1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
1 , et publiée dans le recueil des Conférences de l’ Unesco , M. Aragon.
2 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
2 ’hiver dernier en Sorbonne sous les auspices de l’ Unesco . À la page 100 de ce recueil, M. Aragon déclare que je n’ai « jamais
3 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
3 age » aux efforts des Cinq, ou des Seize, ou de l’ Unesco , ou même de l’ONU. C’est qu’ils sont satisfaits de leur gouvernement.
4 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
4 , les organisations de culture mondiales, comme l’ Unesco , couvrent un champ trop vaste, tandis que les instituts nationaux se
5 1949, Articles divers (1948-1950). « Le promoteur de l’émission Demain l’Europe nous dit… » (1er juillet 1949)
5 era partie d’une série de 16 volumes édités par l’ Unesco , série qui traitera de différents pays. Je prépare également une conf
6 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rapport moral présenté par M. Denis de Rougemont (novembre 1952)
6 e CEC définit-il son action propre ? On connaît l’ Unesco  : mondiale, gouvernementale, riche, quand nous sommes pauvres, autono
7 us, on notera que le CEC n’est à aucun titre « un Unesco européen » : ni par sa structure, ni par ses méthodes, ni par ses obj
8 ses objectifs. Le danger de double emploi avec l’ Unesco semblerait plus réel dans le cas du Comité des experts culturels du C
9 que la plupart de ces délégués siègent aussi à l’ Unesco , et sont donc en mesure de juger ce qui doit rester propre à l’Europe
10 plan fut élaboré au CEC, va se construire. Mais l’ Unesco , chargée de le faire adopter par les États, en a retenu le bénéfice m
7 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
11 À propos de la crise de l’ Unesco (décembre-janvier 1953)h La démission de M. Trygve Lie a fait parl
12 ission de M. Torrès-Bodet, directeur général de l’ Unesco , ne révèle certes pas une crise de la culture, mais bien du principe
13 se indifférence dont témoignent, à l’endroit de l’ Unesco , les milieux proprement culturels. Nous ne voyons, pour notre part, a
14 qu’il existe un malaise général à l’endroit de l’ Unesco , et cela non seulement dans l’opinion, probablement superficielle dan
15 e facile à trouver. Car en somme, qu’est-ce que l’ Unesco  ? Un organisme qualifié de « culturel », mis sur pied par les gouvern
16 cessaire, reste loin d’épuiser la question. Car l’ Unesco n’a jamais prétendu faire la culture, ou faire de la culture. L’Unesc
17 tendu faire la culture, ou faire de la culture. L’ Unesco veut aider la culture, et plus encore aider les peuples à se cultiver
18 annuel de 9 millions de dollars, comme celui de l’ Unesco , est gigantesque. Au regard des tâches mondiales que l’Unesco s’assig
19 gigantesque. Au regard des tâches mondiales que l’ Unesco s’assigne, il est simplement ridicule ; pire encore si l’on ose le co
20 qu’ont imaginé il y a sept ans les créateurs de l’ Unesco . Le système souffre de trois vices majeurs : il est trop vaste, il es
21 re par des organismes régionaux (comme on dit à l’ Unesco ) et non point mondiaux.   2. Centralisé. La réalité de la culture ne
22 EC », comme on parle aujourd’hui d’une crise de l’ Unesco , gageons que cette crise ne proviendrait que d’un manque d’appuis ext
23 ureaucratiques. h. « À propos de la crise de l’ Unesco  », Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, n° 8, décembre-
8 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
24 À propos de la crise de l’ Unesco (mars 1953)h La démission de M. Trygve Lie a fait parler d’une cri
25 ission de M. Torres Bodet, directeur général de l’ Unesco , ne révèle certes pas une crise de la culture, mais bien du principe
26 se indifférence dont témoignent, à l’endroit de l’ Unesco , les milieux proprement culturels. Nous ne voyons, pour notre part, a
27 qu’il existe un malaise général à l’endroit de l’ Unesco , et cela non seulement dans l’opinion, probablement superficielle dan
28 facile à trouver. Car, en somme, qu’est-ce que l’ Unesco  ? Un organisme qualifié de « culturel », mis sur pied par les gouvern
29 cessaire, reste loin d’épuiser la question. Car l’ Unesco n’a jamais prétendu faire la culture, ou faire de la culture. L’Unesc
30 tendu faire la culture, ou faire de la culture. L’ Unesco veut aider la culture, et plus encore aider les peuples à se cultiver
31 uel de neuf millions de dollars, comme celui de l’ Unesco , est gigantesque. Au regard des tâches mondiales que l’Unesco s’assig
32 gigantesque. Au regard des tâches mondiales que l’ Unesco s’assigne, il est simplement ridicule ; pire encore si l’on ose le co
33 qu’ont imaginé il y a sept ans les créateurs de l’ Unesco . Le système souffre de trois vices majeurs : il est trop vaste, il es
34 re par des organismes régionaux (comme on dit à l’ Unesco ) et non point mondiaux. 2. Centralisé. La réalité de la culture ne se
35 ureaucratiques. h. « À propos de la crise de l’ Unesco  », Preuves, Paris, n° 25, mars 1953, p. 74-76.
9 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
36 oits de l’homme, tout en adhérant cyniquement à l’ Unesco  ; une Angleterre qui se croit encore une île ; une Autriche occupée,
10 1953, La Confédération helvétique. Note de l’auteur
37 internationales, dans le cadre du programme de l’ Unesco . L’un des buts de cette série étant de « permettre la comparaison ent
11 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
38 même économique dépendant de l’ONU (telles que l’ Unesco , l’OMS, l’OIR, le BIT) et dans la Cour de La Haye. Mais il demeure pl
12 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
39 ministres, du Comité des experts culturels, de l’ Unesco et de l’Organisation du traité de Bruxelles assistaient à la réunion.
13 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales : trois questions, trois réponses (mai-juillet 1954)
40 autres ? Et ne ferait-il pas double emploi avec l’ Unesco , par exemple ? — C’est impossible, car l’Unesco n’a nullement pour bu
41 l’Unesco, par exemple ? — C’est impossible, car l’ Unesco n’a nullement pour but de favoriser l’union de l’Europe, ni l’éveil d
14 1954, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Visite à M. Denis de Rougemont, directeur du Centre européen de la culture (septembre 1954)
42 relles et les échanges intraeuropéens. Pourtant l’ Unesco couvre ces domaines et vous parlez de nécessité… En voulant rester eu
43 en, notre Centre ne fera pas double emploi avec l’ Unesco , qui est une organisation mondiale et n’a pas spécialement de mission
44 et n’a pas spécialement de mission européenne. L’ Unesco n’a pour but ni de favoriser l’union de l’Europe, ni de susciter l’év
15 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
45 ojets « culturels » élaborés par les États, par l’ Unesco , et même par Strasbourg : il s’agit, nous dit-on, « d’organiser des é
16 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Que s’est-il passé à Genève ? (décembre 1955)
46 nergie atomique) ; de participer aux travaux de l’ Unesco , du BIT, etc. ; d’échanger des délégations et des expériences techniq
17 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Personalia (février 1956)
47 la jeunesse, fondé en 1952 sous les auspices de l’ Unesco à Gauting-Munich, a été chargé de diriger le département de l’éducati
48 èmes des réfugiés et émigrés en Europe) puis de l’ Unesco (problèmes de la jeunesse). Il assume également la tâche d’organiser
18 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une initiative des sénateurs belges (février 1956)
49 s, de l’Union de l’Europe occidentale, voire de l’ Unesco , qui leur ont apporté des solutions encore partielles mais concrètes.
19 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
50 ion en Occident et en Orient, recueil édité par l’ Unesco en 1953, p. 228. 96. Chap. iv, vii, ix en particulier.
20 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
51 ers à le prétendre. Lors d’un récent congrès de l’ Unesco sur l’enseignement des sciences sociales au niveau primaire et second
52 délégués polonais à la conférence organisée par l’ Unesco , en octobre 1960, sur l’enseignement des disciplines sociales au nive
21 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
53 choisies, avec une introduction de Jean Piaget — Unesco , 1957. 96. Hermès Trimégiste : c’est sous ce nom que les Grecs de la
22 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
54 a, Livre V, chap. III, §§ 1089 à 1095. Collection Unesco d’œuvres représentatives, Éd. Nagel, Paris 1953.
23 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
55 , et publiée dans le recueil des Conférences de l’ Unesco , Éditions de la revue Fontaine, Paris, 1947. 304. Extraits de The Wo
24 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Principes et méthodes du dialogue entre les cultures (avril 1962)
56 utions permanentes générales (par leur objet) Unesco  : « Projet majeur » Orient-Occident. Plan de dix ans, dès 1956, pour
57 and West (Prof. G. Tucci, Rome), Orient-Occident ( Unesco ), Civilisations (INCIDI, Bruxelles), consacrées à l’étude des relatio
58 Congrès, colloques Les sessions générales de l’ Unesco , plus administratives que culturelles, habituent des hommes de cultur
25 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Vers l’Europe des régions [Entretien]
59 ences atomiques de six pays avec le concours de l’ Unesco pour créer un laboratoire européen de recherches nucléaires. Le CERN
26 1968, Réforme, articles (1946–1980). Vers l’Europe des régions ? (30 novembre 1968)
60 nces atomiques des six pays avec le concours de l’ Unesco , pour créer un laboratoire européen de recherches nucléaires. Le Cent
27 1968, Articles divers (1963-1969). L’Exode des cerveaux [débat] (1968)
61 idée, que nous avons fait aboutir ensuite, via l’ Unesco , de manière à pouvoir retenir en Europe un certain nombre de savants
62 est le prototype. Quant aux Suisses qui vont à l’ Unesco ou dans d’autres organismes de l’ONU, on ne peut pas dire non plus qu
28 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
63 nté d’union mondiale anime les Nations unies et l’ Unesco , le Conseil œcuménique des Églises et Vatican II. Simultanément, mais
29 1969, Articles divers (1963-1969). Pour une définition nouvelle du fédéralisme (1969)
64 nté d’union mondiale anime les Nations unies et l’ Unesco , le Conseil œcuménique des Églises et Vatican II. Simultanément, mais
30 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Témoignage sur Bernard Barbey (7-8 février 1970)
65 e la Suisse à Paris, puis à l’échelon mondial à l’ Unesco . Tous ces services, rendus à son pays, aux dépens de son œuvre person
31 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le civisme commence au respect des forêts
66 ’un tiers. Mais aujourd’hui, l’Égypte demande à l’ Unesco d’étudier d’urgence les conséquences néfastes du barrage. Celui-ci re
32 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
67 nté d’union mondiale anime les Nations unies et l’ Unesco , le Conseil œcuménique des Églises et Vatican II. Simultanément, mais
33 1970, L’Un et le Divers ou la Cité européenne. I. Pour une nouvelle définition du fédéralisme
68 nté d’union mondiale anime les Nations unies et l’ Unesco , le Conseil œcuménique des Églises et Vatican II. Simultanément, mais
34 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
69 s de la 5e session de la Conférence générale de l’ Unesco , réunie à Florence en 1950, que fut adoptée, sur une proposition de l
70 breuses discussions qui avaient lieu au sein de l’ Unesco et du Conseil économique et social de l’ONU. Le rapport du CERN ajout
71 es et prometteurs. » L’année suivante, en 1951, l’ Unesco soumit aux gouvernements le projet du « Laboratoire international (eu
72 ires », qui doit être construit à Genève. Comme l’ Unesco ne pouvait pas, tant pour des raisons financières qu’administratives,
73 nismes nationaux correspondants et avec ceux de l’ Unesco  ». Comme application caractéristique des principes énoncés dans la ré
74 a création immédiate, à Paris, en relation avec l’ Unesco , d’un bureau d’études chargé de mettre au point le programme des trav
75 amme des travaux. Il était en outre convenu que l’ Unesco réunirait des délégués gouvernementaux pour étudier avec eux le finan
76 nventions internationales à établir. Le rôle de l’ Unesco a donc consisté, en résumé, à porter le projet du CEC (Lausanne 1949,
77 ements, a cessé d’être lié, soit au CEC, soit à l’ Unesco . Ainsi se trouve très clairement établie l’origine européenne d’un pr
78 nismes nationaux correspondants et avec ceux de l’ Unesco . Comme application caractéristique des principes énoncés dans la prés
79 nies et des différents pays ? Des contacts avec l’ Unesco (qui est toute désignée pour appuyer de son autorité et de ses moyens
80 ramme et du budget de la Conférence générale de l’ Unesco qui autorise son directeur général « à aider et à encourager la forma
81 t cette résolution, précisa qu’il appartenait à l’ Unesco d’étudier le coût et l’emplacement de ces centres, d’apporter son aid
82 ntres déjà existants. Parmi les centres prévus, l’ Unesco a particulièrement souligné l’intérêt de la création, en Europe occid
83 x. Enfin, M. Torrès-Bodet, directeur général de l’ Unesco vient d’appuyer de son autorité personnelle ce projet de « création d
84 résolution n° 2.21 de la Conférence générale de l’ Unesco , à Florence, en juin 1950, vu la résolution du Conseil économique et
85 ande : a) la création, conformément aux vœux de l’ Unesco et du Centre européen de la culture, et en relation avec leurs secrét
86 a création immédiate, à Paris, en relation avec l’ Unesco , d’un Bureau d’études chargé de préparer les plans de construction, l
87 partement des sciences exactes et naturelles de l’ Unesco  ; Paul Capron (Belgique), vice-président de la Commission scientifiqu
88 Nobel de physique, à la Conférence générale de l’ Unesco , à Florence, et votée le 16 juin 1950, entraînant l’adhésion de princ
89 hésion de principe des gouvernements membres de l’ Unesco . Cette résolution précise que : « le directeur général (de l’Unesco)
90 lution précise que : « le directeur général (de l’ Unesco ) est autorisé à : faciliter et encourager la création et l’organisati
91 intéressée ne sauraient permettre d’y parvenir. L’ Unesco devra déterminer dans quelle mesure la création de tels centres de re
92 des particules de haute énergie. Néanmoins, si l’ Unesco avait voulu exécuter seule cette résolution, elle aurait eu des diffi
93 e représentant officiel du directeur général de l’ Unesco M. Torrès-Bodet, qui l’a prié : 1. d’obtenir des conseils de la Commi
94 utir à un programme précis de coopération entre l’ Unesco et le Centre européen de la culture sur cette question. 3. (paragraph
95 arera pour la signature du directeur général de l’ Unesco une lettre demandant aux gouvernements dont la participation est prév
96 légué à une réunion envisagée pour avril 1951 à l’ Unesco . Cette réunion, après examen des plans préparés par le Bureau d’étude
97 M. Auger préciser que la Yougoslavie, membre de l’ Unesco , serait certainement heureuse de pouvoir faire participer ses cherche
98 ès l’été 1951, le projet est pris en charge par l’ Unesco , qui le négocie avec 14 gouvernements européens. Une série de colloqu
99 venue une phase essentielle et qui a pour cadre l’ Unesco , lors de sa cinquième assemblée générale, en juin 1950 à Florence. La
100 a comparaison de ces chiffres avec le budget de l’ Unesco devait produire sur les dirigeants de cette dernière organisation un
101 déjà nettement. Par rapport à la résolution de l’ Unesco , plusieurs pas importants étaient faits : le programme, la constructi
102 a conférence constitutive. L’argent fut versé à l’ Unesco dans un compte spécial, à ma disposition directe. Je pus alors consti
103 ut commencer ; je dois dire que j’avais reçu de l’ Unesco une contribution essentielle : la collaboration de Jean Mussard, alor
104 tion du CERN se sont produites dans le cadre de l’ Unesco — en particulier la séance de Paris puis de Genève où le CERN I, orga
105 omme suite à la conférence dite « Minespol » de l’ Unesco où les ministres responsables de la politique scientifique des pays d
106 . Un bureau européen va peut-être fonctionner à l’ Unesco et on pourrait en attendre des services importants. Nucléaire et eu
35 1975, Articles divers (1974-1977). Suisse 1975 (1975)
107 t des agences spécialisées de l’ONU (telles que l’ Unesco , le Haut Commissariat pour les réfugiés, le Bureau international du t
36 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
108 rage d’Assouan. Aujourd’hui, l’Égypte demande à l’ Unesco d’étudier d’urgence ses conséquences néfastes. Il retient, en effet,
37 1977, Articles divers (1974-1977). Les débuts de la construction européenne (1977)
109 de sa réalisation par les États européens, via l’ Unesco . Le CERN fut inauguré le 1er août 1954 à Meyrin, près Genève, au lieu
38 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
110 s plus tard, à la Sorbonne sous les auspices de l’ Unesco ). Mais à part les cinq « engagés », qui se retrouveront dans les futu
39 1980, Réforme, articles (1946–1980). Les Nations unies des animaux (13 décembre 1980)
111 x mais je recule avec horreur devant l’idée d’une Unesco des animaux ! Car les mots que nous pouvons leur apprendre n’exprimen
40 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
112 s plus tard, à la Sorbonne sous les auspices de l’ Unesco ). Mais à part les cinq « engagés », qui se retrouveront dans les futu
41 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
113 née aux Pages choisies de Comenius publiées par l’ Unesco , Jean Piaget propose une vue synthétique de l’œuvre proprement pédago
114 édition de ses œuvres. Dans la bibliographie de l’ Unesco , je vois que la Didactica Magna, écrite en tchèque et traduite par l’
42 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
115 e tout petit Centre d’idées, grâce à l’appui de l’ Unesco puis de treize gouvernements. La seconde idée a été celle d’une fonda
43 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
116 ucie. Si le CDCC limite ses ambitions à refaire l’ Unesco à l’échelle de l’Europe, inutile d’en parler ici. S’il entend n’affir
44 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
117 notre première création. Puis, sous l’égide de l’ Unesco , le CERN a passé aux gouvernements, sortant ainsi de nos mains : mais