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te réalité humaine », Et vous citez la légende de
Rudel
, et vous me reprochez de n’avoir pas rêvé là-dessus et de n’en avoir
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vais pas rêvé (et un peu plus…) sur l’aventure de
Rudel
, si j’étais insensible à cette éloquence passionnée et à cette beauté
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j’entends la sœur me l’octroyer. » D’autre part,
Rudel
« décrit » ainsi sa Dame : elle a le corps « gras, delgat et gen ». O
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56. « Consacrées par l’usage » ? Depuis quand ?
Rudel
utilisait ce procédé, et il est de la première moitié du xiie siècle
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rudité intraduisible » d’un Marcabru et même d’un
Rudel
. Mais tirer argument de cette crudité en faveur de la thèse sensualis
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j’entends la sœur me l’octroyer. » D’autre part,
Rudel
« décrit » ainsi sa Dame : elle a le corps « gras, delgat et gen ». O
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58. « Consacrées par l’usage ? » Depuis quand ?
Rudel
utilisait ce procédé, et il est de la première moitié du xiie siècle
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j’entends la sœur me l’octroyer. » D’autre part,
Rudel
« décrit » ainsi sa Dame : elle a le corps « gras, delgat et gen ». O
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51. « Consacrées par l’usage ? » Depuis quand ?
Rudel
utilisait ce procédé, et il est de la première moitié du xiie siècle
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rudité intraduisible » d’un Marcabru et même d’un
Rudel
. Mais tirer argument de cette crudité en faveur de la thèse sensualis
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rentaise par Cercamon, les Ventadour, Marcabru et
Rudel
. Or nous savons que Marcabru, protégé par le fils de Guillaume IX, fu