1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
1 vation psychologique ironique et minutieuse, à la Stendhal , succède à des effusions haletantes ou à une relation cinématographiq
2 presque littéralement d’une anecdote italienne de Stendhal  ; si d’autre part l’évolution mystique de Paulina semble parfois un p
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
3 enue surtout dans ses essais sur Proust, Pater et Stendhal . Certes, il était temps que l’on dénonce la confusion romantique de l
4 e d’un Newman, les exemples d’un Meredith et d’un Stendhal , qui ont su « penser dans le train de l’action, faire de la psycholog
3 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
5 nçais. Balzac, c’est le roman social. Balzac — et Stendhal , bien sûr — ce sera l’honorable, la géniale exception. Il me reste à
4 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
6 ort et que le monde est moderne. À preuve Balzac, Stendhal , Baudelaire, Rimbaud, Dostoïevski, Nietzsche, Rilke, Hamsun. Quant à
5 1937, Articles divers (1936-1938). Romanciers publicitaires ou la contagion romanesque (13 mars 1937)
7 rtir d’une lecture de Balzac ; aux boursiers dont Stendhal enfièvre l’ambition ; aux jeunes bourgeois qui se défont à rechercher
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
8 de lire enfin un manuel où Rimbaud, Sénancour et Stendhal trouvent leur place. Mais que dire de l’absence de Proudhon, grand éc
7 1939, L’Amour et l’Occident. Avertissement
9 és. Je n’ai pas voulu flatter ni déprécier ce que Stendhal nommait l’amour-passion, mais j’ai tenté de le décrire comme un phéno
8 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
10 ntant d’ailleurs une société des plus sceptiques, Stendhal nous offre un exemple parfait pour l’analyse de la profanation du myt
11 fique d’une sorte de folie très rare en France… » Stendhal baptise cette folie : l’amour-passion. ⁂ Tout le monde connaît la thè
12 ise-t-il, mais elle est en soi une erreur… Le cas Stendhal n’est pas douteux : il s’agit d’un homme qui n’aimait pas réellement,
13 Ne sont-ils pas contre nature ? Encore une fois, Stendhal ne se pose pas la question, n’étant pas en mesure de la résoudre. En
14 peut venir que de l’esprit. La vérité, c’est que Stendhal est la victime d’un phénomène spirituel que ses croyances matérialist
15 la clé. Ce n’est pas qu’au cours de sa recherche, Stendhal n’ait plusieurs fois « brûlé ». Il consacre deux longs chapitres à l’
16 ation et l’idéalisation courtoise tient en ceci : Stendhal sait qu’il y aura décristallisation (retour à la lucidité). Le contre
9 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
17 ntant d’ailleurs une société des plus sceptiques, Stendhal nous offre un exemple parfait pour l’analyse de la profanation du myt
18 fique d’une sorte de folie très rare en France… » Stendhal baptise cette folie : l’amour-passion. ⁂ Tout le monde connaît la thè
19 ise-t-il, mais elle est en soi une erreur… Le cas Stendhal n’est pas douteux : il s’agit d’un homme qui n’aimait pas réellement,
20 Ne sont-ils pas contre nature ? Encore une fois, Stendhal ne se pose pas la question, n’étant pas en mesure de la résoudre. En
21 peut venir que de l’esprit. La vérité, c’est que Stendhal est la victime d’un phénomène spirituel que ses croyances matérialist
22 a clé. Ce n’est pas qu’au cours de sa recherche, Stendhal n’ait plusieurs fois « brûlé ». Il consacre deux longs chapitres à l’
23 ation et l’idéalisation courtoise tient en ceci : Stendhal sait qu’il y aura décristallisation (retour à la lucidité). Le contre
10 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Avertissement
24 és. Je n’ai pas voulu flatter ni déprécier ce que Stendhal nommait l’amour-passion, mais j’ai tenté de le décrire comme un phéno
11 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
25 ntant d’ailleurs une société des plus sceptiques, Stendhal nous offre un exemple parfait pour l’analyse de la profanation du myt
26 fique d’une sorte de folie très rare en France… » Stendhal baptise cette folie : l’amour-passion. ⁂ Tout le monde connaît la thè
27 ise-t-il, mais elle est en soi une erreur… Le cas Stendhal n’est pas douteux : il s’agit d’un homme qui n’aimait pas réellement,
28 ation et l’idéalisation courtoise tient en ceci : Stendhal sait qu’il y aura décristallisation (retour à la lucidité). Le contre
29 Ne sont-ils pas contre nature ? Encore une fois, Stendhal ne se pose pas la question, n’étant pas en mesure de la résoudre. En
30 peut venir que de l’esprit. La vérité, c’est que Stendhal est la victime d’un phénomène spirituel que ses croyances matérialist
31 la clé. Ce n’est pas qu’au cours de sa recherche Stendhal n’ait plusieurs fois « brûlé ». Il consacre deux longs chapitres à l’
12 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
32 le journal que les plus sèches notations (Byron, Stendhal ). D’autres fois, l’œuvre et le journal sont simplement des manières d
13 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
33 mieux que nous le sommes. Voyez cette héroïne de Stendhal  : « Je ne me fais plus aucune illusion, lui disait-elle, même dans le
34 vertu. 9. Kierkegaard. 10. Genèse 3, 8-13. 11. Stendhal . 12. Selon cette conception de la sincérité il serait hypocrite de d
14 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
35 mieux que nous le sommes. Voyez cette héroïne de Stendhal  : « Je ne me fais plus aucune illusion, lui disait-elle, même dans le
36 ècle. 20. Kierkegaard. 21. Genèse 3, 8-13. 22. Stendhal . 23. Selon cette conception de la sincérité il serait hypocrite de d
15 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
37 mieux que nous le sommes. Voyez cette héroïne de Stendhal  : « Je ne me fais plus aucune illusion, lui disait-elle, même dans le
38 ècle. 22. Kierkegaard. 23. Genèse 3, 8-13. 24. Stendhal . 25. Selon cette conception de la sincérité il serait hypocrite de d
16 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
39 gloire. Chateaubriand eut de la gloire, mais non Stendhal . Madame de Staël en eut, mais non Constant (comme écrivain). Or perso
17 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
40 le journal que les plus sèches notations (Byron, Stendhal ). D’autres fois, l’œuvre et le journal sont simplement des manières d
18 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
41 gloire. Chateaubriand eut de la gloire, mais non Stendhal . Mme de Staël en eut, mais non Constant (comme écrivain). Or personne
19 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
42 d’outre-tombe. 46. Victor Hugo : Choses vues. 47. Stendhal  : La Chartreuse de Parme. 48. Charles Baudelaire : Les Fleurs du mal.
20 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
43 n’existe pas “d’art bourgeois” écrit-il. Balzac, Stendhal , Flaubert, etc., n’ont jamais exprimé l’idéologie bourgeoise, et il s
21 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
44 e à des hommes comme Napoléon, Goethe, Beethoven, Stendhal , Henri Heine, Schopenhauer. Qu’on ne m’en veuille pas trop de nommer
22 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
45 e à des hommes comme Napoléon, Goethe, Beethoven, Stendhal , Henri Heine, Schopenhauer. Qu’on ne m’en veuille pas trop de nommer
46 des hommes tels que Napoléon, Goethe, Beethoven, Stendhal , Henri Heine, Schopenhauer. Cependant, à côté de ce qui éveille et fo
23 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
47 ns façonnées par l’Église et justifiant le mot de Stendhal  : « L’Europe moderne est née du christianisme. » Accordons à notre hi
24 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
48 -plan de compétition sociale chez un Balzac et un Stendhal . Ces traits sont protestants, peut-être. Mais le goût de la mesure, d
25 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
49 fanatique compétition sociale chez un Balzac, un Stendhal ou un Proust. Ces traits de discrétion sont protestants, peut-être ?
26 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
50 aines, le civisme et la vie culturelle en Suisse. Stendhal voyait dans le cénacle de Coppet, rassemblé par Mme de Staël, « les é
27 1973, Articles divers (1970-1973). Une possibilité européenne : la région genevoise (novembre 1973)
51 Maistre et Madame de Staël, Benjamin Constant et Stendhal . Rien de plus aisé, si l’on songe qu’ils ont aimé les mêmes paysages,
28 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
52 ie patrie. L’amour-passion (selon l’expression de Stendhal ) devient la part du rêve qu’on oppose au mariage bourgeois, union not
29 1984, Articles divers (1982-1985). Le Patrimoine européen [conclusion] (1984)
53 i à des hommes comme Napoléon, Goethe, Beethoven, Stendhal , Schopenhauer, qui sont devenus de plus en plus nationalistes en viei
30 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
54 e à des hommes comme Napoléon, Goethe, Beethoven, Stendhal , Henri Heine, Schopenhauer ». Cité dans Vingt-huit siècles d’Europe,
31 1986, Articles divers (1982-1985). L’Europe des consciences (1986)
55 e, ne se voient guère chez les romanciers, à part Stendhal , ni même chez les poètes français, à part Baudelaire et Saint-John Pe