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l était à moitié mort ! 3e valet. — Des fois,
Ulrich
va voir le frère Claus. Ils font rien que prier toute la journée.
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e le plan 3. On aperçoit en silhouette Nicolas et
Ulrich
, agenouillés, la face tournée vers le fond de la scène.) Chœur céle
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: un vieil homme noir se tient près de l’abri.)
Ulrich
. — Un mendiant ? Par où est-il monté ? Le sentier est encore dans la
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chant, le vieillard a disparu.) Scène ii.
Ulrich
. — Ô frère Claus, quel signe heureux sur la journée nouvelle ! N’est
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as s’est retiré dans son abri, et remis à genoux.
Ulrich
s’avance au bord du plan 3 et regarde au-dessous de lui. La file des
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issante, avec des à-coups, des embouteillages.)
Ulrich
. — Ils sont plus nombreux que jamais… L’ermite a fui le monde pour t
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in de gauche deux personnages richement vêtus.)
Ulrich
. — J’aperçois deux chevaliers qui se hâtent vers nous. (Au premier,
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Berne saluent par moi le vénérable solitaire.
Ulrich
. — Et quel est le second visiteur ? Peut-il se présenter lui-même ?
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n est « interdit » par la morale. Aimant sa sœur,
Ulrich
veut toucher l’interdit et posséder l’inaccessible, qui est le plus v
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uration de l’amour interdit qui unira ses héros :
Ulrich
et Agathe, frère et sœur. Admirable coïncidence, qu’il faut bien attr
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derie ? — Cela ne s’accorde pas du tout ! s’écria
Ulrich
en riant. On voit que l’amour-passion est seul en jeu, et que le seu
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relations déficientes et tendues avec le monde »,
Ulrich
conte à nouveau l’histoire de « la femme la plus merveilleuse qu’il e
13
ssièrement directe serait contre nature, répondit
Ulrich
. L’homme qui en serait capable engagerait la créature désarmée et ina
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si elle entendait ce terme pour la première fois…
Ulrich
dit brusquement : — Celui dont les excitations les plus fortes sont l
15
! L’expérience impossible dans laquelle s’engage
Ulrich
se présente d’abord à sa méditation sous la forme d’un besoin d’amour
16
c, dans Vienne. Souvent, même dans les années où
Ulrich
avait cherché sa voie seul et non sans insolence, le mot de sœur avai
17
ieu et l’antisocial. Dès le début, son amour pour
Ulrich
a mobilisé son hostilité à l’égard du monde. Le moment négateur du m
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ura immobile, sans monter ni descendre. Agathe et
Ulrich
ressentirent un bonheur dont ils ne savaient pas si c’était de la tri
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isolés, il n’y a pas d’amour possible, reconnaît
Ulrich
. Un amour peut naître par défi, il ne peut être fait de défi. Il faut
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n est « interdit » par la morale. Aimant sa sœur,
Ulrich
veut toucher l’interdit et posséder l’inaccessible, qui est le plus v
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uration de l’amour interdit qui unira ses héros :
Ulrich
et Agathe, frère et sœur. Admirable coïncidence, qu’il faut bien attr
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derie ? — Cela ne s’accorde pas du tout ! s’écria
Ulrich
en riant. » On voit que l’amour-passion est seul en jeu, et que le se
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relations déficientes et tendues avec le monde »,
Ulrich
conte de nouveau l’histoire de « la femme la plus merveilleuse qu’il
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ssièrement directe serait contre nature, répondit
Ulrich
. L’homme qui en serait capable engagerait la créature, désarmée et in
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si elle entendait ce terme pour la première fois…
Ulrich
dit brusquement : — Celui dont les excitations les plus fortes sont l
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! L’expérience impossible dans laquelle s’engage
Ulrich
se présente d’abord à sa méditation sous la forme d’un besoin d’amour
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c, dans Vienne. Souvent, même dans les années où
Ulrich
avait cherché sa voie seul et non sans insolence, le mot de sœur avai
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ieu et l’antisocial. Dès le début, son amour pour
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a mobilisé son hostilité à l’égard du monde. Le moment négateur du m
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ura immobile, sans monter ni descendre. Agathe et
Ulrich
ressentirent un bonheur dont ils ne savaient pas si c’était de la tri
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isolés, il n’y a pas d’amour possible » reconnaît
Ulrich
. « Un amour peut naître par défi, il ne peut être fait de défi. Il fa