rome et en Espagne, la distinction entre l’Église et l’État n’avait jamais
34 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
69 eligieuses en Orient et en Occident. ⁂ Bien avant Rome , les Celtes avaient conquis une grande partie de l’Europe actuelle. V
70 t du Nord-Est de la France, ils avaient mis à sac Rome et Delphes, et soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire
71 ens, brahmanes de l’Inde, pontifes et flamines de Rome . Le flamen porte d’ailleurs le même nom que le brahmane 21. Il est ce
72 nt subir un apparent « mariage » avec l’Église de Rome dont ils étaient les clercs, tout en servant dans leurs « pensées » u
73 qui ne s’évapore plus… Je ne veux ni l’Empire de Rome , ni qu’on m’en nomme le pape, si je ne dois pas faire retour vers ell
74 duobus principiis, publié par A. Dondaine, O. P., Rome 1939. Dondaine et Arno Borst datent ce traité de la seconde moitié du
75 st Amour. 72. Ce qui n’empêchera pas l’Église de Rome , en la personne du pape Innocent III qui rêvait de « l’empire du mond
76 rs gascons et troubadour lui-même, excommunié par Rome  ; et pour fille Marie de Champagne. 87. Le code « exotérique » le pl
35 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
77 ts avec une violence qui rappelle les procédés de Rome contre ses propres sectes. Mais ils ne purent ou ne voulurent les ané
78 s temps rend totalement impraticable. L’Église de Rome a triomphé. Mieux vaut dès lors se mettre du bon côté avec l’honnête
79 a… 7. Roméo et Juliette. — Milton Cependant Rome n’a pas triomphé partout. Il est une île où son pouvoir est contesté.
80 a guerre, la société devait la persécuter. Ce fut Rome qui porta le fer et le feu dans les provinces gagnées à l’hérésie. En
81 ait, lui avait promis de l’épouser, la renvoya de Rome malgré lui et malgré elle, dès les premiers jours de son empire. » (S
36 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
82 eligieuses en Orient et en Occident. ⁂ Bien avant Rome , les Celtes avaient conquis une grande partie de l’Europe actuelle. V
83 t du Nord-Est de la France, ils avaient mis à sac Rome et Delphes, et soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire
84 ens, brahmanes de l’Inde, pontifes et flamines de Rome . Le flamen porte d’ailleurs le même nom que le brahmane 14. Il est ce
85 nt subir un apparent « mariage » avec l’Église de Rome dont ils étaient les clercs, tout en servant dans leurs « pensées » u
86 qui ne s’évapore plus… Je ne veux ni l’Empire de Rome , ni qu’on m’en nomme le pape, si je ne dois pas faire retour vers ell
87 duobus principiis, publié par A. Dondaine, O. P., Rome 1939. Dondaine et Arno Borst datent ce traité de la seconde moitié du
88 st Amour. 64. Ce qui n’empêchera pas l’Église de Rome , en la personne du pape Innocent III qui rêvait de « l’empire du mond
89 rs gascons et troubadour lui-même, excommunié par Rome  ; pour filles Marie de Champagne et Aelis de Blois. 79. Le code « ex
37 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
90 ts avec une violence qui rappelle les procédés de Rome contre ses propres sectes. Mais ils ne purent ou ne voulurent les ané
91 s temps rend totalement impraticable. L’Église de Rome a triomphé. Mieux vaut dès lors se mettre du bon côté avec l’honnête
92 a… 7. Roméo et Juliette. — Milton Cependant Rome n’a pas triomphé partout. Il est une île où son pouvoir est contesté.
93 a guerre, la société devait la persécuter. Ce fut Rome qui porta le fer et le feu dans les provinces gagnées à l’hérésie. En
94 ait, lui avait promis de l’épouser, la renvoya de Rome malgré lui et malgré elle, dès les premiers jours de son empire. » (S
38 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
95 ssais une, ce serait celle de l’Église » (donc de Rome ). Allons donc ! Pour un protestant, ce dilemme est aussi choquant que
96 ue la Réforme a rejeté les prétentions du pape de Rome non par dégoût de l’autorité en soi, mais au contraire par grande fid
39 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). De Luther à Hitler (15 mars 1940)
97 er ? Oui ou non, l’axe Berlin-Rome passe-t-il par Rome , et non point par Genève ? Et si l’on persiste à prétendre que le lut
40 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
98 estants, si l’axe Berlin-Rome passe justement par Rome , qui n’est pourtant pas luthérienne. Je m’excuse de tant d’évidences,
41 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
99 ssurent, et l’État sa puissance matérielle. C’est Rome alors, c’est l’Empire romain qui nous donnera le symbole éternel de c
100 rnel de cette réaction collective. La victoire de Rome sur la Grèce, symboliquement interprétée, c’est la victoire de l’état
101 soldats. Telle est l’histoire de la décadence de Rome . Le type d’homme que suppose l’état romain, c’est donc l’individu emb
102 elle a sombré dans l’anarchie. Et à son tour, la Rome étatique s’écroule sous son propre poids. De nouveau se reforme un vi
103 le besoin de se fédérer contre l’Empire et contre Rome , et cela se vérifie souvent au xvie siècle. Mais je maintiens que la
104 e ces deux phénomènes. En Russie, en Allemagne, à Rome et en Espagne, la distinction entre l’Église et l’État n’avait jamais
42 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
105 ssurent, et l’État sa puissance matérielle. C’est Rome alors, c’est l’Empire romain qui nous donnera le symbole éternel de c
106 rnel de cette réaction collective. La victoire de Rome sur la Grèce, symboliquement interprétée, c’est la victoire de l’état
107 soldats. Telle est l’histoire de la décadence de Rome . Le type d’homme que suppose l’État romain, c’est donc l’individu emb
108 elle a sombré dans l’anarchie. Et à son tour, la Rome étatique s’écroule sous son propre poids. De nouveau se reforme un vi
109 le besoin de se fédérer contre l’Empire et contre Rome , et cela se vérifie souvent au xvie siècle. Mais je maintiens que la
110 e ces deux phénomènes. En Russie, en Allemagne, à Rome et en Espagne, la distinction entre l’Église et l’État n’avait jamais
43 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
111 dire toutes les Églises chrétiennes sauf celle de Rome qui se tient, par malheur, à l’écart. Or, dans cette œuvre à laquelle
44 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
112 t tous les fanatiques de l’Unité, Néron qui brûla Rome pour nourrir sa tristesse, Sade qui croyait à la Raison, Robespierre
113 trouver un autre chemin : un chemin qui ne mène à Rome , ni à Berlin, ni à Genève ni à Moscou, mais à nous-mêmes devant Dieu.
45 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
114 ssais une, ce serait celle de l’Église » (donc de Rome ). Allons donc ! Pour un protestant, ce dilemme est aussi choquant que
115 ue la Réforme a rejeté les prétentions du pape de Rome non par dégoût de l’autorité en soi, mais au contraire par grande fid
46 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
116 qui est plus large que celui dans lequel l’entend Rome ). L’Évangile nous apprend que chaque homme est susceptible de recevoi
47 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
117 s signe et symbole de l’Esprit. Un fils soumis de Rome , le grand Paul Claudel, pouvait écrire vers la fin de cette période q
48 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
118 ssurent, et où l’État reprend sa puissance. C’est Rome alors qui nous donnera le symbole éternel de la réaction collective.
119 éternel de la réaction collective. La victoire de Rome sur la Grèce est la première victoire fatale de l’étatisme sur l’indi
120 ng. Mais plus tard elle a sombré dans l’anarchie. Rome a triomphé de l’anarchie et sombre maintenant sous le poids de son ap
49 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
121 st de prose un groupe de mots de Mallarmé. Paris, Rome , en comparaison, sont d’immenses parcs semés de monuments. Le site et
50 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
122 est de prose un objet de mots de Mallarmé. Paris, Rome , en comparaison, sont d’immenses parcs semés de groupes de monuments.
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
123 vrai : cette ville historique est aussi l’autre «  Rome protestante ». Mais d’avoir vu ses profondes bibliothèques et son qua
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
124 est de prose un objet de mots de Mallarmé. Paris, Rome , en comparaison, sont d’immenses parcs semés de groupes de monuments.
53 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
125 briquer de l’allégorie, du bergsonisme de Prix de Rome , une métaphysique picturale et une picturalité pataphysique ! Moi, j’
54 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
126 s signe et symbole de l’Esprit. Un fils soumis de Rome , le grand Paul Claudel, pouvait écrire vers la fin de cette période q
55 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
127 chose qui, pour nous, Européens, héritiers de la Rome antique, revêt un sens presque majestueux, je veux dire des instituti
56 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
128 u congrès de Montreux jusqu’à ceux de La Haye, de Rome et, tout récemment, de Bruxelles. Parmi bien d’autres influences conj
129 l’Union européenne des fédéralistes réunissait à Rome son deuxième congrès annuel. À Montreux, nous avions tenu nos séances
130 enu nos séances dans une modeste salle d’hôtel. À Rome , on nous offrit le palais de Venise et toutes ses salles immenses, re
131 ite par les fédéralistes. Peu avant le congrès de Rome , le Comité de coordination des groupements militant pour l’union de l
57 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
132 vous êtes venus de Stockholm à Strasbourg — ou de Rome , ou même d’Ankara — en moins de temps qu’il n’en fallait, il y a cent
58 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
133 chiez ou non, vous êtes les députés d’Athènes, de Rome et de Jérusalem. Les députés de la conscience la plus inquiète que l’
59 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
134 sent pas le député de Mozart, ni d’Athènes, ni de Rome , ni de rien à vrai dire de ce qu’a pu signifier le nom d’Europe, c’es
60 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
135 vous êtes venus de Stockholm à Strasbourg — ou de Rome , ou même d’Ankara — en moins de temps qu’il n’en fallait, il y a cent
61 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
136 ôles peuvent être appelés symboliquement Athènes, Rome et Jérusalem. Athènes, c’est la découverte de l’individu, de l’homme
137 ératrice, mais aussi profanatrice, avec le sacré. Rome , c’est la création du citoyen, c’est-à-dire de l’individu réintégré d
138 gt siècles de combinaisons et d’analyse, Athènes, Rome , et Jérusalem, cela s’appelle aujourd’hui l’individualisme, le collec
139 ou historique tendant à prouver qu’entre Athènes, Rome et Jérusalem, il y avait, dès le départ, un drame, ou plutôt trois dr
140 èse hautement instable et créatrice d’Athènes, de Rome et de Jérusalem, n’ait cependant pas présenté certains des caractères
141 nts décisifs, qui ne sont nés ni d’Athènes, ni de Rome , ni de Jérusalem, ni de leurs combinaisons ? Il y a d’abord le temps.
62 1950, Lettres aux députés européens. Première lettre
142 vous êtes venus de Stockholm à Strasbourg — ou de Rome , ou même d’Ankara — en moins de temps qu’il n’en fallait, il y a cent
63 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
143 chiez ou non, vous êtes les députés d’Athènes, de Rome et de Jérusalem. Les députés de la conscience la plus inquiète que l’
64 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
144 sent pas le député de Mozart, ni d’Athènes, ni de Rome , ni de rien à vrai dire de ce qu’a pu signifier le nom d’Europe, c’es
65 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue Europe-Amérique (juin-juillet 1952)
145 e est en recul marqué dans nos pays. À Paris et à Rome , où il avait conquis au lendemain de la guerre d’importantes position
66 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
146 a Grèce ; celle qui conçut les droits du citoyen, Rome  ; celle, enfin, qui a donné au monde la notion totalement nouvelle de
67 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
147 e est en recul marqué dans nos pays. À Paris et à Rome , où il avait conquis au lendemain de la guerre d’importantes position
68 1952, Articles divers (1951-1956). La Suisse et l’Europe : M. Denis de Rougemont réagit (14 novembre 1952)
148 s de la prépondérance grecque, puis à l’Empire de Rome , on constate qu’elle avait déjà deux-mille ans d’existence quand les
69 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Conférence de compositeurs, critiques musicaux et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)
149 t exécutants. Elle aura lieu au printemps 1954, à Rome . Ses buts sont les suivants : 1. Donner l’occasion à de jeunes compo
150 on Le Centre européen de la culture invitera à Rome 75 à 100 personnes (compositeurs, critiques musicaux et exécutants) d
151 ernationale de musique : du 5 au 11 avril 1954, à Rome . Le Comité procède ensuite au choix préliminaire des 12 compositeurs
70 1952, Articles divers (1951-1956). Robert de Traz, l’Européen (1952)
152 par la civilisation « grecque et chrétienne — et Rome n’a fait qu’amplifier et parfois corrompre ces termes essentiels » qu
71 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
153 ofitent pour marquer des points. La conférence de Rome est ajournée, la CED reste en panne, l’Amérique s’énerve et laisse en
72 1953, Articles divers (1951-1956). Unité et diversité de l’Europe (juin 1953)
154 n de la vie sociale ou politique dérivent tous de Rome et de l’Église : au commencement furent la paroisse et la commune, to
155 erte par la Grèce avec l’individu, socialisée par Rome avec le citoyen, consacrée par l’Église romaine et la Réforme avec le
73 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
156 lu qualifier de décadente ». L’année prochaine, à Rome , une autre conférence groupant les plus grands compositeurs modernes,
74 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Perspectives du CEC (juillet octobre 1953)
157 ays du plan Schuman. Dès le lendemain s’ouvrait à Rome une table ronde, convoquée par le Conseil de l’Europe aux fins de déf
158 nous a point accablés ? Quant à la table ronde de Rome , elle avait reçu pour mission de s’occuper précisément de « l’idée »
75 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
159 pour la table ronde de l’Europe qui s’est tenue à Rome l’automne dernier. Pour situer rapidement cette entreprise, partons d
160 ances dans le huis-clos doré d’un vieux palais de Rome , mais bien d’en commenter certains thèmes dominants. Mis aux prises a
161 ion au confluent des courants issus d’Athènes, de Rome et du Proche-Orient ; son expansion dans le monde entier ; l’exportat
76 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
162 et ambassadeur, et finalement mourut assassiné à Rome , étant alors chef du gouvernement pontifical de Pie IX : c’était en 1
77 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
163 ndais retrouvent non seulement le catholicisme de Rome , mais un fonds celtique plus ancien qui leur est congénial, et sur le
164 peut expliquer en partie la tolérance montrée par Rome , dans les débuts, à l’égard des innovations religieuses de Zurich. L’
165 rs prêts à conclure des alliances étrangères avec Rome , l’empereur, ou la France, pour assurer les droits de leur minorité m
166 itaire, comme ailleurs. Ses diocèses dépendent de Rome . Du point de vue politique, elle défend la traditionnelle liberté des
78 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
167 pour la table ronde de l’Europe qui s’est tenue à Rome l’automne dernier. Pour situer rapidement cette entreprise, partons d
168 ances dans le huis clos doré d’un vieux palais de Rome , mais bien d’en commenter certains thèmes dominants. Contraint de don
169 ion au confluent des courants issus d’Athènes, de Rome et du Proche-Orient ; son expansion dans le monde entier ; l’exportat
170 omain et envers Arpino, Paul son loyalisme envers Rome et Tarse. Un conflit de loyalismes n’a pas plus de raison d’être dans
171 re dans l’Europe d’aujourd’hui qu’il n’en avait à Rome . Les nations européennes ne peuvent survivre que dans le cadre de l’E
172 é finalement que cette table ronde se réunirait à Rome le 13 octobre et siégerait pendant quatre jours, que M. Denis de Roug
79 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
173 Lors des débats de la table ronde de l’Europe, à Rome , deux arguments m’ont frappé, comme étant propres à éduquer le sens e
80 1954, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Visite à M. Denis de Rougemont, directeur du Centre européen de la culture (septembre 1954)
174 eurs, interprètes et critiques, qui s’est tenue à Rome et a traité de la musique du xxe siècle, et un Prix de littérature e
81 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
175 oulait la conduire à l’Europe, à la fois fille de Rome et mère de nos nations. Et voilà que l’Europe soudain chancelle, hési
176 casion de la table ronde convoquée l’an dernier à Rome par le Conseil de l’Europe. Pendant les cinq jours que durèrent les d
82 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
177 r : c’est par là qu’ils diffèrent profondément de Rome , devant cette Grèce agrandie que figure assez bien l’Europe. Une Euro
83 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
178 es pressions opposées de l’empereur ou du pape de Rome , déposer ou non le patriarche de Byzance, et soudain la tourbe des mo
84 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
179 gieuses hellénisées, plus l’idéal d’une Troisième Rome , idéal qui sera puissant jusqu’à nos jours, mais réservé à une élite
180 férant la domination des Khans à celle du pape de Rome , deviendra l’un des héros et des saints les plus populaires de la Rus
181 plus en plus profonde entre l’Église orthodoxe et Rome correspond à l’absence à peu près complète de relations culturelles e
85 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
182 st Amour. 15. Ce qui n’empêchera pas l’Église de Rome , en la personne du pape Innocent III qui rêvait de « l’empire du mond
86 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Après le congrès de Trieste (février 1956)
183 d’Europe, dont le professeur V. Arangio-Ruiz, de Rome , a pris la présidence, tandis que le professeur M. Mouskhély, de Stra
87 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une deuxième table ronde de l’Europe (février 1956)
184 la première table ronde de l’Europe, organisée à Rome , en octobre 1953, par le Conseil de l’Europe. Cette manifestation exc
185 de donner une suite effective à la déclaration de Rome , le Conseil de l’Europe a convoqué, du 16 au 23 mars prochains, un gr
88 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
186 ui régnait au Kremlin — mais non pas à Paris ni à Rome , que l’on sache — pour s’excuser de n’avoir vraiment pas pu crier au
89 1956, Articles divers (1951-1956). Un exemple pour l’Europe (octobre 1956)
187 des débats de la table ronde de l’Europe tenue à Rome en 1953, deux arguments m’ont frappé comme étant propres à éduquer le
90 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
188 « un peu de temps » et le Christ reviendra. Mais Rome s’écroule, l’Église s’installe, et les Barbares se convertissent. Il
91 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
189 am de Mahomet II, comme l’héritière chrétienne de Rome et de la Grèce. Chacun sait la fortune que devait connaître cette déf
190 e Congrès international des sciences historiques, Rome , septembre 1955). b. « De l’unité de culture à l’union politique »,
92 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
191 ion Volant de Genève à Londres, à La Haye ou à Rome , je lis les prospectus qu’on nous donne sur ces villes. Les photos, l
192 us rencontrer à Londres, à La Haye, à Genève ou à Rome , dans le seul dessein de fédérer l’Europe, si nous y parvenons, ce ne
93 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
193 tion, dialectique, ecclesia — Jérusalem, Athènes, Rome  — ces trois mots inconnus de l’Orient, ces trois noms chargés de sens
94 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
194 es pressions opposées de l’empereur ou du pape de Rome , déposer ou non le patriarche de Byzance — et soudain la tourbe des m
195  » à la brutale mise au pas du Romain. Apport de Rome . — Il se résume dans le terme viril de citoyen. L’homme ne tient plus
196 sclérose collectiviste qui va causer la chute de Rome . C’est au sein de cette société dont les structures rigides n’encadre
197 ans son équilibre en tension, unit le meilleur de Rome et de la Grèce, elle est aussi menacée, dans le monde du péché, par u
198 été. Des religions ? Bien sûr. Mais c’est ici que Rome révèle sa carence essentielle. Elle impose avec trop de rigueur des r
199 dans nos liturgies, comme le titre suprême de la Rome païenne, le pontifex, désigne encore les papes. Etc. Stratifications
200 te fut d’un puissant attrait pour les esclaves de Rome , ainsi voit-on de nos jours le message communiste apporter la promess
201 aine ; elle sauvait le meilleur de la Grèce et de Rome en opérant l’intégration sans précédent de l’individu libre et du cit
95 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
202 r : c’est par là qu’ils différent profondément de Rome , devant cette Grèce agrandie que figure assez bien l’Europe. Une Euro
96 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
203 « un peu de temps » et le Christ reviendra. Mais Rome s’écroule, l’Église s’installe, et les Barbares se convertissent. Il
97 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
204 mbinaison fit l’Occident : la Grèce, le judaïsme, Rome et la foi chrétienne, les voici revenus à l’œuvre en un seul homme, d
98 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
205 nt, nous voyons le christianisme — et l’Église de Rome elle-même — se délier des pouvoirs temporels pour se conformer d’auta
99 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
206 vinrent à circuler entre la Chine et les papes de Rome et d’Avignon, par l’intermédiaire des princes nestoriens d’Asie et de
207 Bhagavad-Gita96. Tous les chemins doivent mener à Rome d’abord, dit l’Église catholique. Et les réformateurs ne seront pas m
100 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Centre européen de la culture : ce qu’il fait — d’où il vient — où il va (février 1958)
208 compositeurs, critiques et interprètes musicaux à Rome (5-16 avril). — Signature des statuts et ouverture de la Fondation eu