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Dieu », le principe féminin de l’Amour (c’est la
Sophia
chez les gnostiques grecs ; Maria chez les cathares.) L’Église d’Amou
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tout récents de C. G. Jung et de son école sur la
Sophia
, Sagesse et Vierge-Mère éternelle212 ; et par ailleurs (vraiment aill
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Réforme. Voir aussi l’étude d’Henry Corbin sur la
Sophia
éternelle, in Revue de Culture européenne, 5, 1953. 213. Voir notamm
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tout récents de C. G. Jung et de son école sur la
Sophia
, Sagesse et Vierge-Mère éternelle198 ; et par ailleurs (vraiment aill
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Réforme. Voir aussi l’étude d’Henry Corbin sur la
Sophia
éternelle, in Revue de culture européenne, 5, 1953. 199. Voir notamm
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parut à Ibn Arabi, à la Mekke, comme figure de la
Sophia
divine). L’analyse d’Ibn Arabi ne cesse de gagner en profondeur : que
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aines sectes basilidiennes au culte général d’une
Sophia
æterna, Éternel féminin exalté bien au-dessus du Créateur biblique, J
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parut à Ibn Arabi, à la Mekke, comme figure de la
Sophia
divine). Que l’amant tende à contempler l’être aimé, à s’unir en lui,
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en réjouir : car l’hommage de Jung est rendu à la
Sophia
æterna de la mythologie gnostique. Barth se veut strictement « canoni
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en réjouir : car l’hommage de Jung est rendu à la
Sophia
aeterna de la mythologie gnostique. Barth se veut strictement « canon
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onner d’avoir assimilé la Maria de l’hérésie à la
Sophia
gnostique, et cette Maria-Sophia à l’Église cathare217. J’ai beau pla
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entre Sagesse éternelle — Marie — Vera Vergena —
Sophia
— Église d’Amour — Dame des pensées ; et sur la rhétorique courtoise
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ne prouve pas que les troubadours parlaient de la
Sophia
quand ils louaient leur Dame ; mais cela prouve qu’il n’y avait là ri
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», disait Luther.) 217. Sur l’assimilation de la
Sophia
et de Marie, pour les cathares, cf. Déodat Roché, Études manichéennes
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e à ses prières » : c’est donc bien le rôle de la
Sophia
aeterna qu’elle tient alors. 219. Cf. Antwort auf Hiob de C. G. Jung
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Et le salut vient par la grâce de la Dame, de la
Sophia
aeterna — « l’Éternel féminin », dira Goethe. La dialectique du vrai
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e création. Mais Athéna (jouant ici le rôle de la
Sophia
aeterna dans la gnose27) avertit secrètement Deucalion, le fils uniqu
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V, « Les étymologies », p. 31 et 32. 27. Sur la
Sophia
aeterna, co-éternelle avec Dieu (correspondant à Athéna épouse de Zeu