1 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
1 s descriptions du passé. Comme l’a fait remarquer Toynbee , les utopies sont en réalité des « programmes d’action déguisés en de
2 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
2 re du Kremlin ? Et comment se définissent-elles ? Toynbee , qui est un grand historien, écrit au Times qu’elles ne font point pa
3 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
3 re du Kremlin ? Et comment se définissent-elles ? Toynbee , qui est un grand historien, écrit au Times qu’elles ne font point pa
4 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
4 its de notre siècle, un Paul Valéry, un Eliot, un Toynbee , un Bergson l’ont fait ; et la majorité de nos élites les a suivis. C
5 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
5 de historique intelligible » tel que l’a délimité Toynbee  : une société, une civilisation bien définie, comme l’Europe, l’islam
6 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
6 de historique intelligible » tel que l’a délimité Toynbee  : une société, une civilisation bien définie, comme l’Europe, l’islam
7 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
7 e d’un des plus grands historiens de notre temps, M. Toynbee , appuyé par l’autorité d’un savant humaniste, M. Löfstedt. Nous avons
8 dans l’union. Ce fut le dernier mot du rapport de Toynbee  : « Unissons l’Europe maintenant ! Nous n’avons pas de temps à perdre
9 n changement radical dans nos rapports mutuels » ( Toynbee ), c’est-à- dire de regagner en prestige moral ce que nous perdons en
8 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
10 e d’un des plus grands historiens de notre temps, M. Toynbee , appuyé par l’autorité d’un savant humaniste, M. Löfstedt. Nous avons
11 dans l’union. Ce fut le dernier mot du rapport de Toynbee  : « Unissons l’Europe maintenant ! Nous n’avons pas de temps à perdre
12 nde extraeuropéen et dans nos rapports mutuels » ( Toynbee ), c’est-à-dire de regagner en prestige moral ce que nous perdons en p
13 division ; aujourd’hui ce n’est plus possible » ( Toynbee ).   Recouvrer la souveraineté. — Est-il vrai que nos souverainetés d
14 ultiples, condition fondamentale de la liberté : M. Toynbee . — En ce qui concerne le loyalisme, les Romains ont découvert qu’il n
15 van Kleffens approuve les remarques du professeur Toynbee sur les loyalismes multiples — « allégeances » serait peut-être un te
9 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une deuxième table ronde de l’Europe (février 1956)
16 , van Kleffens, E. Kogon, Löfstedt, R. Schuman et Toynbee — entourés de quinze publicistes représentant les pays membres du Con
10 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
17 . De Tocqueville : La Démocratie en Amérique. 90. Toynbee  : A Study of History. 91. W. A. Auden : Collected Poems. 92. Bitzius
11 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
18 é, plus répandu que jamais dans le grand public : Toynbee est best-seller, les revues et la presse nous parlent de Sumer, du pa
12 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
19 un Spengler, ou les spéculations fascinantes d’un Toynbee , inspirées par l’idée mythique d’Évolution, — on monte, on culmine, o
13 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
20 é, plus répandu que jamais dans le grand public : Toynbee est best-seller, les revues et la presse nous parlent de Sumer, du pa
14 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
21 soin de rappeler ici les œuvres de Spengler et de Toynbee , qui ont tant fait pour accréditer l’idée d’une décadence inévitable
15 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
22 rgure du succès de l’Occident dans l’ère moderne. Toynbee nous met en garde contre les illusions de ce qu’on pourrait appeler l
16 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
23 un système sans avenir. Car ainsi que l’a bien vu Toynbee , les utopies sont en réalité « des programmes d’action déguisés en de
17 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
24 s prochaines. Sorel, Bergson, Spengler, Valéry et Toynbee et plusieurs centaines d’autres à leur suite nous l’ont répété sans r
18 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
25 eu et de Gibbon au xviiie , jusqu’à Spengler et à Toynbee dans notre siècle, en passant par les philosophes du romantisme qui n
19 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Henri Brugmans, Les Origines de la civilisation européenne (septembre 1959)
26 étude intelligible », selon la formule célèbre de Toynbee . Texte classique, à méditer non seulement par les professeurs, instit
20 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Carlo Curcio, Europa, Storia di un’idea (septembre 1959)
27 iants de la réalité européenne qu’un Spengler, un Toynbee , un Keyserling, voire un Ortega y Gasset. C’est un instrument de trav
21 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Luis Diez del Corral, El rapto de Europa (septembre 1959)
28 ilthey et Jaspers — mais aussi à Auguste Comte, à Toynbee , et à saint Augustin, c’est-à-dire aux grands auteurs de systèmes de
22 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
29 culture proviendrait-il plutôt, si l’on en croit Toynbee , des défis auxquels elle se voit soumise ? S’il s’agit de défis extér
23 1960, Arts, articles (1952-1965). Remise en question par l’Afrique et l’Asie, la civilisation occidentale n’a pas encore de successeur (21 septembre 1960)
30 rgure du succès de l’Occident dans l’ère moderne. Toynbee nous met en garde contre les illusions de ce qu’on pourrait appeler l
24 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
31 le, et nous rejoignons la phrase de Valéry. Enfin Toynbee , dans un effort admirable pour embrasser l’ensemble des conditions du
32 e la décadence de l’Occident, Spengler, Valéry et Toynbee , se fondaient sur le précédent de civilisations antiques aujourd’hui
25 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
33 voir dans cette méthode l’annonce de la thèse de Toynbee sur les « champs d’étude intelligibles ». Dans la Préface à son Histo
34 tions. Mais à la différence d’un Spengler ou d’un Toynbee , Gibbon, comme les Schlegel, Hegel et Comte, qui écrivirent avant Dar
26 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
35 érêts qu’il étudiait. (Par un processus analogue, Toynbee choisira les « civilisations », et non pas les nations, ni le monde,
27 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
36 des civilisations, il continue Hegel et préfigure Toynbee . Son grand livre est en somme une utopie fondée sur le passé et le pr
28 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
37 Rougier, nous montre un Prométhée européen282 : Toynbee prétend qu’il y a toujours un mythe fondamental qui préside à la genè
38 ité sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Toynbee va-t-il relever le défi ? Loin de là, il donne raison à la « sagesse
39 e l’agression, la tyrannie et leurs souffrances ? Toynbee taxe d’orgueil cette objection : Nous Occidentaux, parce qu’humains,
40 de la décadence de l’Europe, Spengler, Valéry et Toynbee , se fondaient tous sur le précédent de la chute de Rome, du monde gré
41 andu les germes. Sur tout cela en général et sur Toynbee en particulier, l’historien espagnol Luis Diez del Corral a beaucoup
42 sa « perte », d’ailleurs. Car le pire, prévu par Toynbee , n’est pas sûr : Dans A Study of History de Toynbee, l’histoire univ
43 cédent de la décadence hellénistique, invoqué par Toynbee , mais il y trouve des raisons nouvelles de croire en l’avenir europée
29 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Principes et méthodes du dialogue entre les cultures (avril 1962)
44 e nos jours des « champs d’étude intelligibles » ( Toynbee ) sont à la fois moins vastes et moins vagues que le binôme Orient-Occ
30 1962, Arts, articles (1952-1965). Le monde entier irrite l’Europe et la méprise autant qu’il la jalouse ! (20 juin 1962)
45 mondiale de cette manière. Là-dessus, l’historien Toynbee m’arrête : Alexandre le Grand et les empereurs chinois s’imaginaient,
31 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe est un colosse qui s’ignore (encore) (27 juin 1962)
46 Un certain défaitisme européen, de Spengler à Toynbee et de Sorel à Sartre, semble avoir persuadé nos élites comme nos mass
32 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
47 uis les débuts de ce siècle (et récemment encore, Toynbee ), contre l’illusion provinciale qui nous ferait tenir l’Europe pour l
33 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
48 mondiale de cette manière. Là-dessus, l’historien Toynbee m’arrête : Alexandre le Grand et les empereurs chinois s’imaginaient,
49 ? ⁂ Un certain défaitisme européen, de Spengler à Toynbee et de Sorel à Sartre51, semble avoir persuadé nos élites comme nos ma
34 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
50 un Spengler, ou les spéculations fascinantes d’un Toynbee , inspirées par l’idée mythique d’Évolution, — on monte, on culmine, o
35 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
51 teurs et spécifiants de l’« unité intelligible » ( Toynbee ) qu’est la littérature européenne sont faciles à énumérer. Nous les m
36 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
52 uis tout à fait d’accord avec l’historien anglais Toynbee qui dit que la plus petite unité d’étude intelligible qu’on puisse pr
53 des fruits, fanent et meurent. Hegel, Spengler et Toynbee ont développé cette idée, séduisante mais fausse. Aujourd’hui, la civ
37 1969, Articles divers (1963-1969). La révolution des meilleurs (4 octobre 1969)
54 vons à peu près renversé cela, en montrant, comme Toynbee le faisait de son côté, qu’il n’y a pas d’histoire de la culture conc
38 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les prophètes de la décadence (24 septembre 1970)
55 e pour embrasser l’ensemble des cultures connues, Toynbee croit pouvoir établir empiriquement, par l’examen comparatif des ving
56 e la décadence de l’Occident, Spengler, Valéry et Toynbee , se fondaient sur le précédent de civilisations antiques aujourd’hui
39 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
57 th, de Thomas Mann à Aldous Huxley, de Maritain à Toynbee , et d’Einstein à Fermi, beaucoup déjà nous ont quittés, sont devenus
40 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — À la table ronde du Conseil de l’Europe
58 e d’un des plus grands historiens de notre temps, M. Toynbee . Et nous avons vu se dessiner la courbe de l’extraordinaire aventure
41 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Pronostics 1969 (une interview)
59 ure européenne. Je suis tout à fait d’accord avec Toynbee qui dit que la plus petite unité d’étude intelligible qu’on puisse co
60 fruits, se fanent et meurent. Hegel, Spengler et Toynbee ont développé cette idée, séduisante mais fausse. Aujourd’hui, la civ
42 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le Dialogue des cultures
61 ophrénie, ou un partage de l’âme, comme le dirait Toynbee . Un jour, un jeune intellectuel indonésien, poète comme ils sont tous
62 étude intelligibles », pour citer un fois de plus Toynbee , sont à la fois moins vastes et moins vagues que le binôme Orient-Occ
43 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
63 e compréhension, tout comme une « société » selon Toynbee , dans sa fameuse thèse initiale : « L’unité intelligible d’étude hist
64 its de notre siècle, un Paul Valéry, un Eliot, un Toynbee , un Bergson l’ont fait ; et la majorité de nos élites les a suivis. C
65 e pour embrasser l’ensemble des cultures connues, Toynbee croit pouvoir établir empiriquement, par l’examen comparatif des ving
66 e la décadence de l’Occident, Spengler, Valéry et Toynbee , se fondaient sur le précédent de civilisations antiques aujourd’hui
44 1971, Articles divers (1970-1973). L’Amour et l’Europe : L’Express va plus loin… avec D. de Rougemont (12 avril 1971)
67 e est d’accord, des Sumériens jusqu’à Engels et à Toynbee  : la condition de toute civilisation est une certaine discipline des
68 ingt-deux ou vingt-trois civilisations qu’énumère Toynbee . « Tout est venu à l’Europe, et tout en est venu, ou presque », disai
45 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
69 anglo-saxons de tous bords (« Nation-State » dans Toynbee , J. Fawcett, H. Kahn, etc.) et des auteurs français opposés au gaulli
46 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La révolte des régions : l’État-nation contre l’Europe (mars 1974)
70 ccord, d’Herman Kahn à Bertrand de Jouvenel et de Toynbee à Georg Picht. Mais l’État-nation condamné se défend, avec la rage de
47 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
71 pé sur les rivages de nos cinq continents8. Selon Toynbee , l’ancienne carte du monde, où l’on voyait des points marquants les v
72 devient répétitif. Sur ce point, à tout le moins, Toynbee et Doxiadis sont confirmés : la même rue, les mêmes tours, et les mêm
73 libératrice. Avec cela notre troisième question à Toynbee , à savoir si la ville mondiale serait souhaitable, a trouvé sa répons
74 anç. : La Ville dans l’histoire, Paris, 1972. 9. Toynbee semblait avoir admis une croissance démographique uniforme sur toute
48 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Un « Essai sur l’avenir » en 1948
75 s descriptions du passé. Comme l’a fait remarquer Toynbee , les Utopies sont en réalité des « programmes d’action déguisés en de
49 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Naissance de la prospective
76 Rome, de leurs grandeurs et décadences alternées. Toynbee le suit, une décennie plus tard, interprétant la même Antiquité class
50 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
77 le, au moment où j’écris, que les prévisions d’un Toynbee sur la cité universelle, ou que les plans pour un Grand Paris de ving
51 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
78 Paris, Preuves, n° 8, 1971. À opposer aux vues de Toynbee résumées dans la première partie. 205. Politique de la personne, Pa
52 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Utopie, technique, État-nation (printemps 1980)
79 èle déduit d’aujourd’hui si ce n’est d’hier. Mais Toynbee a très bien montré que les utopies sont « statiques par hypothèse ».
53 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
80 avez raison de le marquer, je citerais Spengler, Toynbee , Paul Valéry, Lewis Mumford, et j’oserais suggérer mes livres. Dès l’
54 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
81 olâtrie de la Souveraineté nationale dénoncée par Toynbee Dans le résumé magistral de ce qui fut l’œuvre de sa vie, A Study
82 rope, avec lequel il allait entrer en contact81 — Toynbee posait la question décisive : Cette seconde tentative — pour bâtir u