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e celle, permanente, de l’erreur hégélo-marxiste.
Tzara
explique p. 271 que « les formes de langage sont… symboliques et sont
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, je me mets à critiquer les formes du langage de
Tzara
. Je constate un certain nombre d’erreurs minimes, mais constantes, de
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utes dans le même sens. Suivons-le. La syntaxe de
Tzara
est commandée par des associations verbales d’un type particulier, do
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ification du premier terme d’une métaphore, selon
Tzara
, est « absorbée intégralement » par le second terme, « en vue d’une c
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(voir Marx : Salaires, prix, profit) figure selon
Tzara
« l’acte de connaissance, qui est quantité, et que nous désignons sou
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it plus qu’un vaste télescopage, et les livres de
M. Tzara
se réduiraient peut-être, logiquement et en fait, à un seul mot. Je f
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is j’en viens à l’explication psychanalytique que
Tzara
donne du monde actuel. Monde dominé, dit-il, par l’angoisse de vivre
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ationnelles, « sous une forme supérieure ». Selon
Tzara
, ceci doit nous mener à une société collectiviste, marxiste. Je ne co
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omprends pas cette déduction. La revendication de
Tzara
est exactement celle de l’hitlérisme sous ses formes les plus virulen
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prend mieux la portée de ce propos après avoir lu
Tzara
. Mais on ne comprend plus du tout la légèreté avec laquelle les surré
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vent. Par ailleurs, si j’accepte le diagnostic de
Tzara
, si j’admets que le complexe de castration est la dominante de l’époq
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sée paraît souvent plus audacieuse et subversive.
Tzara
critique avec vigueur la poésie de propagande et le désir secret de «
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formisme brutal soient en train de provoquer chez
Tzara
une prise de conscience toute nouvelle, et qu’à cette réflexion, plus