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l’empereur Maximilien d’Autriche qualifiait de «
Schwyzer
» tous ses sujets rebelles, fussent-ils Croates ou Tchèques. Cette «
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ve siècle, l’habitude va se répandre d’appeler «
Schwyzer
» l’ensemble des confédérés, du nom de ceux d’entre eux qui se sont s
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s’est formée d’ailleurs à l’époque même où les «
Schwyzer
» conquéraient le Tessin et se préparaient à faire en réalité ce qu’i
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de nouveautés qui répugnent aux descendants des «
Schwyzer
» à tête chaude, telles que le drill et la discipline formaliste des