1 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
1 ermet d’approuver pleinement cette déclaration de Spitteler  : « N’est-ce pas un spectacle grotesque que celui d’une feuille de ch
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. Avertissement
2 Mais n’allons pas confondre cette modestie, dont Spitteler parlait si noblement, avec la vue bornée des « réalistes », le scepti
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
3 ermet d’approuver pleinement cette déclaration de Spitteler  : « N’est-ce pas un spectacle grotesque que celui d’une feuille de ch
4 1964, Articles divers (1963-1969). Les arts dans la vie en Suisse (1964)
4 Suisse d’un Arthur Honegger pour la musique, d’un Spitteler et d’un Ramuz pour la littérature, d’un Hodler et d’un Paul Klee pour
5 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
5 t L’Araignée noire de Jérémias Gotthelf, Imago de Spitteler et les romans romands, jusqu’à Ramuz, se distinguent des romans franç
6 venu le saluer comme « le chantre de sa nation », Spitteler , alors âgé de quatre-vingts ans, répondit : « Je ne suis pas le poète
7 airement grec, exilé dans le temps et la hauteur, Spitteler demeure un sommet que l’on peut admirer de loin sans éprouver l’envie