2
’hiver dernier en Sorbonne sous les auspices de l’
Unesco
. À la page 100 de ce recueil, M. Aragon déclare que je n’ai « jamais
3
age » aux efforts des Cinq, ou des Seize, ou de l’
Unesco
, ou même de l’ONU. C’est qu’ils sont satisfaits de leur gouvernement.
4
, les organisations de culture mondiales, comme l’
Unesco
, couvrent un champ trop vaste, tandis que les instituts nationaux se
5
era partie d’une série de 16 volumes édités par l’
Unesco
, série qui traitera de différents pays. Je prépare également une conf
6
e CEC définit-il son action propre ? On connaît l’
Unesco
: mondiale, gouvernementale, riche, quand nous sommes pauvres, autono
7
us, on notera que le CEC n’est à aucun titre « un
Unesco
européen » : ni par sa structure, ni par ses méthodes, ni par ses obj
8
ses objectifs. Le danger de double emploi avec l’
Unesco
semblerait plus réel dans le cas du Comité des experts culturels du C
9
que la plupart de ces délégués siègent aussi à l’
Unesco
, et sont donc en mesure de juger ce qui doit rester propre à l’Europe
10
plan fut élaboré au CEC, va se construire. Mais l’
Unesco
, chargée de le faire adopter par les États, en a retenu le bénéfice m
11
À propos de la crise de l’
Unesco
(décembre-janvier 1953)h La démission de M. Trygve Lie a fait parl
12
ission de M. Torrès-Bodet, directeur général de l’
Unesco
, ne révèle certes pas une crise de la culture, mais bien du principe
13
se indifférence dont témoignent, à l’endroit de l’
Unesco
, les milieux proprement culturels. Nous ne voyons, pour notre part, a
14
qu’il existe un malaise général à l’endroit de l’
Unesco
, et cela non seulement dans l’opinion, probablement superficielle dan
15
e facile à trouver. Car en somme, qu’est-ce que l’
Unesco
? Un organisme qualifié de « culturel », mis sur pied par les gouvern
16
cessaire, reste loin d’épuiser la question. Car l’
Unesco
n’a jamais prétendu faire la culture, ou faire de la culture. L’Unesc
17
tendu faire la culture, ou faire de la culture. L’
Unesco
veut aider la culture, et plus encore aider les peuples à se cultiver
18
annuel de 9 millions de dollars, comme celui de l’
Unesco
, est gigantesque. Au regard des tâches mondiales que l’Unesco s’assig
19
gigantesque. Au regard des tâches mondiales que l’
Unesco
s’assigne, il est simplement ridicule ; pire encore si l’on ose le co
20
qu’ont imaginé il y a sept ans les créateurs de l’
Unesco
. Le système souffre de trois vices majeurs : il est trop vaste, il es
21
re par des organismes régionaux (comme on dit à l’
Unesco
) et non point mondiaux. 2. Centralisé. La réalité de la culture ne
22
EC », comme on parle aujourd’hui d’une crise de l’
Unesco
, gageons que cette crise ne proviendrait que d’un manque d’appuis ext
23
ureaucratiques. h. « À propos de la crise de l’
Unesco
», Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, n° 8, décembre-
24
À propos de la crise de l’
Unesco
(mars 1953)h La démission de M. Trygve Lie a fait parler d’une cri
25
ission de M. Torres Bodet, directeur général de l’
Unesco
, ne révèle certes pas une crise de la culture, mais bien du principe
26
se indifférence dont témoignent, à l’endroit de l’
Unesco
, les milieux proprement culturels. Nous ne voyons, pour notre part, a
27
qu’il existe un malaise général à l’endroit de l’
Unesco
, et cela non seulement dans l’opinion, probablement superficielle dan
28
facile à trouver. Car, en somme, qu’est-ce que l’
Unesco
? Un organisme qualifié de « culturel », mis sur pied par les gouvern
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cessaire, reste loin d’épuiser la question. Car l’
Unesco
n’a jamais prétendu faire la culture, ou faire de la culture. L’Unesc
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tendu faire la culture, ou faire de la culture. L’
Unesco
veut aider la culture, et plus encore aider les peuples à se cultiver
31
uel de neuf millions de dollars, comme celui de l’
Unesco
, est gigantesque. Au regard des tâches mondiales que l’Unesco s’assig
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gigantesque. Au regard des tâches mondiales que l’
Unesco
s’assigne, il est simplement ridicule ; pire encore si l’on ose le co
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qu’ont imaginé il y a sept ans les créateurs de l’
Unesco
. Le système souffre de trois vices majeurs : il est trop vaste, il es
34
re par des organismes régionaux (comme on dit à l’
Unesco
) et non point mondiaux. 2. Centralisé. La réalité de la culture ne se
35
ureaucratiques. h. « À propos de la crise de l’
Unesco
», Preuves, Paris, n° 25, mars 1953, p. 74-76.
36
oits de l’homme, tout en adhérant cyniquement à l’
Unesco
; une Angleterre qui se croit encore une île ; une Autriche occupée,
37
internationales, dans le cadre du programme de l’
Unesco
. L’un des buts de cette série étant de « permettre la comparaison ent
38
même économique dépendant de l’ONU (telles que l’
Unesco
, l’OMS, l’OIR, le BIT) et dans la Cour de La Haye. Mais il demeure pl
39
ministres, du Comité des experts culturels, de l’
Unesco
et de l’Organisation du traité de Bruxelles assistaient à la réunion.
40
autres ? Et ne ferait-il pas double emploi avec l’
Unesco
, par exemple ? — C’est impossible, car l’Unesco n’a nullement pour bu
41
l’Unesco, par exemple ? — C’est impossible, car l’
Unesco
n’a nullement pour but de favoriser l’union de l’Europe, ni l’éveil d
42
relles et les échanges intraeuropéens. Pourtant l’
Unesco
couvre ces domaines et vous parlez de nécessité… En voulant rester eu
43
en, notre Centre ne fera pas double emploi avec l’
Unesco
, qui est une organisation mondiale et n’a pas spécialement de mission
44
et n’a pas spécialement de mission européenne. L’
Unesco
n’a pour but ni de favoriser l’union de l’Europe, ni de susciter l’év
45
ojets « culturels » élaborés par les États, par l’
Unesco
, et même par Strasbourg : il s’agit, nous dit-on, « d’organiser des é
46
nergie atomique) ; de participer aux travaux de l’
Unesco
, du BIT, etc. ; d’échanger des délégations et des expériences techniq
47
la jeunesse, fondé en 1952 sous les auspices de l’
Unesco
à Gauting-Munich, a été chargé de diriger le département de l’éducati
48
èmes des réfugiés et émigrés en Europe) puis de l’
Unesco
(problèmes de la jeunesse). Il assume également la tâche d’organiser
49
s, de l’Union de l’Europe occidentale, voire de l’
Unesco
, qui leur ont apporté des solutions encore partielles mais concrètes.
50
ion en Occident et en Orient, recueil édité par l’
Unesco
en 1953, p. 228. 96. Chap. iv, vii, ix en particulier.
51
ers à le prétendre. Lors d’un récent congrès de l’
Unesco
sur l’enseignement des sciences sociales au niveau primaire et second
52
délégués polonais à la conférence organisée par l’
Unesco
, en octobre 1960, sur l’enseignement des disciplines sociales au nive
53
choisies, avec une introduction de Jean Piaget —
Unesco
, 1957. 96. Hermès Trimégiste : c’est sous ce nom que les Grecs de la
54
a, Livre V, chap. III, §§ 1089 à 1095. Collection
Unesco
d’œuvres représentatives, Éd. Nagel, Paris 1953.
55
, et publiée dans le recueil des Conférences de l’
Unesco
, Éditions de la revue Fontaine, Paris, 1947. 304. Extraits de The Wo
56
utions permanentes générales (par leur objet)
Unesco
: « Projet majeur » Orient-Occident. Plan de dix ans, dès 1956, pour
57
and West (Prof. G. Tucci, Rome), Orient-Occident (
Unesco
), Civilisations (INCIDI, Bruxelles), consacrées à l’étude des relatio
58
Congrès, colloques Les sessions générales de l’
Unesco
, plus administratives que culturelles, habituent des hommes de cultur
59
ences atomiques de six pays avec le concours de l’
Unesco
pour créer un laboratoire européen de recherches nucléaires. Le CERN
60
nces atomiques des six pays avec le concours de l’
Unesco
, pour créer un laboratoire européen de recherches nucléaires. Le Cent
61
idée, que nous avons fait aboutir ensuite, via l’
Unesco
, de manière à pouvoir retenir en Europe un certain nombre de savants
62
est le prototype. Quant aux Suisses qui vont à l’
Unesco
ou dans d’autres organismes de l’ONU, on ne peut pas dire non plus qu
63
nté d’union mondiale anime les Nations unies et l’
Unesco
, le Conseil œcuménique des Églises et Vatican II. Simultanément, mais
64
nté d’union mondiale anime les Nations unies et l’
Unesco
, le Conseil œcuménique des Églises et Vatican II. Simultanément, mais
65
e la Suisse à Paris, puis à l’échelon mondial à l’
Unesco
. Tous ces services, rendus à son pays, aux dépens de son œuvre person
66
’un tiers. Mais aujourd’hui, l’Égypte demande à l’
Unesco
d’étudier d’urgence les conséquences néfastes du barrage. Celui-ci re
67
nté d’union mondiale anime les Nations unies et l’
Unesco
, le Conseil œcuménique des Églises et Vatican II. Simultanément, mais
68
nté d’union mondiale anime les Nations unies et l’
Unesco
, le Conseil œcuménique des Églises et Vatican II. Simultanément, mais
69
s de la 5e session de la Conférence générale de l’
Unesco
, réunie à Florence en 1950, que fut adoptée, sur une proposition de l
70
breuses discussions qui avaient lieu au sein de l’
Unesco
et du Conseil économique et social de l’ONU. Le rapport du CERN ajout
71
es et prometteurs. » L’année suivante, en 1951, l’
Unesco
soumit aux gouvernements le projet du « Laboratoire international (eu
72
ires », qui doit être construit à Genève. Comme l’
Unesco
ne pouvait pas, tant pour des raisons financières qu’administratives,
73
nismes nationaux correspondants et avec ceux de l’
Unesco
». Comme application caractéristique des principes énoncés dans la ré
74
a création immédiate, à Paris, en relation avec l’
Unesco
, d’un bureau d’études chargé de mettre au point le programme des trav
75
amme des travaux. Il était en outre convenu que l’
Unesco
réunirait des délégués gouvernementaux pour étudier avec eux le finan
76
nventions internationales à établir. Le rôle de l’
Unesco
a donc consisté, en résumé, à porter le projet du CEC (Lausanne 1949,
77
ements, a cessé d’être lié, soit au CEC, soit à l’
Unesco
. Ainsi se trouve très clairement établie l’origine européenne d’un pr
78
nismes nationaux correspondants et avec ceux de l’
Unesco
. Comme application caractéristique des principes énoncés dans la prés
79
nies et des différents pays ? Des contacts avec l’
Unesco
(qui est toute désignée pour appuyer de son autorité et de ses moyens
80
ramme et du budget de la Conférence générale de l’
Unesco
qui autorise son directeur général « à aider et à encourager la forma
81
t cette résolution, précisa qu’il appartenait à l’
Unesco
d’étudier le coût et l’emplacement de ces centres, d’apporter son aid
82
ntres déjà existants. Parmi les centres prévus, l’
Unesco
a particulièrement souligné l’intérêt de la création, en Europe occid
83
x. Enfin, M. Torrès-Bodet, directeur général de l’
Unesco
vient d’appuyer de son autorité personnelle ce projet de « création d
84
résolution n° 2.21 de la Conférence générale de l’
Unesco
, à Florence, en juin 1950, vu la résolution du Conseil économique et
85
ande : a) la création, conformément aux vœux de l’
Unesco
et du Centre européen de la culture, et en relation avec leurs secrét
86
a création immédiate, à Paris, en relation avec l’
Unesco
, d’un Bureau d’études chargé de préparer les plans de construction, l
87
partement des sciences exactes et naturelles de l’
Unesco
; Paul Capron (Belgique), vice-président de la Commission scientifiqu
88
Nobel de physique, à la Conférence générale de l’
Unesco
, à Florence, et votée le 16 juin 1950, entraînant l’adhésion de princ
89
hésion de principe des gouvernements membres de l’
Unesco
. Cette résolution précise que : « le directeur général (de l’Unesco)
90
lution précise que : « le directeur général (de l’
Unesco
) est autorisé à : faciliter et encourager la création et l’organisati
91
intéressée ne sauraient permettre d’y parvenir. L’
Unesco
devra déterminer dans quelle mesure la création de tels centres de re
92
des particules de haute énergie. Néanmoins, si l’
Unesco
avait voulu exécuter seule cette résolution, elle aurait eu des diffi
93
e représentant officiel du directeur général de l’
Unesco
M. Torrès-Bodet, qui l’a prié : 1. d’obtenir des conseils de la Commi
94
utir à un programme précis de coopération entre l’
Unesco
et le Centre européen de la culture sur cette question. 3. (paragraph
95
arera pour la signature du directeur général de l’
Unesco
une lettre demandant aux gouvernements dont la participation est prév
96
légué à une réunion envisagée pour avril 1951 à l’
Unesco
. Cette réunion, après examen des plans préparés par le Bureau d’étude
97
M. Auger préciser que la Yougoslavie, membre de l’
Unesco
, serait certainement heureuse de pouvoir faire participer ses cherche
98
ès l’été 1951, le projet est pris en charge par l’
Unesco
, qui le négocie avec 14 gouvernements européens. Une série de colloqu
99
venue une phase essentielle et qui a pour cadre l’
Unesco
, lors de sa cinquième assemblée générale, en juin 1950 à Florence. La
100
a comparaison de ces chiffres avec le budget de l’
Unesco
devait produire sur les dirigeants de cette dernière organisation un
101
déjà nettement. Par rapport à la résolution de l’
Unesco
, plusieurs pas importants étaient faits : le programme, la constructi
102
a conférence constitutive. L’argent fut versé à l’
Unesco
dans un compte spécial, à ma disposition directe. Je pus alors consti
103
ut commencer ; je dois dire que j’avais reçu de l’
Unesco
une contribution essentielle : la collaboration de Jean Mussard, alor
104
tion du CERN se sont produites dans le cadre de l’
Unesco
— en particulier la séance de Paris puis de Genève où le CERN I, orga
105
omme suite à la conférence dite « Minespol » de l’
Unesco
où les ministres responsables de la politique scientifique des pays d
106
. Un bureau européen va peut-être fonctionner à l’
Unesco
et on pourrait en attendre des services importants. Nucléaire et eu
107
t des agences spécialisées de l’ONU (telles que l’
Unesco
, le Haut Commissariat pour les réfugiés, le Bureau international du t
108
rage d’Assouan. Aujourd’hui, l’Égypte demande à l’
Unesco
d’étudier d’urgence ses conséquences néfastes. Il retient, en effet,
109
de sa réalisation par les États européens, via l’
Unesco
. Le CERN fut inauguré le 1er août 1954 à Meyrin, près Genève, au lieu
110
s plus tard, à la Sorbonne sous les auspices de l’
Unesco
). Mais à part les cinq « engagés », qui se retrouveront dans les futu
111
x mais je recule avec horreur devant l’idée d’une
Unesco
des animaux ! Car les mots que nous pouvons leur apprendre n’exprimen
112
s plus tard, à la Sorbonne sous les auspices de l’
Unesco
). Mais à part les cinq « engagés », qui se retrouveront dans les futu
113
née aux Pages choisies de Comenius publiées par l’
Unesco
, Jean Piaget propose une vue synthétique de l’œuvre proprement pédago
114
édition de ses œuvres. Dans la bibliographie de l’
Unesco
, je vois que la Didactica Magna, écrite en tchèque et traduite par l’
115
e tout petit Centre d’idées, grâce à l’appui de l’
Unesco
puis de treize gouvernements. La seconde idée a été celle d’une fonda
116
ucie. Si le CDCC limite ses ambitions à refaire l’
Unesco
à l’échelle de l’Europe, inutile d’en parler ici. S’il entend n’affir
117
notre première création. Puis, sous l’égide de l’
Unesco
, le CERN a passé aux gouvernements, sortant ainsi de nos mains : mais