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Francfort, il avait tenu à faire deux semestres à
Toulouse
. Il y arrive tout excité. Le professeur lui dit : « Que venez-vous fa
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». Mais à peu près à la même date, La Dépêche de
Toulouse
écrit : « Il faut les lire d’un bout à l’autre, ces notes au jour le
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Rome14, envahit rapidement la France, de Reims à
Toulouse
et de l’Italie jusqu’à l’Espagne, pour rayonner de là sur toute l’Eur
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des révolutions : à quoi bon si Lyon, Marseille,
Toulouse
, Bordeaux, Nantes, Rouen, Lille, Strasbourg, Dijon, etc., si les dépa
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Bible est interdite aux fidèles dès le synode de
Toulouse
en 1229, rappelle F. Heer. La Bible en langue vulgaire est même mise
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». Cent ans plus tard, en 1119, elle excommunie à
Toulouse
leurs descendants multipliés. Dès 1145, saint Bernard de Clairvaux pr
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temps qu’à Orléans, Arras, Liège, Cologne, Reims,
Toulouse
: premières années du xie siècle. En 1028, Guillaume V, inquiet du p
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inem », cf. René Nelli, Érotique des troubadours,
Toulouse
, 1963, p. 222-223. Voir aussi dans l’anthologie du même auteur, Les T
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et Dijon, Oxford, Tolède, Genève, Weimar, Upsal,
Toulouse
, Prague et Venise : l’Europe vivante et créatrice est née du rayonnem
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maudissent la circulation… (85 % des habitants de
Toulouse
, 47 % de ceux de Brest). L’indice de désagrément atteint les mêmes pr
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ard, de la Provence, du Bordelais, de Béziers, de
Toulouse
, de l’Aquitaine… Résumé de notre ascendance : racines solides dans la