1
é Crevel. Il en est peu de plus effrayants. Ah !
Seigneur
, donnez-nous la force et le courage de contempler nos corps et nos cœ
2
risé parce qu’il n’en a pas. Le libéralisme
Seigneur
! clamaient-ils, combien complexes sont les problèmes que vous propos
3
ceci près que mes rapports sont meilleurs avec le
Seigneur
et Jésus son fils bien-aimé. C’est vous dire que j’ai acquis plus de
4
is plus de raison et d’expérience : la crainte du
Seigneur
est le commencement de la sagesse. » Par quel concours de circonstanc
5
indifférence non dépourvue d’orgueil vis-à-vis du
Seigneur
? L’on ne saurait ici exagérer la responsabilité qui incombe aux « ch
6
ire dont le personnage principal est « la main du
Seigneur
», ou encore « l’insondable Providence » mise en action au gré d’un m
7
s le pain et le vin, il y a la présence réelle du
Seigneur
mort pour nous, impies ? Peut-être le fidèle d’aujourd’hui n’a-t-il p
8
ire dont le personnage principal est « la main du
Seigneur
», ou encore « l’insondable Providence » mise en action au gré d’un m
9
tthieu 7:21 : « Ce ne sont pas ceux qui me disent
Seigneur
! Seigneur !… mais celui qui fait la volonté de mon Père » — c’est-à-
10
: « Ce ne sont pas ceux qui me disent Seigneur !
Seigneur
!… mais celui qui fait la volonté de mon Père » — c’est-à-dire celui
11
ert contemplons comme dans un miroir la gloire du
Seigneur
, nous sommes transformés en la même image, de clarté en clarté, comme
12
la question : Où allons-nous ? j’ai répondu : le
Seigneur
vient ! — et nous allons à la rencontre de son règne, vers la transfo
13
amener à prier la prière de la foi : « Je crois,
Seigneur
, viens en aide à mon incrédulité. » f. « Notre foi, par Emil Brunne
14
ile n’est-elle pas justement ce cri : « Je crois,
Seigneur
, viens au secours de mon incrédulité ». L’on eût évité ce grabuge en
15
r une autre fin que pour rechercher l’alliance du
Seigneur
? Louis-Claude de Saint-Martin (L’Homme de désir.) J’ai parlé d’une
16
t les temps et les lieux. « Préparer les voies du
Seigneur
», aplanir le chemin du Messie, voilà la fin transcendante de ce peup
17
r une autre fin que pour rechercher l’alliance du
Seigneur
? Louis-Claude de Saint-Martin (L’Homme de désir.) J’ai parlé d’une
18
t les temps et les lieux. « Préparer les voies du
Seigneur
», aplanir le chemin du Messie, voilà la fin transcendante de ce peup
19
mission qu’elle incarne : « Préparer les voies du
Seigneur
», espérer et prêcher le Messie, attendre activement l’invisible et p
20
omme n’en usant pas », au nom et par la charge du
Seigneur
qui est venu, et qui doit revenir. Telle est sans doute la racine aut
21
raham déjà, et les prophètes, ont vu « le jour du
Seigneur
». Saint Paul et l’auteur de l’Épître aux Hébreux (chap. II) insisten
22
de brûler… Que chacun marche selon la part que le
Seigneur
lui a faite, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun, frères,
23
elui qui n’est pas marié s’inquiète des choses du
Seigneur
, des moyens de plaire au Seigneur, et celui qui est marié s’inquiète
24
e des choses du Seigneur, des moyens de plaire au
Seigneur
, et celui qui est marié s’inquiète des choses du monde, des moyens de
25
de certaines servitudes que pour mieux servir le
Seigneur
dans la personne de son prochain. Il n’a renoncé à ses travaux de pay
26
modèle est dans le mariage de l’Église et de son
Seigneur
. Ces deux extrêmes ainsi marqués, l’on n’aura pas de peine à démontre
27
me qui ne vit plus pour lui seul. « Tu aimeras le
Seigneur
ton Dieu, et ton prochain comme toi-même. » C’est ainsi dans l’amour
28
glorieux, lumière et clarté vraie Puissant Dieu,
Seigneur
, s’il vous agrée À mon copain fidèle soit aide et bienvenue Car ne l’
29
sa boisson en cinq traits pour les cinq plaies du
Seigneur
; mais il double la cinquième gorgée parce que du flanc de Jésus, cou
30
a glace au feu lorsque étroitement j’embrasse mon
Seigneur
, criant : l’amour de l’Amour me consume, je m’unis à l’Amour, enivré
31
Un ange crie en l’Intelligence divine et dit : —
Seigneur
, dans le monde se voit une merveille en l’acte qui procède d’une âme
32
anque que d’une chose — c’est de l’avoir —, à son
Seigneur
la demande, et tous les Saints implorent cette faveur. Seule, Pitié p
33
hommes ont péri pour avoir tardé d’aller vers le
Seigneur
. Le temps venait où les poètes succomberaient aux charmes du miroir
34
gémit plus tard — le retiendra d’« aller vers le
Seigneur
». 4.Pétrarque, ou le rhéteur converti Aimer une chose mortelle
35
ment, et du même coup, à celle de l’auteur. Ah !
Seigneur
! si notre heure est une fois marquée Le ciel de nos raisons ne sait
36
u’ils souillaient toute sa pureté. — Elle expire,
Seigneur
! — D’une action si noire Que ne peut avec elle expirer la mémoire !
37
de brûler… Que chacun marche selon la part que le
Seigneur
lui a faite, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun, frères,
38
elui qui n’est pas marié s’inquiète des choses du
Seigneur
, des moyens de plaire au Seigneur, et celui qui est marié s’inquiète
39
e des choses du Seigneur, des moyens de plaire au
Seigneur
, et celui qui est marié s’inquiète des choses du monde, des moyens de
40
is bien que vous me tenez pour méprisable. — Non,
Seigneur
, mais pour un homme de valeur et de prix. Vous m’avez faite reine, et
41
hrase d’un texte du mystique Heinrich Suso : Mon
Seigneur
et mon Dieu, ôte de moi tout ce qui m’éloigne de toi ! Mon Seigneur
42
, ôte de moi tout ce qui m’éloigne de toi ! Mon
Seigneur
et mon Dieu, donne-moi tout ce qui me rapproche de toi ! Mon Seigne
43
donne-moi tout ce qui me rapproche de toi ! Mon
Seigneur
et mon Dieu, arrache-moi à moi-même et donne-moi tout entier à toi se
44
insi ? Tu as toujours fait tout ton devoir, et le
Seigneur
nous a bénis. Bon capitaine dans les guerres, bon juge ensuite en nos
45
ue de chanter à bouche fermée.) Nicolas. — Mon
Seigneur
et mon Dieu, ôte de moi tout ce qui m’éloigne de toi ! Mon Seigneur e
46
eu, ôte de moi tout ce qui m’éloigne de toi ! Mon
Seigneur
et mon Dieu, donne-moi tout ce qui me rapproche de toi ! Mon Seigneur
47
, donne-moi tout ce qui me rapproche de toi ! Mon
Seigneur
et mon Dieu, arrache-moi à moi-même, et donne-moi tout entier à toi s
48
Dorothée (tombant à genoux sur le seuil). — Le
Seigneur
me l’avait donné. Le Seigneur le reprend. Que le nom du Seigneur soit
49
ur le seuil). — Le Seigneur me l’avait donné. Le
Seigneur
le reprend. Que le nom du Seigneur soit béni ! (Nuit totale sur le p
50
vait donné. Le Seigneur le reprend. Que le nom du
Seigneur
soit béni ! (Nuit totale sur le plan 2. Seul un projecteur suit Nico
51
et les terreurs de la mort m’environnent ! Ô mon
Seigneur
, as-tu trompé ton serviteur ? (La lumière faiblit autour de Nicolas
52
notre éveil toujours ! Surgissez et levez Qui le
Seigneur
aimez ! Le jour est commencé, la nuit évanouie Que Dieu en soit loué
53
— Dieu le sait, et les humbles le croient. Notre
Seigneur
n’a-t-il pas dit : « Celui qui mange ma chair en sera rassasié » ?
54
nnez jamais le pauvre pour le riche ! Sinon notre
Seigneur
fera paraître d’humbles témoins pour votre confusion ! (Se radoucissa
55
l’empereur vêtu d’or et couronné.) Nicolas. —
Seigneur
! La voix du solitaire est faible. Parle toi-même à tes enfants, je t
56
s vous soutiendra. Nicolas (à genoux). — Mon
Seigneur
et mon Dieu, toi seul es notre force ! Toi seul es notre union, toi s
57
! Dans la détresse, c’est vers toi que je crie !
Seigneur
, aie pitié de nous ! Scène vii. (Le groupe des Suisses se divi
58
temps :) Récitatif. (Chœur à bouche fermée.) Ô
Seigneur
, aie pitié d’un peuple divisé contre lui-même ! Vois la folie des vil
59
Quelle est cette ombre rouge qui nous couvre ? Ô
Seigneur
, aie pitié de nous ! Chœur des français et des autrichiens. Hohé
60
? Nicolas. — Dieu lui-même est descendu ! Mon
Seigneur
s’est abaissé ! Ô Haimo ! j’ai tout quitté pour vivre seul avec mon D
61
escente vers le plan 2.) Choral i. Il descend,
Seigneur
, il descend ! Lui, le saint, parmi nous descend ! Qui sauvera, drapea
62
fants et des suisses. (Plan 2.) Non pas à nous.
Seigneur
, Non pas à nous, Mais à ton nom donne gloire. Chœur céleste. (Plan
63
modèle est dans le mariage de l’Église et de son
Seigneur
. Cela suppose une illumination subite, ou conversion, une descente de
64
me qui ne vit plus pour lui seul. « Tu aimeras le
Seigneur
ton Dieu, et ton prochain comme toi-même. » C’est ainsi dans l’amour
65
glorieux, lumière et clarté vraie Puissant Dieu,
Seigneur
, s’il vous agrée À mon copain fidèle soit aide et bienvenue Car ne l’
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sa boisson en cinq traits pour les cinq plaies du
Seigneur
; mais il double la cinquième gorgée parce que du flanc de Jésus, cou
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a glace au feu lorsque étroitement j’embrasse mon
Seigneur
, criant : L’amour de l’Amour me consume, je m’unis à l’Amour, enivré
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Un ange crie en l’Intelligence divine et dit : —
Seigneur
, dans le monde se voit une merveille en l’acte qui procède d’une âme
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anque que d’une chose — c’est de l’avoir —, à son
Seigneur
la demande, et tous les Saints implorent cette faveur. Seule, Pitié p
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hommes ont péri pour avoir tardé d’aller vers le
Seigneur
. Le temps venait où les poètes succomberaient aux charmes du miroir e
71
gémit plus tard — le retiendra d’« aller vers le
Seigneur
». 4.Pétrarque, ou le rhéteur converti Aimer une chose mortelle
72
ment, et du même coup, à celle de l’auteur. Ah !
Seigneur
! si notre heure est une fois marquée Le ciel de nos raisons ne sait
73
u’ils souillaient toute sa pureté. — Elle expire,
Seigneur
! — D’une action si noire Que ne peut avec elle expirer la mémoire !
74
de brûler… Que chacun marche selon la part que le
Seigneur
lui a faite, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun, frères,
75
elui qui n’est pas marié s’inquiète des choses du
Seigneur
, des moyens de plaire au Seigneur, et celui qui est marié s’inquiète
76
e des choses du Seigneur, des moyens de plaire au
Seigneur
, et celui qui est marié s’inquiète des choses du monde, des moyens de
77
emier commandement du Décalogue : « Tu aimeras le
Seigneur
ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée » n
78
modèle est dans le mariage de l’Église et de son
Seigneur
. Cela suppose une illumination subite, ou conversion, une descente de
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me qui ne vit plus pour lui seul. « Tu aimeras le
Seigneur
ton Dieu, et ton prochain comme toi-même. » C’est ainsi dans l’amour
80
glorieux, lumière et clarté vraie Puissant Dieu,
Seigneur
, s’il vous agrée À mon copain fidèle soit aide et bienvenue Car ne l’
81
sa boisson en cinq traits pour les cinq plaies du
Seigneur
; mais il double la cinquième gorgée parce que, du flanc de Jésus, co
82
a glace au feu lorsque étroitement j’embrasse mon
Seigneur
, criant : l’amour de l’Amour me consume, je m’unis à l’Amour, enivré
83
Un ange crie en l’Intelligence divine et dit : —
Seigneur
, dans le monde se voit une merveille en l’acte qui procède d’une âme
84
anque que d’une chose — c’est de l’avoir —, à son
Seigneur
la demande, et tous les Saints implorent cette faveur. Seule, Pitié p
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hommes ont péri pour avoir tardé d’aller vers le
Seigneur
. Le temps venait où les poètes succomberaient aux charmes du miroir
86
gémit plus tard — le retiendra d’« aller vers le
Seigneur
». 4.Pétrarque, ou le rhéteur converti « Aimer une chose mortel
87
ment, et du même coup, à celle de l’auteur. Ah !
Seigneur
! si notre heure est une fois marquée Le ciel de nos raisons ne sait
88
u’ils souillaient toute sa pureté. — Elle expire.
Seigneur
! — D’une action si noire Que ne peut avec elle expirer la mémoire !
89
de brûler… Que chacun marche selon la part que le
Seigneur
lui a faite, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun, frères,
90
elui qui n’est pas marié s’inquiète des choses du
Seigneur
, des moyens de plaire au Seigneur, et celui qui est marié s’inquiète
91
e des choses du Seigneur, des moyens de plaire au
Seigneur
, et celui qui est marié s’inquiète des choses du monde, des moyens de
92
premier commandant du Décalogue : « Tu aimeras le
Seigneur
ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée » n
93
is bien que vous me tenez pour méprisable. — Non,
Seigneur
, mais pour un homme de valeur et de prix. Vous m’avez faite reine, et
94
Esprit saint, et puisqu’elle est le Corps même du
Seigneur
. Ceci dit, et notre faiblesse une fois reconnue et confessée, ne perd
95
. Kyrie (un petit chœur ou l’assemblée chante : «
Seigneur
, aie pitié de nous ! Christ, aie pitié de nous !… »). V. Promesses de
96
e Tout-Puissant, qui est pourtant nommé Monarque,
Seigneur
et Roi des rois, à toutes les pages de notre Bible. Le fait est que n
97
de l’homme, dis au prince de Tyr : Ainsi parle le
Seigneur
, l’Éternel. Ton cœur s’est élevé et tu as dit : Je suis Dieu, Je suis
98
n cœur s’est élevé. C’est pourquoi ainsi parle le
Seigneur
, l’Éternel : Parce que tu prends ta volonté pour la volonté de Dieu V
99
e lui un jugement injurieux, mais il dit : Que le
Seigneur
te réprime ! Eux, au contraire ils parlent d’une manière injurieuse d
100
Benjamin Constant. 22. La Rochefoucauld. 23. «
Seigneur
, donne ce que tu ordonnes ! » (Augustin) 24. Jean I, 5, 6 à 8.
101
que sur cette pierre je bâtirai mon Église. » Le
Seigneur
donne à Pierre les plus grands pouvoirs vicariaux : « Ce que tu liera
102
re s’est mis à le reprendre : « À Dieu ne plaise,
Seigneur
! cela ne t’arrivera pas ! » À peine fondée, l’Église en la personne
103
de l’homme, dis au prince de Tyr : Ainsi parle le
Seigneur
, l’Éternel. Ton cœur s’est élevé et tu as dit : Je suis Dieu, Je suis
104
n cœur s’est élevé. C’est pourquoi ainsi parle le
Seigneur
, l’Éternel : Parce que tu prends ta volonté pour la volonté de Dieu V
105
e lui un jugement injurieux, mais il dit : Que le
Seigneur
te réprime ! Eux, au contraire ils parlent d’une manière injurieuse d
106
Benjamin Constant. 34. La Rochefoucauld. 35. «
Seigneur
, donne ce que tu ordonnes ! » (Augustin) 36. Jean I, 5, 6 à 8.
107
que sur cette pierre je bâtirai mon Église. » Le
Seigneur
donne à Pierre les plus grands pouvoirs vicariaux : « Ce que tu liera
108
re s’est mis à le reprendre : « À Dieu ne plaise,
Seigneur
! cela ne t’arrivera pas ! » À peine fondée, l’Église en la personne
109
de l’homme, dis au prince de Tyr : Ainsi parle le
Seigneur
, l’Éternel. Ton cœur s’est élevé et tu as dit : Je suis Dieu, Je suis
110
n cœur s’est élevé. C’est pourquoi ainsi parle le
Seigneur
, l’Éternel : Parce que tu prends ta volonté pour la volonté de Dieu,
111
e lui un jugement injurieux, mais il dit : Que le
Seigneur
te réprime ! Eux, au contraire, ils parlent d’une manière injurieuse
112
Benjamin Constant. 36. La Rochefoucauld. 37. «
Seigneur
, donne ce que tu ordonnes ! » (Augustin.) 38. Jean I, 5, 6 à 8.
113
ne. Ce cri d’une femme devant Jésus : « Je crois,
Seigneur
, subviens toi-même à mon incrédulité », c’est le cri de la foi vivant
114
nous rappeler l’avertissement apostolique : « Le
Seigneur
seul connaît les siens. » Tout autrement que nous ne les connaissons,
115
C’est une mission fort analogue que Noé reçut du
Seigneur
peu de temps avant le Déluge. Cette fois-ci, les travaux seront filmé
116
. Ici encore, « ce ne sont pas ceux qui disent :
Seigneur
! Seigneur !… mais ceux qui font la volonté de mon Père… » que nous d
117
re, « ce ne sont pas ceux qui disent : Seigneur !
Seigneur
!… mais ceux qui font la volonté de mon Père… » que nous devons prend
118
C’est une mission fort analogue que Noé reçut du
Seigneur
peu de temps avant le Déluge. Cette fois-ci, les travaux seront filmé
119
ne mission fort analogue à celle que Noé reçut du
Seigneur
peu de temps avant le déluge. Cette fois-ci, les travaux seront filmé
120
sont ni chrétiennes ni simplement honnêtes. « Le
Seigneur
seul connaît les siens », dit l’Écriture : si l’on est chrétien, qu’o
121
où tout reste imprévu sauf la fin : le retour du
Seigneur
au jugement dernier. D’ici là, nous nous avançons dans l’inconnu de l
122
s égaux. En voici le début et la fin : Au nom du
Seigneur
, Amen. C’est chose honnête et profitable au bien public, de consolide
123
des trois communautés et vallées. Fait en l’an du
Seigneur
1291, au commencement d’août. « Devant, s’il plaît à Dieu, durer à p
124
ent unique est celui de l’amour : « Tu aimeras le
Seigneur
ton Dieu et ton prochain comme toi-même », cette foi libère l’individ
125
u mirage du « Grand Un », à l’attrait du « Gentil
Seigneur
» auquel on offre « amour et foi en échange de son aide et protection
126
le seul et unique commandement : « Tu aimeras le
Seigneur
ton Dieu… et ton prochain comme toi-même ». Religion qui met au premi
127
uelle : « Celui qui n’est pas marié s’inquiète du
Seigneur
, des moyens de plaire au Seigneur, et celui qui est marié s’inquiète
128
é s’inquiète du Seigneur, des moyens de plaire au
Seigneur
, et celui qui est marié s’inquiète des choses du monde, des moyens de
129
ssi selon Swedenborg : Comme tout bien procède du
Seigneur
, le Seigneur est, dans le sens suprême et au degré le plus éminent, l
130
denborg : Comme tout bien procède du Seigneur, le
Seigneur
est, dans le sens suprême et au degré le plus éminent, le Prochain ;
131
hain en proportion de ce qu’il a quelque chose du
Seigneur
en lui ; or, comme nul ne reçoit de la même manière le bien qui procè
132
reçoit de la même manière le bien qui procède du
Seigneur
, il s’ensuit que l’un n’est pas le prochain de la même manière que l’
133
un seul et unique commandement : « Tu aimeras le
Seigneur
ton Dieu, et ton prochain comme toi-même.3 » Religion qui met au prem
134
uelle : « Celui qui n’est pas marié s’inquiète du
Seigneur
, des moyens de plaire au Seigneur, et celui qui est marié s’inquiète
135
é s’inquiète du Seigneur, des moyens de plaire au
Seigneur
, et celui qui est marié s’inquiète des choses du monde, des moyens de
136
nt de la loi ? Jésus lui répondit : Tu aimeras le
Seigneur
, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée.
137
sont ni chrétiennes ni simplement honnêtes. « Le
Seigneur
seul connaît les siens », dit l’Écriture : si l’on est chrétien, qu’o
138
si selon Swedenborg : Comme tout bien procède du
Seigneur
, le Seigneur est, dans le sens suprême et au degré le plus éminent, l
139
enborg : Comme tout bien procède du Seigneur, le
Seigneur
est, dans le sens suprême et au degré le plus éminent, le Prochain ;
140
hain en proportion de ce qu’il a quelque chose du
Seigneur
en lui ; or, comme nul ne reçoit de la même manière le bien qui procè
141
reçoit de la même manière le bien qui procède du
Seigneur
, il s’ensuit que l’un n’est pas le prochain de la même manière que l’
142
commandement ? Jésus lui répondit : Tu aimeras le
Seigneur
ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée.
143
onne ne t’a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non,
Seigneur
. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus ; va, et ne pèche
144
elui que tu as maintenant n’est point ton mari. —
Seigneur
, lui dit la femme, je vois que tu es prophète. » Et c’est à elle que
145
les esprits ». Et il disait aussi qu’il tenait du
Seigneur
que « rien n’est impur en soi, et qu’une chose n’est impure que pour
146
l vu… Le lieu de naissance et le sépulcre même du
Seigneur
, double port de la paix pour les chrétiens, sont piétinés par les chi
147
artie des païens en même temps que le sépulcre du
Seigneur
. Il n’y avait pas de nation à cette époque dans le monde entier qui o
148
ayant maintenant le Christ lui-même pour chef et
Seigneur
, il fut communément admis que deux magistrats suprêmes, le pape et l’
149
. Car outre le tsar Pieter Alexiewiecz, souverain
Seigneur
des Russes et presque de tout le Nord, nous apprenons que Cam-hi, Ama
150
dre part à cette grande aventure dans le champ du
Seigneur
, afin que la religion respurgée soit portée dans ce pays, aussi bien
151
ver, Giovanni Paolo Marana et son Espoir du Grand
Seigneur
, Montesquieu et ses Lettres persanes, Voltaire et son Ingénu, Roussea
152
oulais réciter les divers combats par lesquels le
Seigneur
m’a exercé depuis ce temps-là, et par quelles épreuves il m’a examiné
153
mission qu’elle incarne : « Préparer les voies du
Seigneur
», espérer et prêcher le Messie, attendre activement l’invisible et p
154
omme n’en usant pas », au nom et par la charge du
Seigneur
qui est venu, et qui doit revenir. Telle est sans doute la racine aut
155
raham déjà, et les prophètes, ont vu « le jour du
Seigneur
». Saint Paul et l’auteur de l’Épître aux Hébreux (chap. II) insisten
156
x. Ici encore, « ce ne sont pas ceux qui disent :
Seigneur
! Seigneur !… mais ceux qui font la volonté de mon Père… » que nous d
157
re, « ce ne sont pas ceux qui disent : Seigneur !
Seigneur
!… mais ceux qui font la volonté de mon Père… » que nous devons prend
158
célèbre, dans une traduction fidèle : Au nom du
Seigneur
, Amen. C’est chose honnête et profitable au bien public, de consolide
159
que chacun, selon sa condition, doit rendre à son
Seigneur
. Et nous statuons et ordonnons, d’un accord unanime, que nous ne reco
160
des trois communautés et vallées. Fait en l’an du
Seigneur
1291, au commencement d’août. Le style est beau, de fière et franche
161
ation, et reçoivent le serment d’allégeance dû au
Seigneur
. Dans le même temps, la Vierge devient l’objet d’un culte (première f
162
où tout reste imprévu sauf la fin : le retour du
Seigneur
au Jugement dernier. D’ici là, nous nous avançons dans l’inconnu que
163
ésume dans le commandement unique « Tu aimeras le
Seigneur
ton Dieu et ton prochain comme toi-même », cette foi nouvelle n’a pas
164
crire : « Celui qui n’est pas marié s’inquiète du
Seigneur
, des moyens de plaire au Seigneur, et celui qui est marié s’inquiète
165
é s’inquiète du Seigneur, des moyens de plaire au
Seigneur
, et celui qui est marié s’inquiète des choses du monde, des moyens de
166
insi conçu : « Et les accidents de chemin de fer,
Seigneur
, comment les expliquez-vous ? » Dieu, gêné : « Les accidents de chemi
167
en, que l’on traduit généralement par : Au nom du
Seigneur
, amen. N’oublions pas que dans la plupart des cas, le « Seigneur » in
168
N’oublions pas que dans la plupart des cas, le «
Seigneur
» invoqué par les églises chrétiennes, c’est Jésus, c’est le Christ,
169
pratiquement pas de différence : « Tu aimeras le
Seigneur
, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée.
170
biblique, ce soupir déchirant du vrai prophète :
Seigneur
, tu le sais, je n’ai pas désiré le jour du malheur ! (Jérémie, 17.16)
171
e je sois faux prophète ! », ou comme Jérémie : «
Seigneur
, tu le sais ! je n’ai pas désiré le jour du malheur ! » Le vrai proph