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), scientifiques (Saussure), romanesques (Sterne,
Toepffer
), lyriques (les Anglais). Ici, elles imposent une éthique. Là, elles
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es Discours religieux, par exemple, cet excellent
Toepffer
dont on peut espérer qu’il les faire rire tous les deux ? Je ne songe
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immense cri en vingt-deux langues ». La satire de
Toepffer
n’est pas méchante, elle n’est pas même « spirituelle » ; c’est plutô
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’espièglerie la plus folle, un humour apitoyé. Si
Toepffer
s’attendrit sur ses bonhommes, n’est-ce pas une manière de dégonfler
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s, en dépit des carambolages du sort. Il y a donc
Toepffer
. Puis on tombe sur Édouard Rod, qui entrerait difficilement dans le c
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ain d’imiter ce héros de je ne sais quel album de
Toepffer
, qui feint de feindre afin de mieux dissimuler. — Qu’est-ce qu’être c
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use de Parme, mais plutôt un parfait gentleman de
Toepffer
gardant, quoi qu’il arrive d’invraisemblable, sa dignité en redingote