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ermet d’approuver pleinement cette déclaration de
Spitteler
: « N’est-ce pas un spectacle grotesque que celui d’une feuille de ch
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Mais n’allons pas confondre cette modestie, dont
Spitteler
parlait si noblement, avec la vue bornée des « réalistes », le scepti
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ermet d’approuver pleinement cette déclaration de
Spitteler
: « N’est-ce pas un spectacle grotesque que celui d’une feuille de ch
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Suisse d’un Arthur Honegger pour la musique, d’un
Spitteler
et d’un Ramuz pour la littérature, d’un Hodler et d’un Paul Klee pour
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t L’Araignée noire de Jérémias Gotthelf, Imago de
Spitteler
et les romans romands, jusqu’à Ramuz, se distinguent des romans franç
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venu le saluer comme « le chantre de sa nation »,
Spitteler
, alors âgé de quatre-vingts ans, répondit : « Je ne suis pas le poète
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airement grec, exilé dans le temps et la hauteur,
Spitteler
demeure un sommet que l’on peut admirer de loin sans éprouver l’envie