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vation psychologique ironique et minutieuse, à la
Stendhal
, succède à des effusions haletantes ou à une relation cinématographiq
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presque littéralement d’une anecdote italienne de
Stendhal
; si d’autre part l’évolution mystique de Paulina semble parfois un p
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enue surtout dans ses essais sur Proust, Pater et
Stendhal
. Certes, il était temps que l’on dénonce la confusion romantique de l
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e d’un Newman, les exemples d’un Meredith et d’un
Stendhal
, qui ont su « penser dans le train de l’action, faire de la psycholog
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nçais. Balzac, c’est le roman social. Balzac — et
Stendhal
, bien sûr — ce sera l’honorable, la géniale exception. Il me reste à
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ort et que le monde est moderne. À preuve Balzac,
Stendhal
, Baudelaire, Rimbaud, Dostoïevski, Nietzsche, Rilke, Hamsun. Quant à
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rtir d’une lecture de Balzac ; aux boursiers dont
Stendhal
enfièvre l’ambition ; aux jeunes bourgeois qui se défont à rechercher
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de lire enfin un manuel où Rimbaud, Sénancour et
Stendhal
trouvent leur place. Mais que dire de l’absence de Proudhon, grand éc
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és. Je n’ai pas voulu flatter ni déprécier ce que
Stendhal
nommait l’amour-passion, mais j’ai tenté de le décrire comme un phéno
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ntant d’ailleurs une société des plus sceptiques,
Stendhal
nous offre un exemple parfait pour l’analyse de la profanation du myt
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fique d’une sorte de folie très rare en France… »
Stendhal
baptise cette folie : l’amour-passion. ⁂ Tout le monde connaît la thè
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ise-t-il, mais elle est en soi une erreur… Le cas
Stendhal
n’est pas douteux : il s’agit d’un homme qui n’aimait pas réellement,
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Ne sont-ils pas contre nature ? Encore une fois,
Stendhal
ne se pose pas la question, n’étant pas en mesure de la résoudre. En
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peut venir que de l’esprit. La vérité, c’est que
Stendhal
est la victime d’un phénomène spirituel que ses croyances matérialist
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la clé. Ce n’est pas qu’au cours de sa recherche,
Stendhal
n’ait plusieurs fois « brûlé ». Il consacre deux longs chapitres à l’
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ation et l’idéalisation courtoise tient en ceci :
Stendhal
sait qu’il y aura décristallisation (retour à la lucidité). Le contre
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ntant d’ailleurs une société des plus sceptiques,
Stendhal
nous offre un exemple parfait pour l’analyse de la profanation du myt
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fique d’une sorte de folie très rare en France… »
Stendhal
baptise cette folie : l’amour-passion. ⁂ Tout le monde connaît la thè
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ise-t-il, mais elle est en soi une erreur… Le cas
Stendhal
n’est pas douteux : il s’agit d’un homme qui n’aimait pas réellement,
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Ne sont-ils pas contre nature ? Encore une fois,
Stendhal
ne se pose pas la question, n’étant pas en mesure de la résoudre. En
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peut venir que de l’esprit. La vérité, c’est que
Stendhal
est la victime d’un phénomène spirituel que ses croyances matérialist
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a clé. Ce n’est pas qu’au cours de sa recherche,
Stendhal
n’ait plusieurs fois « brûlé ». Il consacre deux longs chapitres à l’
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ation et l’idéalisation courtoise tient en ceci :
Stendhal
sait qu’il y aura décristallisation (retour à la lucidité). Le contre
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és. Je n’ai pas voulu flatter ni déprécier ce que
Stendhal
nommait l’amour-passion, mais j’ai tenté de le décrire comme un phéno
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ntant d’ailleurs une société des plus sceptiques,
Stendhal
nous offre un exemple parfait pour l’analyse de la profanation du myt
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fique d’une sorte de folie très rare en France… »
Stendhal
baptise cette folie : l’amour-passion. ⁂ Tout le monde connaît la thè
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ise-t-il, mais elle est en soi une erreur… Le cas
Stendhal
n’est pas douteux : il s’agit d’un homme qui n’aimait pas réellement,
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ation et l’idéalisation courtoise tient en ceci :
Stendhal
sait qu’il y aura décristallisation (retour à la lucidité). Le contre
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Ne sont-ils pas contre nature ? Encore une fois,
Stendhal
ne se pose pas la question, n’étant pas en mesure de la résoudre. En
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peut venir que de l’esprit. La vérité, c’est que
Stendhal
est la victime d’un phénomène spirituel que ses croyances matérialist
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la clé. Ce n’est pas qu’au cours de sa recherche
Stendhal
n’ait plusieurs fois « brûlé ». Il consacre deux longs chapitres à l’
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le journal que les plus sèches notations (Byron,
Stendhal
). D’autres fois, l’œuvre et le journal sont simplement des manières d
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mieux que nous le sommes. Voyez cette héroïne de
Stendhal
: « Je ne me fais plus aucune illusion, lui disait-elle, même dans le
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vertu. 9. Kierkegaard. 10. Genèse 3, 8-13. 11.
Stendhal
. 12. Selon cette conception de la sincérité il serait hypocrite de d
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mieux que nous le sommes. Voyez cette héroïne de
Stendhal
: « Je ne me fais plus aucune illusion, lui disait-elle, même dans le
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ècle. 20. Kierkegaard. 21. Genèse 3, 8-13. 22.
Stendhal
. 23. Selon cette conception de la sincérité il serait hypocrite de d
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mieux que nous le sommes. Voyez cette héroïne de
Stendhal
: « Je ne me fais plus aucune illusion, lui disait-elle, même dans le
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ècle. 22. Kierkegaard. 23. Genèse 3, 8-13. 24.
Stendhal
. 25. Selon cette conception de la sincérité il serait hypocrite de d
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gloire. Chateaubriand eut de la gloire, mais non
Stendhal
. Madame de Staël en eut, mais non Constant (comme écrivain). Or perso
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le journal que les plus sèches notations (Byron,
Stendhal
). D’autres fois, l’œuvre et le journal sont simplement des manières d
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gloire. Chateaubriand eut de la gloire, mais non
Stendhal
. Mme de Staël en eut, mais non Constant (comme écrivain). Or personne
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d’outre-tombe. 46. Victor Hugo : Choses vues. 47.
Stendhal
: La Chartreuse de Parme. 48. Charles Baudelaire : Les Fleurs du mal.
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n’existe pas “d’art bourgeois” écrit-il. Balzac,
Stendhal
, Flaubert, etc., n’ont jamais exprimé l’idéologie bourgeoise, et il s
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e à des hommes comme Napoléon, Goethe, Beethoven,
Stendhal
, Henri Heine, Schopenhauer. Qu’on ne m’en veuille pas trop de nommer
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e à des hommes comme Napoléon, Goethe, Beethoven,
Stendhal
, Henri Heine, Schopenhauer. Qu’on ne m’en veuille pas trop de nommer
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des hommes tels que Napoléon, Goethe, Beethoven,
Stendhal
, Henri Heine, Schopenhauer. Cependant, à côté de ce qui éveille et fo
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ns façonnées par l’Église et justifiant le mot de
Stendhal
: « L’Europe moderne est née du christianisme. » Accordons à notre hi
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-plan de compétition sociale chez un Balzac et un
Stendhal
. Ces traits sont protestants, peut-être. Mais le goût de la mesure, d
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fanatique compétition sociale chez un Balzac, un
Stendhal
ou un Proust. Ces traits de discrétion sont protestants, peut-être ?
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aines, le civisme et la vie culturelle en Suisse.
Stendhal
voyait dans le cénacle de Coppet, rassemblé par Mme de Staël, « les é
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Maistre et Madame de Staël, Benjamin Constant et
Stendhal
. Rien de plus aisé, si l’on songe qu’ils ont aimé les mêmes paysages,
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ie patrie. L’amour-passion (selon l’expression de
Stendhal
) devient la part du rêve qu’on oppose au mariage bourgeois, union not
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i à des hommes comme Napoléon, Goethe, Beethoven,
Stendhal
, Schopenhauer, qui sont devenus de plus en plus nationalistes en viei
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e à des hommes comme Napoléon, Goethe, Beethoven,
Stendhal
, Henri Heine, Schopenhauer ». Cité dans Vingt-huit siècles d’Europe,
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e, ne se voient guère chez les romanciers, à part
Stendhal
, ni même chez les poètes français, à part Baudelaire et Saint-John Pe