1 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
1 ives catégoriques que prononcent les disciples de Schönberg contre toute œuvre tonale, jugée « réactionnaire ». Je ne vois pas de
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
2 s, poètes et musiciens. « Que peut-on faire après Schönberg et Picasso ? » se demandent-ils avec anxiété. Certes, le goût de diff
3 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Il n’y a pas de « musique moderne »
3 ives catégoriques que prononcent les disciples de Schönberg contre toute œuvre tonale, jugée « réactionnaire ». Je ne vois pas de
4 1978, Articles divers (1978-1981). « Quel avenir voulons-nous ? » (1er février 1978)
4 ains, Saint-Exupéry, étaient là. Il y avait aussi Schönberg et Béla Bartók qui vivait d’ailleurs très pauvrement. Lévi-Strauss ve
5 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
5 l ; — la musique dodécaphonique et sérielle, avec Schönberg , Webern et Alban Berg, qui influencera Stravinski, Boulez et presque
6 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
6 la grande école de la musique dodécaphonique avec Schönberg et Berg ; la littérature, qui s’est développée autour de Vienne, j’en