1
é et subtil, et dont le spectacle n’est pas vain.
M. Schmidt
ne s’en laisse point imposer par la « réussite classique ». Il place
2
mer l’Église. Tout ceci est fort bien exposé par
M. Albert-Marie Schmidt
dans son introduction aux Trois traités que l’on vient de rééditer12.
3
atmosphère violente et trouble de la Renaissance,
M. Schmidt
va lui restituer ses trois dimensions primordiales. Nous voyons alors
4
us négligeables que comportent les Trois traités,
M. Schmidt
nous propose quelques définitions fort bien venues : Qui veut compre
5
ècle le coup de filet très savamment prémédité de
M. Albert-Marie Schmidt
. Tous ces poètes ont l’air plus authentiques que ceux que nous pensio
6
es. Qui sait où cela nous eut menés ? Le livre de
Schmidt
inventorie, avec une sorte d’ardente lucidité, les richesses dont l’è
7
us des amas d’abstruse érudition. Il fallait être
Schmidt
pour découvrir dans ce grenier de notre poésie tant de possibles, tan
8
, à l’orfèvrerie, à la mécanique, à l’astronomie.
Schmidt
nous aide à concevoir l’espèce de fureur titanique qui animait ces Re
9
ître dans son écaille essaie sa puissance » amène
Schmidt
à citer Marsile Ficin, Guy de la Boderie, Ronsard, Psellos, M. Laumon
10
uvés en 1930 au Fayoum (Égypte) et publiés par C.
Schmidt
, à Stuttgart, en 1935. 53. On sait que l’un des lieux communs de la
11
uvés en 1930 au Fayoum (Égypte) et publiés par C.
Schmidt
, à Stuttgart, en 1935. 46. On sait que l’un des lieux communs de la
12
Répétez le processus quatre ou cinq fois. Lorsque
Schmidt
, fils de Schmidt, sera baptisé Smith, changez son arbre généalogique.
13
sus quatre ou cinq fois. Lorsque Schmidt, fils de
Schmidt
, sera baptisé Smith, changez son arbre généalogique. Déclarez qu’il d