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ire. Mais Napoléon abdiqua et termina ses jours à
Sainte-Hélène
. Tel est le sujet. En somme, mettant un signe plus là où l’Histoire m
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er les États-Unis d’Europe, il l’aurait dit avant
Sainte-Hélène
. Et, s’il l’avait dit, il aurait eu tort car de son temps rien ne men
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la houlette de fer d’un seul berger : Napoléon à
Sainte-Hélène
disait que dans un proche avenir le monde serait une république améri
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é » ses intentions d’unir l’Europe qu’au temps de
Sainte-Hélène
, quand il était trop tard. Ce n’est pas exact. Si l’Acte additionnel
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es citoyens… On conçoit que l’inaction forcée de
Sainte-Hélène
ait seule permis au despote déposé de se former une vue cohérente des
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L’empereur, ajoute Las Cases dans le Mémorial de
Sainte-Hélène
, passait ensuite en revue ce qu’il eût proposé pour la prospérité, l
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nationalisme autarcique, où Napoléon partait pour
Sainte-Hélène
tandis que Gentz, le « chevalier de l’Europe » se voyait placé au cœu
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écrite deux ans plus tôt. Ce qu’a dit Napoléon à
Sainte-Hélène
sur l’avenir prochain du monde, qui sera République américaine ou Mon
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t à l’Amérique » : Napoléon, dans le Mémorial de
Sainte-Hélène
, prévoit que le monde sera sous peu « République américaine ou Monarc
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Jean de Müller en 1797, de Napoléon (Mémorial de
Sainte-Hélène
), de l’abbé de Pradt en 1823 (« Au-delà de la Vistule tombe un rideau
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du départ de l’empereur pour Rochefort puis pour
Sainte-Hélène
, Constant entre en opposition avec la Réaction royaliste qui va régne