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ne littéraire, de pensers mis à toutes sauces. Si
M. Thibaudet
connaissait l’hôte de céans, il proposerait cette formule du plat idé
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net, intitulé André Gide, l’amour et la divinité,
M. Albert Thibaudet
exprime son regret de ce qu’un tel titre ne réponde pas à son attente
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pour épigraphe la citation suivante, empruntée à
M. Thibaudet
justement : Ceci au moins suffirait à la critique pour maintenir à G
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, mais d’éducation et de nature toute française.
M. Thibaudet
ajoute à ce propos : On m’a fait observer très justement, à l’époque
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storico-littéraire qui caractérise la critique de
M. Albert Thibaudet
, nous ont fait penser qu’il existe bel et bien un Loti vu de Genève,
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problèmes » ! Allons, voilà qui devrait rassurer
M. Thibaudet
, lequel craignait que ce plan ne fût qu’une œuvre d’intellectuels ! C
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écision spirituelle que supposait un tel ouvrage.
M. Thibaudet
réclamait ici même une critique qui « contingentât » l’importation de
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. Quant au roman contemporain, il est curieux que
Thibaudet
, son premier historien, ne tente d’en sauver que les plus gros morcea
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vant-guerre : le temps de leur jeunesse, remarque
Thibaudet
. Et il attribue ce phénomène de « refoulement de la durée vers l’amon
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de 1914. Il est caractéristique que le livre de
Thibaudet
se termine sur une note pessimiste, et sur l’expression de « dégradat
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es, passages, glissements, liaisons, circulation…
Thibaudet
s’est parfaitement défini : « badaud de la République des Lettres, ay
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ies, il s’occupe de secteur plané de la critique.
Thibaudet
, lui, s’ébat dans le secteur libre. Il en abuse merveilleusement. C’e
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des charmes du livre. Réjouissante désinvolture !
Thibaudet
fut bien moins critique qu’essayiste, avec tout ce que cela peut comp
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onteur, du fabulateur d’idées que reste pour nous
Thibaudet
. Dans cette critique que je voudrais appeler une critique de consomma
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e ou lieu d’élection d’Européens comme Ferrero ou
Thibaudet
; agence de liaison de nos cultures grâce à la très remarquable Revu
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e ou lieu d’élection d’Européens comme Ferrero ou
Thibaudet
; agence de liaison de nos cultures grâce à la très remarquable Revu