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umains, comme à l’abri des touches fulgurantes du
Saint-Esprit
. La politique romaine est la recherche d’une harmonie statique des re
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irituel, tel que nous venons de le définir, et le
Saint-Esprit
dont parle la théologie, réalité qui, pour le chrétien, reste d’un or
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pas l’Esprit, le seul auquel je croie, qui est le
Saint-Esprit
. L’homme naturel ne connaît que la « chair » selon l’expression de l’
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umains, comme à l’abri des touches fulgurantes du
Saint-Esprit
. La politique romaine est la recherche d’une harmonie statique des re
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pas l’Esprit, le seul auquel je croie, qui est le
Saint-Esprit
. L’homme naturel ne connaît que la « chair » selon l’expression de l’
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rs chrétiens, — mais cela prête à malentendu : le
Saint-Esprit
se moque de nos psychologies. 36. Histoire du peuple d’Israël, t.
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jamais de ce que l’Église fait. Instruite par le
Saint-Esprit
et par la tradition de tous les siècles, elle sait ce que Jésus-Chris
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us en révéler dans l’Écriture, et par l’action du
Saint-Esprit
, grâce auquel l’Écriture nous parle. Serions-nous donc d’accord ? Lis
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e l’Écriture ? — Relisez-moi : « Instruite par le
Saint-Esprit
et par la tradition de tous les siècles, elle sait ce que Jésus-Chris
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le secret du Christ, c’est « qu’instruite par le
Saint-Esprit
et par la tradition de tous les siècles, elle sait ce que Jésus-Chris
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t guide, une Bible… ou le témoignage intérieur du
Saint-Esprit
, qu’il sera bien incapable de différencier de sa nature à lui, de son
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torité des conciles se fonde sur l’inspiration du
Saint-Esprit
. Comment ce Saint-Esprit sera-t-il contrôlé, si j’ose dire, et « diff
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nde sur l’inspiration du Saint-Esprit. Comment ce
Saint-Esprit
sera-t-il contrôlé, si j’ose dire, et « différencié de la nature » de
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: « brûler les hérétiques n’est pas contraire au
Saint-Esprit
». C’est simplement la condamnation de la thèse inverse de Luther ! D
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Faire la guerre aux Turcs n’est pas contraire au
Saint-Esprit
. » 33. L’acte de la grâce, l’acte libre et parfait de la libre grâce
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Dieu que par Sa révélation dans cette Parole. Le
Saint-Esprit
ouvre nos cœurs à cette Parole, Il la rend vivante et agissante en no
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r son incarnation dans le Fils, reconnue grâce au
Saint-Esprit
. Laissons l’aspect théologique de cet ouvrage : son style de pensée,
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ntend par ce mot tantôt l’intelligence, tantôt le
Saint-Esprit
, tantôt le luxe des délicats, tantôt les facultés créatrices de l’hom
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ntend par ce mot tantôt l’intelligence, tantôt le
Saint-Esprit
, tantôt le luxe des délicats, tantôt les facultés créatrices de l’hom
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ntend par ce mot tantôt l’intelligence, tantôt le
Saint-Esprit
, tantôt le luxe des délicats, tantôt les facultés créatrices de l’hom
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a Trinité ! Ils disent que le Père, le Fils et le
Saint-Esprit
ne font qu’un. Vous voyez que l’Église est réfutée par l’arithmétique
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a Trinité ! Ils disent que le Père, le Fils et le
Saint-Esprit
ne font qu’un. Vous voyez que l’Église est réfutée par l’arithmétique
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ique ; enfin, elle exagère et dénature le rôle du
Saint-Esprit
(du « Paraclet ») dont elle fait « la Mère de Dieu », le principe fém
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naît qu’un seul « sacrement » c’est le baptême du
Saint-Esprit
consolateur, le baiser de paix ou consolamentum que donne le prêtre a
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aite pauvreté d’esprit… Mais ceux qui sont nés du
Saint-Esprit
et chantent ses louanges, pratiquent toutes les vertus. Ils connaisse
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ns constituant la Trinité, le Père, le Fils et le
Saint-Esprit
, les docteurs de l’Église grecque avaient adopté le terme romain de p
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aite pauvreté d’esprit… Mais ceux qui sont nés du
Saint-Esprit
et chantent ses louanges, pratiquent toutes les vertus. Ils connaisse
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aite pauvreté d’esprit… Mais ceux qui sont nés du
Saint-Esprit
et chantent ses louanges, pratiquent toutes les vertus. Ils connaisse
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à l’orthodoxie comme à une assurance prise sur le
Saint-Esprit
autant que sur le doute. (Il cite ce mot d’un catholique à un pasteur
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t défendre l’esprit, mais pour certains, c’est le
Saint-Esprit
de la théologie, pour d’autres, c’est la raison humaine ou l’ensemble
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ntané d’une strophe du Te Deum : « Gloire soit au
Saint-Esprit
… » Puis bénédiction.) Telle est cette liturgie, exposé et témoignage
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ns constituant la Trinité, le Père, le Fils et le
Saint-Esprit
, les docteurs de l’Église grecque avaient adopté le terme romain de p
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t défendre l’esprit, mais pour certains, c’est le
Saint-Esprit
de la théologie, pour d’autres, c’est la raison humaine, ou l’ensembl
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ns constituant la Trinité, le Père, le Fils et le
Saint-Esprit
, les docteurs de l’Église grecque avaient adopté le terme romain de p
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forte prononce : « Au nom du Père, du Fils et du
Saint-Esprit
», annonçant la bénédiction. Si je relève tous ces traits, c’est que
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ver. Il imite en la caricaturant l’action même du
Saint-Esprit
, toujours ambiguë pour notre doute et déconcertante pour notre raison
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ver. Il imite en la caricaturant l’action même du
Saint-Esprit
, toujours ambiguë pour notre doute et déconcertante pour notre raison
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ver. Il imite en la caricaturant l’action même du
Saint-Esprit
, toujours ambiguë pour notre doute et déconcertante pour notre raison
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r. Il imite, en la caricaturant, l’action même du
Saint-Esprit
, toujours ambiguë pour notre doute et déconcertante pour notre raison
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à l’orthodoxie comme à une assurance prise sur le
Saint-Esprit
au moins autant que sur le doute. (Il cite ce mot d’un catholique à u
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re oreille : « Je suis le Père, et le Fils, et le
Saint-Esprit
! » — la plupart d’entre vous, sans plus d’enquête, le conduiraient t
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aleux secret de sa perfection. Dans la sagesse du
Saint-Esprit
incarné, il passe, étranger, silencieux. Étant tout et toutes choses,
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nous le traiterons ! Il se pourrait qu’il soit le
Saint-Esprit
incarné, le Christ errant de nouveau parmi les hommes Et de plus, s’i
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Dieu, de se fermer totalement aux inspirations du
Saint-Esprit
. Aucune église ou secte n’a jamais nié que son chef réel fût au ciel,
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nté par un chœur anglican, se voit coupé avant le
Saint-Esprit
par la publicité d’un laxatif. Décembre 1940 Point d’artisanat
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a Trinité ! Ils disent que le Père, le Fils et le
Saint-Esprit
ne font qu’un. Vous voyez que l’Église est réfutée par l’arithmétique
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nté par un chœur anglican, se voit coupé avant le
Saint-Esprit
par la publicité d’un laxatif. Décembre 1940 Point d’artisanat
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forte prononce : « Au nom du Père, du Fils et du
Saint-Esprit
», annonçant la bénédiction. Si je relève tous ces traits, c’est que
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que Créateur, le Fils en tant que Rédempteur, le
Saint-Esprit
en tant que Libérateur ? Comment sauvegarder à la fois la distinction
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que Créateur, le Fils en tant que Rédempteur, le
Saint-Esprit
en tant que Libérateur ? Comment sauvegarder à la fois la distinction
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té des « aspects » du Dieu révélé (Père, Fils, et
Saint-Esprit
) ? Ensuite, comment concilier en un seul être historique et divin, Jé
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disciplinaires, diplomatie secondant l’action du
Saint-Esprit
, finalement mise aux voix de la vérité. La voie vers l’unité à découv
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s les dogmes fondamentaux sur Dieu, le Christ, le
Saint-Esprit
, l’Incarnation et la Résurrection, sont communément professés ; qu’un
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divin, lorsque les trompettes divines, au nom du
Saint-Esprit
, annoncent : « combien il est bon, combien il est agréable de vivre a
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tion, après avoir invoqué à cet effet la grâce du
Saint-Esprit
, avec les conseils et l’accord des prélats, des princes, des grands,
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ent en termes théologiques au Père, au Fils et au
Saint-Esprit
; en termes philosophiques à ce qu’il appelle l’en soi, le pour soi,
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t dogmatiques : la Trinité d’abord, Père, Fils et
Saint-Esprit
, définis en termes de structures et de relations musicales pour la co
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ts par la formule « Au nom du Père, du Fils et du
Saint-Esprit
» et que cette formule soit prise au sérieux par le prédicateur à tel
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», sans se compromettre, ce sera pour certains le
Saint-Esprit
, et pour d’autres un message de l’inconscient. Parfois, l’on s’imagin
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situation que crée dans l’homme l’intervention du
Saint-Esprit
. Encore une fois, je n’entends ici que suggérer des directions possib
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Dieu, de se fermer totalement aux inspirations du
Saint-Esprit
. Aucune Église ou secte n’a jamais nié que son chef réel fût au ciel,
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nt pressenti. « Au nom du Père, et du Fils, et du
Saint-Esprit
! Ici doit être notre cimetière ! » s’est écrié le landamman de Zoug
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les risques de la Foi et de la confiance dans le
Saint-Esprit
. Je souligne seulement que les risques inverses, nés de l’exigence ex
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ture à la foi triple et une du Dieu Père, Fils et
Saint-Esprit
, et la personne à la fois une et double de Jésus-Christ. Et ils écriv
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re à la fois triple et une du Dieu, Père, Fils et
Saint-Esprit
, et la personne à la fois une et double de Jésus-Christ. Et ils écriv
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es trois fonctions de Dieu — le Père, le Fils, le
Saint-Esprit
— sans les séparer, mais sans les confondre ? Les Latins avaient le t
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primer les relations entre le Père, le Fils et le
Saint-Esprit
, un seul Dieu en trois fonctions distinctes, une seule ousie en trois
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ure à la fois triple et une du Dieu Père, Fils et
Saint-Esprit
, et la personne à la fois une et double de Jésus-Christ. Et ils écriv
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ure à la fois triple et une du Dieu Père, Fils et
Saint-Esprit
, et la personne à la fois une et double de Jésus-Christ. Et ils écriv
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, ces tabellions eussent exigé un reçu notarié du
Saint-Esprit
. C’est, osons le dire, que la plupart d’entre eux ignorent tout de la
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ou dispersés à travers le monde mais unis par le
Saint-Esprit
. Ils ont été depuis deux-mille ans le sel de la Terre, l’Europe leur
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istinguer en un seul Dieu, le Père, le Fils et le
Saint-Esprit
, c’est-à-dire les trois relations de la paternité, de la filialité et
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istinguer en un seul Dieu, le Père, le Fils et le
Saint-Esprit
, c’est-à-dire les trois relations de la paternité, de la filialité et
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l’Église : comment définir le Père, le Fils et le
Saint-Esprit
que les évangiles présentent comme étant tous les trois Dieu ? Pour c
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n trois personnes ou rôles : le Père, le Fils, le
Saint-Esprit
. Et ce fut la deuxième personne qui fournit le modèle de la personne
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nction des fonctions entre le Père, le Fils et le
Saint-Esprit
en un seul Dieu, a été appliqué presque aussitôt à l’homme par saint
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divin, lorsque les trompettes divines, au nom du
Saint-Esprit
, annoncent : « Combien il est bon, combien il est agréable de vivre a
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divin, lorsque les trompettes divines, au nom du
Saint-Esprit
, annoncent : « combien il est bon, combien il est agréable de vivre a
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Dieu, de se fermer totalement aux inspirations du
Saint-Esprit
. Aucune Église ou secte n’a jamais nié que son chef réel fût au ciel,
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terme grec qui convenait. Le Père, le Fils et le
Saint-Esprit
étaient de même nature, mais il fallait les distinguer. Ils étaient u