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collabore à engendrer l’image de l’homme ? » (Th.
Spoerri
: Über Einbildung, p. 25.) 31. Il convient de débarrasser ce mot de
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du Gothard » qui est mon idée et celle de mon ami
Spoerri
, de Zurich, et à laquelle je tiens. Elle suit d’ailleurs son chemin m
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rançaise sur la Seine. Notre projet me travaille.
Spoerri
insiste, agit, et des contacts sont pris à droite et à gauche. Vertig
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rançaise sur la Seine. Notre projet me travaille.
Spoerri
insiste, agit, et des contacts sont pris à droite et à gauche. Vertig
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nous ramène à Berne le lendemain matin, je dis à
Spoerri
: « Si la France est battue, le moral de la Suisse va flancher. Beauc
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rançaise sur la Seine. Notre projet me travaille.
Spoerri
insiste, agit. Des contacts sont pris à droite et à gauche. On nous a
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l’ici-bas. Origine de la poésie occidentale ! Et
Spoerri
nous fait suivre dans le détail de la métrique des chansons I à IX la
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ttrait de la perfection. » Aux belles analyses de
Spoerri
, je voudrais ajouter ceci : s’il est vrai que ce qu’il nomme très bie