1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 Dieu », le principe féminin de l’Amour (c’est la Sophia chez les gnostiques grecs ; Maria chez les cathares.) L’Église d’Amou
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
2 tout récents de C. G. Jung et de son école sur la Sophia , Sagesse et Vierge-Mère éternelle212 ; et par ailleurs (vraiment aill
3 Réforme. Voir aussi l’étude d’Henry Corbin sur la Sophia éternelle, in Revue de Culture européenne, 5, 1953. 213. Voir notamm
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
4 tout récents de C. G. Jung et de son école sur la Sophia , Sagesse et Vierge-Mère éternelle198 ; et par ailleurs (vraiment aill
5 Réforme. Voir aussi l’étude d’Henry Corbin sur la Sophia éternelle, in Revue de culture européenne, 5, 1953. 199. Voir notamm
4 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
6 parut à Ibn Arabi, à la Mekke, comme figure de la Sophia divine). L’analyse d’Ibn Arabi ne cesse de gagner en profondeur : que
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — L’amour et la personne dans le monde christianisé
7 aines sectes basilidiennes au culte général d’une Sophia æterna, Éternel féminin exalté bien au-dessus du Créateur biblique, J
6 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
8 parut à Ibn Arabi, à la Mekke, comme figure de la Sophia divine). Que l’amant tende à contempler l’être aimé, à s’unir en lui,
7 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
9 en réjouir : car l’hommage de Jung est rendu à la Sophia æterna de la mythologie gnostique. Barth se veut strictement « canoni
8 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
10 en réjouir : car l’hommage de Jung est rendu à la Sophia aeterna de la mythologie gnostique. Barth se veut strictement « canon
9 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
11 onner d’avoir assimilé la Maria de l’hérésie à la Sophia gnostique, et cette Maria-Sophia à l’Église cathare217. J’ai beau pla
12 entre Sagesse éternelle — Marie — Vera Vergena —  Sophia  — Église d’Amour — Dame des pensées ; et sur la rhétorique courtoise
13 ne prouve pas que les troubadours parlaient de la Sophia quand ils louaient leur Dame ; mais cela prouve qu’il n’y avait là ri
14 », disait Luther.) 217. Sur l’assimilation de la Sophia et de Marie, pour les cathares, cf. Déodat Roché, Études manichéennes
15 e à ses prières » : c’est donc bien le rôle de la Sophia aeterna qu’elle tient alors. 219. Cf. Antwort auf Hiob de C. G. Jung
10 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
16 Et le salut vient par la grâce de la Dame, de la Sophia aeterna — « l’Éternel féminin », dira Goethe. La dialectique du vrai
11 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
17 e création. Mais Athéna (jouant ici le rôle de la Sophia aeterna dans la gnose27) avertit secrètement Deucalion, le fils uniqu
18 V, « Les étymologies », p. 31 et 32. 27. Sur la Sophia aeterna, co-éternelle avec Dieu (correspondant à Athéna épouse de Zeu