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er. Or on parle de l’élever à la présidence de la
République
. Qu’un tel acte serait adéquat ! Tamerlan, dont la spécialité était l
2
amphlet — ce sont les philosophes de la Troisième
République
. On peut recommander la lecture de ce livre, parce qu’il a le mérite
3
confectionnée par les idéologues de la Troisième
République
, a gardé parmi nous quelque prestige. Un je ne sais quoi de rassurant
4
t José Ortega y Gasset, l’un des fondateurs de la
République
espagnole, et l’un des meilleurs exemples de l’influence réelle et di
5
corps officiellement constitué dans la Troisième
République
… 2. Et non pas au nom d’un « ordre social chrétien qui s’opposerait
6
Sinistre farce. Morale officielle de la Troisième
République
, de l’Amérique et des Soviets. Nous croyons ici que la dignité de l’h
7
blicains attardés et indulgents qui disent : « La
République
parlementaire, mais elle a fait l’Empire colonial, elle a constitué u
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corps officiellement constitué dans la Troisième
République
… 32. Et non pas au nom d’un « ordre social chrétien », qui s’opposer
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Sinistre farce. Morale officielle de la Troisième
République
, de l’Amérique et des Soviets. Nous croyons ici que la dignité de l’h
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corps officiellement constitué dans la Troisième
République
… 25. Et non pas au nom d’un « ordre social chrétien », qui s’opposer
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Sinistre farce. Morale officielle de la Troisième
République
, de l’Amérique et des Soviets. Nous croyons ici que la dignité de l’h
12
tes, légende chère aux historiens de la Troisième
République
, cède aux premiers regards que nous pouvons porter sur les grands fai
13
ais qu’un musée des lieux communs de la Troisième
République
. Non point de ceux que l’on révère en fait, qui règnent en fait, car
14
ique, car l’enseignement officiel de la Troisième
République
a su répandre une doctrine de l’esprit tout à fait propre à aveugler
15
s d’autorité. Certain gouvernement d’une certaine
République
nous en donne un exemple typique. L’autorité serait-elle mieux défini
16
tredire l’histoire telle que la veut la Troisième
République
. Gens d’affaires et philosophes ont donc commis la même erreur : ils
17
tredire l’histoire telle que la veut la Troisième
République
. Gens d’affaires et philosophes ont donc commis la même erreur : ils
18
baudet s’est parfaitement défini : « badaud de la
République
des Lettres, ayant sa place à la terrasse du café de leur commerce, e
19
e contradiction ? Le gouvernement de la Troisième
République
, ce défenseur légal de la raison contre les entreprises rétrogrades d
20
aut de la développer —, c’est encore la Troisième
République
: un État faible, dont le centre est lointain, qui ne croit à rien, e
21
qu’on ne se devait point mêler des affaires de la
République
. Si on y agit bien — disait-il — on offensera les dieux ; donc on ne
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éfaut de la développer, c’est encore la Troisième
République
: un État faible, dont le centre est lointain, qui ne croit à rien, e
23
e contradiction ? Le gouvernement de la Troisième
République
, ce défenseur légal de la raison contre les entreprises rétrogrades d
24
libéral à Nuremberg, le « national » place de la
République
, le « populaire » au haut des Champs-Élysées. Qu’est-ce qu’un mauvais
25
. 23 et 286). Elle le situe dans les cadres de la
République
radicale. Ainsi le catholicisme, interprété par Alain, serait une sag
26
Reich promettait de comprendre, il proclamait la
République
, il allait essayer, lui aussi, de pratiquer les droits de l’homme… Et
27
emière possibilité s’est amorcée dès la fin de la
République
romaine, quand le César est devenu un dieu. Et c’est l’échec de cette
28
comme c’est le cas de la France sous la Troisième
République
. Cela ne signifie pas, bien entendu, que le calvinisme ne puisse dévi
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emière possibilité s’est amorcée dès la fin de la
République
romaine, quand César est devenu un dieu. Et c’est l’échec de cette re
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emière possibilité s’est amorcée dès la fin de la
République
romaine, quand César est devenu un dieu. Et c’est l’échec de cette re
31
omme ce fut le cas de la France sous la Troisième
République
? Comment expliquer ce fait ? À défaut d’une étude nuancée, — dont je
32
éfaut de la développer, c’est encore la Troisième
République
: un État faible, dont le centre est lointain, qui ne croit à rien, e
33
e contradiction ? Le gouvernement de la Troisième
République
, ce défenseur légal de la raison contre les entreprises rétrogrades d
34
le libéral à Nuremberg, le “national” place de la
République
, le “populaire” au haut des Champs-Élysées. Qu’est-ce qu’un mauvais c
35
Reich promettait de comprendre, il proclamait la
République
, il allait essayer, lui aussi, de pratiquer les droits de l’homme… Et
36
orza, Fernando de los Rios (ancien ministre de la
République
espagnole), Dorothy Thompson, plusieurs publicistes influents et Pert
37
aulle, président du gouvernement provisoire de la
République
française vous prie de lui faire l’honneur d’assister à la réception
38
et demi ou deux, disparaîtra tout comme une autre
République
sérénissime de Venise, ne laissant qu’un souvenir ou un décor, parce
39
re le rapporteur : Mme Saumier, conseillère de la
République
et présidente de la Commission de l’Éducation nationale ; M. Paul Bre
40
les ministres par un discours du président de la
République
, lui-même fédéraliste convaincu. Le comte Sforza vint à l’une des séa
41
ai. l. « Grandeur de la Petite Europe », La IVe
République
des Pyrénées, Pau, 5 décembre 1952, p. 1-2.
42
à la « libérer ». Pendant plusieurs années, la «
République
helvétique une et indivisible » improvisée par les Français sur le ty
43
d’un seul État. Pendant la brève période de la «
République
helvétique » (1799-1803), la France révolutionnaire tenta d’imposer a
44
s n’est pas du tout l’équivalent du Conseil de la
République
en France ou de la Chambre des Lords. Il ne ressemble qu’au Sénat amé
45
Ross (Danemark), de Carmoy (France), Friedländer (
République
fédérale d’Allemagne), Cotsaridas (Grèce), Gudmundsson (Islande), Mis
46
acobine entrepris à ce moment-là sous le nom de «
République
helvétique une et indivisible » échoua rapidement, et Napoléon reconn
47
etaille qui représentent valablement la Troisième
République
comme telle. Et les peuples ont bien moins besoin de se connaître per
48
i, préfèrent le climat, pourtant contraint, de la
République
démocratique à la précaire liberté de la République fédérale, où la r
49
publique démocratique à la précaire liberté de la
République
fédérale, où la restauration continue de gagner », etc. (p. 668). Ou
50
acobine entrepris à ce moment-là sous le nom de «
République
helvétique une et indivisible » échoua rapidement, et Napoléon reconn
51
recommandé de soutenir le Centre. (Mais la seule
République
fédérale donna vraiment suite à ce vœu, d’autres se contentant de « g
52
des unions étrangères contre nous (exemples de la
République
arabe et de Bandung). — L’Europe mise au défi dans son ensemble par l
53
traditions sacrées toute tentative de libérer la
République
de ce qui la tue, après l’avoir fait naître. Ce n’est pas en quelques
54
éricains, quand ce n’est pas un complot contre la
République
une et indivisible de Saint-Just, c’est-à-dire contre la patrie, l’ho
55
ac » — ô les grands jours de la IIIe et de la IVe
République
! — mais l’antidote que l’Europe peut trouver au virus du nationalism
56
l est parlé dans au moins sept autres pays que la
République
fédérale allemande. Il est parlé naturellement dans l’Allemagne de l’
57
souhaitent avoir pour prochain président de leur
République
un professeur, 18 % souhaitent un homme politique, 1 % souhaite un gé
58
naît d’autres lois que celles de la photographie.
République
des caméras. On sait que la bonne conscience du journaliste est dans
59
taire aux cantons. Cette expérience jacobine de «
République
une et indivisible » échoua contre la résistance presque unanime des
60
vait remis à la Convention un ouvrage intitulé la
République
universelle, dans lequel il demandait la suppression des gouvernement
61
ouvernements locaux, et leur remplacement par une
République
mondiale dont le centre serait Paris : Un corps ne se fait pas la gu
62
ssurer l’Europe sur les intentions de la nouvelle
République
: celle-ci « ne fera point de propagande sourde ou incendiaire chez s
63
x polonais de Londres, et même le président de la
République
en exil, s’étaient violemment opposés à toute négociation avec l’enne
64
, des centaines d’Allemands de l’Est passaient en
République
fédérale, manifestant ainsi leur libre choix au prix du sacrifice de
65
est évident qu’elle est menée au détriment de la
République
, plutôt qu’à son profit et avantage… Et puisqu’un État n’est qu’une p
66
ovince chrétienne n’est qu’une partie de toute la
République
, j’estime que même si une guerre est utile à une province, ou à un Ét
67
és entre eux et participent merveilleusement à la
République
universelle ». Mais cette universalité reste purement morale, sinon s
68
merci. En effet, dira le même Jean Bodin dans sa
République
: La grandeur d’un prince, à en bien parler, n’est autre chose que l
69
« gaulois ». Dans l’un de ses livres intitulé La
République
des Turcs (1560), il se nomme au contraire et à plusieurs reprises co
70
orer tous les projets concernant l’ensemble de la
République
chrétienne. Le Conseil de l’Europe a les compétences et les devoirs d
71
: la Savoie, le Piémont, Montferrat et Milan. La
République
helvétique est renforcée territorialement : elle s’accroît de la Fran
72
e en Europe par le Citoyen Delaunay, Consul de la
République
, Paris 1794. L’auteur commence par avertir que quand on rêve pour le
73
bliques et particulières, en ont fait une immense
République
. … L’Europe présente une République fédérative, composée d’empires &a
74
t une immense République. … L’Europe présente une
République
fédérative, composée d’empires & de royaumes, & la plus redou
75
oots remet à la Convention un ouvrage intitulé La
République
universelle, dans lequel il demande la suppression des gouvernements
76
ouvernements locaux, et leur remplacement par une
République
mondiale centralisée : Un corps ne se fait pas la guerre à lui-même,
77
droit dans notre association fraternelle, dans la
République
des Hommes, des Germains, des Universels. Art. III. — À défaut de con
78
ionnels. Gentz repousse avec force l’utopie de la
République
universelle et unitaire des jacobins, qui n’est autre qu’une version
79
lobe, sera réuni par les institutions de l’unique
République
universelle de la culture, qui comprendra tous les peuples. À l’expa
80
assage à l’axe européen. Voici d’abord l’Europe «
République
des savants », telle qu’un Voltaire pouvait la définir : L’Europe en
81
re pouvait la définir : L’Europe entière est une
République
des savants qui, d’une part grâce à une grande rivalité interne, d’au
82
inische Merkur, un grand article anonyme sur « La
République
européenne » où l’Europe est décrite comme une création des Germains.
83
lue la Sainte-Alliance comme la « fondation d’une
République
européenne au pied des autels du Dieu inconnu. » Il annonce en même t
84
stiné surtout à la transition finale de la grande
République
occidentale, formée des cinq populations avancées, française, italien
85
e-Hélène sur l’avenir prochain du monde, qui sera
République
américaine ou Monarchie universelle russe, — la décourageante prophét
86
de la fraternité internationale sur le globe… La
République
exercera, par la lueur de ses idées, par le spectacle d’ordre et de p
87
crie213 : … à coup sûr, cette chose immense, la
République
européenne, nous l’aurons. Nous aurons ces grands États-Unis d’Europe
88
inte-Hélène, prévoit que le monde sera sous peu «
République
américaine ou Monarchie universelle russe », et que l’Europe ne peut
89
res Pierre Wigny (Belgique) et H.-J. von Merkatz (
République
fédérale), La Haye, 1955. Le Conseil des communes d’Europe, plus nett
90
ôt que de les laisser mettre à feu et à sang la «
République
chrétienne », lisons européenne23. Inutile de dire que ce plan ne ren
91
792 sur la tribune de la Convention, un projet de
République
universelle dont la commune de Paris serait le centre omnipotent. Cur
92
nnaire en Allemagne ». (Rien n’est plus faux : la
République
fédérale joue Brecht autant qu’on le joue à Paris, ce n’est pas peu d
93
ôle comparable à celui des départements dans une
République
une et indivisible, ce qui amènerait à les redécouper en circonscript
94
omme ce fut le cas de la France sous la Troisième
République
? Comment expliquer ce fait ? À défaut d’une étude nuancée — dont je
95
État que depuis 1848 (si l’on néglige l’éphémère
République
helvétique que les Suisses se laissèrent imposer par le Directoire).
96
é. Le décret du Directoire, en 1798, créant une «
République
helvétique », transforme en cantons libres les bailliages et pays suj
97
résente. Car dans ce pays, il n’est pas une seule
République
qui ne se soit modifiée de manière à ne pouvoir être confondue avec a
98
ire la neutralité comme un des « fondements de la
République
», mais c’étaient surtout les puissances étrangères qui insistaient s
99
militaire et à l’instauration artificielle de la
République
helvétique, « une et indivisible », à la française. Faut-il attribuer
100
der si, avant le coup de force français créant la
République
indivisible, il existait vraiment une Suisse, une réalité fédérale. C
101
pour que Sully inclue dans son Europe unie une «
République
helvétique » augmentée de la Franche-Comté, de l’Alsace et du Tyrol.
102
éaliste, l’a pressenti. Convaincu dès 1802 que la
République
unitaire ne serait jamais un corps vivant, il déclarait en préambule
103
’est à partir de la conquête française créant une
République
indivisible qu’elles se virent toutes réduites au rang de cantons, au
104
l, au fédéralisme à base régionale : j’entends la
République
française une et indivisible. Une bonne douzaine d’ouvrages ont paru
105
ent devant l’assemblée annuelle des préfets de la
République
: L’Europe peut nous tomber sur la tête un beau matin… vers 1985. La
106
l, au fédéralisme à base régionale : j’entends la
République
française une et indivisible. La bibliographie des ouvrages consacré
107
ressiste française pour la construction d’une VIe
République
. Nous réclamons la création d’États régionaux français. Ces États rég
108
ant un colloque réunissant tous les préfets de la
République
: L’Europe peut nous tomber sur la tête un beau matin… vers 1985. La
109
l, au fédéralisme à base régionale : j’entends la
République
française une et indivisible. La bibliographie des ouvrages consacrés
110
ressiste française pour la construction d’une VIe
République
. Nous réclamons la création d’États régionaux français. Ces États rég
111
ant un colloque réunissant tous les préfets de la
République
: L’Europe peut nous tomber sur la tête un beau matin… vers 1985. La
112
rande maxime, qui conteste un monde : celui de la
République
une et indivisible des jacobins, de l’Empire napoléonien qui la conti
113
Suisse, le Haut-Rhin en France, et Land badois en
République
fédérale d’Allemagne. Rien au monde ne saurait empêcher les citoyens,
114
grande maxime, qui conteste un monde, celui de la
République
une et indivisible des jacobins, de l’Empire napoléonien qui la conti
115
e n’avoir été préconisé que par des traîtres à la
République
… Il est vrai que mon Littré date de 1865 : « fédéralisme » y est enco
116
e n’avoir été préconisé que par des traîtres à la
République
… Il est vrai que mon Littré date de 1865 : « fédéralisme » y est enco
117
ite l’échafaud, qui est le sort des traîtres à la
République
. Ainsi, le Français cultivé se voit naturellement porté à condamner l
118
ime, à ce roi Marc que figurait le Pays légal, la
République
. Puis il a dû s’éloigner d’elle et de la Cour, de nouveau, écœuré par
119
les ministres par un discours du président de la
République
, lui-même fédéraliste convaincu. Le comte Sforza vint à l’une des séa
120
e n’avoir été préconisé que par des traîtres à la
République
… Pratiquement, le Français cultivé se voit naturellement porté à cond
121
semblait-il, au fédéralisme à base régionale, la
République
française une et indivisible. La bibliographie des ouvrages consacrés
122
s d’un colloque réunissant tous les préfets de la
République
: L’Europe peut nous tomber sur la tête un beau matin… vers 1985. La
123
grande maxime qui conteste un monde : celui de la
République
une et indivisible des jacobins, de l’Empire napoléonien qui la conti
124
e n’avoir été préconisé que par des traîtres à la
République
… Il est vrai que mon Littré date de 1865 : « fédéralisme » y est enco
125
es États provinciaux », et il rappelait que si la
République
une et indivisible s’est opposée au fédéralisme, c’est parce que la g
126
der avec un État-nation, il faudrait annexer à la
République
fédérale outre l’Allemagne de l’Est, l’Autriche, la Suisse alémanique
127
der avec un État-nation, il faudrait annexer à la
République
fédérale outre l’Allemagne de l’Est, la Suisse alémanique, les Sudète
128
coïncider avec un État, il faudrait annexer à la
République
fédérale, outre la DDR, la Suisse alémanique, les Sudètes, l’Autriche
129
les chances de se réaliser beaucoup mieux dans la
République
européenne, grâce à l’action d’aristocraties culturelles (groupes de
130
der avec un État-nation, il faudrait annexer à la
République
fédérale outre l’Allemagne de l’Est, la Suisse alémanique, l’Autriche
131
rement de la Grande-Bretagne, de l’Espagne, de la
République
fédérale et de l’Italie. Devant l’impossibilité d’administrer et d’an
132
s Pictet de Rochemont, le futur négociateur de la
République
au congrès de Vienne, avait publié quatre opuscules en dialecte savoy
133
e les candidats « sérieux » à la présidence de la
République
française, qu’ils soient de gauche ou de droite, ou gaullistes, reven
134
ons. À Paris, les candidats à la présidence de la
République
proclament à l’envie qu’ils sauront faire prévaloir « les intérêts de
135
se à l’impérialisme américain, elle conduit à une
République
populaire nationale et démocratique à dictature militaire résolument
136
e à l’impérialisme soviétique, elle conduit à une
République
populaire nationale et socialiste à dictature militaire résolument dé