1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
1 ), scientifiques (Saussure), romanesques (Sterne, Toepffer ), lyriques (les Anglais). Ici, elles imposent une éthique. Là, elles
2 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
2 es Discours religieux, par exemple, cet excellent Toepffer dont on peut espérer qu’il les faire rire tous les deux ? Je ne songe
3 immense cri en vingt-deux langues ». La satire de Toepffer n’est pas méchante, elle n’est pas même « spirituelle » ; c’est plutô
4 ’espièglerie la plus folle, un humour apitoyé. Si Toepffer s’attendrit sur ses bonhommes, n’est-ce pas une manière de dégonfler
5 s, en dépit des carambolages du sort. Il y a donc Toepffer . Puis on tombe sur Édouard Rod, qui entrerait difficilement dans le c
3 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
6 ain d’imiter ce héros de je ne sais quel album de Toepffer , qui feint de feindre afin de mieux dissimuler. — Qu’est-ce qu’être c
4 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
7 use de Parme, mais plutôt un parfait gentleman de Toepffer gardant, quoi qu’il arrive d’invraisemblable, sa dignité en redingote