1 r M. Denis de Rougemont, avec la collaboration de M. Raymond Silva comme secrétaire général (NDLR). 8. Dans son remarquable rapport qui

2 et de l’Italie. Parmi ses chefs : Brugmans, Marc, Silva , Voisin, Spinelli, Kogon, von Schenk, Miss Josephy, Adler. Les Nouvel

3 -Palace, voici les trente personnes annoncées par Silva , autour d’une table, oui, mais sur une scène, et face à une salle arc

4 etien devant le micro avec Brugmans, Robert Aron, Silva et Duncan Sandys, jeune ancien ministre conservateur qui représente i

5 s) se rencontraient avec ceux de l’UEF (Brugmans, Silva , Voisin) et constituaient un « comité de liaison international des mo

6 ion de pédagogie sportive », animée par Martin et Silva , met au point une charte imposante et un brevet. Celui-ci sera dûment

7 r être riche, il faut pouvoir donner… — Donc, dit Silva , il faut créer une fondation. — Voilà le mot ! Quand on pensera que n

8 onseil entendit un rapport de MM. de Rougemont et Silva sur l’organisation de la Fondation. En voici quelques extraits : Dep

9 Paul Rykens, président de Unilever, Rotterdam, à M. Raymond Silva , secrétaire général du CEC, lettre qu’il est intéressant de citer ici

10 ral du Conseil des gouverneurs. MM. de Rougemont, Silva et le baron van Zeeland sont alors nommés respectivement directeur, s

11 riaga président, Rougemont rapporteur général, et Silva secrétaire général, avait préparé et conduisit la conférence. On ente

12 que nous discutons en déjeunant avec Brugmans et Silva . Je l’y encourage vivement. » Nous sommes à Strasbourg de nouveau, Si

13 vivement. » Nous sommes à Strasbourg de nouveau, Silva , Dadelsen et moi le 17 novembre, pour assister à trois congrès (UEF,