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mme dirait Aragon — et je suppose que Beausire et
Simond
se livrèrent à ce petit jeu avant d’écrire —, que voyons-nous en effe
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bère « le lion de mes certitudes » — comme disent
Simond
et ce grand potache de Maldoror. « Qu’on nous montre un homme… » Un o
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e en tout cas bien tonique, celui que Beausire et
Simond
viennent d’écrire au sujet de quelques-uns des meilleurs esprits que
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des et quelques doutes immédiatement utilisables.
Simond
dénonce chez Maurras l’impardonnable confusion des valeurs que représ
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pour toujours les limites de l’humaine liberté ».
Simond
réclame « un parti pris…, un ordre de valeurs, si arbitraire qu’il so