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ulement se prépare, mais se fait. Aux côtés du
général Sikorski
Trois divisions polonaises, 40 000 hommes, commandées par le génér
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ions polonaises, 40 000 hommes, commandées par le
général Sikorski
, se sont battues en Alsace et en Norvège jusqu’au printemps de 1940.
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pour aller à la recherche de son chef. Il connaît
Sikorski
depuis 1916. Mais il ne s’est lié avec lui que plus tard, en 1923, lo
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fficielle », a décidé de lier son sort à celui de
Sikorski
: il a confiance en son honnêteté absolue, en ses dons de chef, en so
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naises en Angleterre totalisaient 150 000 hommes.
Sikorski
, attribuant à J.H.R. le mérite de l’évacuation de Bordeaux, décida de
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d’entre eux de reprendre la lutte dans l’armée de
Sikorski
. D’autre part, si l’URSS était attaquée, il importait que la Pologne,
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ntre Hitler. Partageant les idées de Retinger, le
général Sikorski
se trouvait prêt à intervenir quand la guerre hitléro-soviétique écla
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ffre d’accord. Les négociations furent menées par
Sikorski
et Retinger du côté polonais, et par l’ambassadeur Maïski pour l’URSS
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e. Cependant, soutenus par Churchill en personne,
Sikorski
et Retinger, se battant sur deux fronts, aboutirent à leurs fins. Le
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discours officiels allaient être échangés. Eden,
Sikorski
et Maïski ayant parlé, il se leva et dit d’une voix grave : « Ceci es
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des Polonais, et l’arrivée du plénipotentiaire de
Sikorski
. Le lendemain, il eut la joie de rencontrer les premiers officiers po
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.R. attendait à l’aérodrome de Swinton le général
Sikorski
rentrant d’une tournée d’inspection des troupes polonaises du Proche-
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émorable pendant le siège, lorsqu’il accompagnait
Sikorski
en route vers la Russie, il fut débarqué au Caire, où il apprit enfin
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ropéen. Dès 1941, à l’instigation de Retinger, le
général Sikorski
avait pris l’initiative de grouper périodiquement les ministres des A
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pectives d’une union de l’Europe après la guerre.
Sikorski
et Benès allèrent jusqu’à conclure un accord prévoyant que la Pologne
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rs d’une de ces réunions. La mort accidentelle du
général Sikorski
mit fin aux entretiens en 194354, et Benès dénonça son accord avec le