1 is les Viennois avaient fui dans les opérettes de Strauss , qu’on ne trouve plus nulle part. Dans les dancings, un peuple de fêt

2 is les Viennois avaient fui dans les opérettes de Strauss , qu’on ne trouve plus nulle part. Dans les dancings, un peuple de fêt

3 e la célébrité, de l’élégance et d’une musique de Strauss . Il lit des vers sur le vent de printemps : la poésie est dans toutes

4 e la célébrité, de l’élégance et d’une musique de Strauss . Il lit des vers sur le vent de printemps : la poésie est dans toutes

5 eter Schlemihl. Je fus à l’Opéra. On y donnait du Strauss . Je ne connaissais pas le livret d’Hofmannsthal, et compris mal l’int

6 e la célébrité, de l’élégance et d’une musique de Strauss . Il lit des vers sur le vent de printemps : la poésie est dans toutes

7 omme Schlemihl. Je fus à l’Opéra. On y donnait du Strauss . Je ne connaissais pas le livret d’Hofmannsthal, et compris mal l’int

8 -44, p. 518. 245. E. Renan, « Première Lettre à M. David Strauss  », 16 sept. 1870, in Réforme intellectuelle, Paris, 1884. 246. E. Re

9 Paris, 1884. 246. E. Renan, « Deuxième Lettre à M. David Strauss  », 15 sept. 1871, ibid. 247. E. Renan, « Qu’est-ce qu’une nation ? »