1 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
1 r contre je voudrais que l’on joue sur ma tombe : Schon die Abendglocken klangen et ensuite : Heil’ge Nacht, oh giesse du ! »
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
2 contre je voudrais que l’on joue sur ma tombe : «  Schon dir Abendglocken klangen » et ensuite : « Heil’ge Nacht, oh giesse du
3 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
3 ublime de Brengaine : « Habet acht ! Habet acht ! Schon weicht dem Tag die Nacht !50 Mais cette « belle qui toujours dit no
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
4 ublime de Brengaine : « Habet acht ! Habet acht ! Schon weicht dem Tag die Nacht ! (« Prenez garde ! Prenez garde ! Voici que
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
5 ublime de Brengaine : « Habet acht ! Habet acht ! Schon weicht dem Tag die Nacht ! (« Prenez garde ! Prenez garde ! Voici que
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
6 r contre je voudrais que l’on joue sur ma tombe : Schon die Abendglocken klangen et ensuite : Heil’ge Nacht, oh giesse du !
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
7 la tour d’aurore : « Habet acht ! Habet acht ! —  Schon weicht dem Tag — die Nacht66 ! » renouvelle à coup sûr l’émotion la p
8 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
8 e revanche de la Nuit. Habet Acht ! Habet Acht ! Schon weicht dem Tag die Nacht !212 chante Brangaine sur la tour de l’aub
9 1979, Articles divers (1978-1981). Le mythe et l’opéra (1979)
9 avertit les amants : « Habet acht ! Habet acht ! Schon weicht dem Tag die Nacht ! » on ne peut opposer que cette autre nuit