1 oi dans notre village ? 15 mars 1934 Je rentre de Vendée . On m’avait demandé d’y aller faire quelques causeries. J’en rapporte

2 our sa part, il était sceptique. Il pensait qu’en Vendée les choses ne seraient pas si simples, que la situation matérielle ét

3 au cours d’un long séjour dans l’île de Ré et en Vendée , ses impressions sur la vie des paysans en général et sur leurs aspir

4 connaîtrais pas. 15 mars 1934 Je rentre de Vendée . On m’avait demandé d’y aller faire quelques causeries. J’en rapporte

5 our sa part, il était sceptique. Il pensait qu’en Vendée les choses ne seraient pas si simples, que la situation matérielle ét

6 , de l’épicière, de M. Palut, de l’instituteur de Vendée , etc., etc. Au moins autant que de celle de Kant, de Guillaume Apolli

7 aviez jamais regardées qu’il vous faille aller en Vendée pour voir éclore des poussins ? Voilà ! « Par trop naïf », c’est le

8 s notre province : il a séjourné de longs mois en Vendée et dans le Midi. Son Journal d’un intellectuel en chômage témoigne

9 aîna ses méditations et sa machine à écrire de la Vendée en Languedoc, et de la province à Paris, installé dans ses meubles, a

10 connaîtrais pas. 15 mars 1934 Je rentre de Vendée . On m’avait demandé d’y aller faire quelques causeries. J’en rapporte

11 our sa part, il était sceptique. Il pensait qu’en Vendée les choses ne seraient pas si simples, que la situation matérielle ét

12 , de l’épicière, de M. Palut, de l’instituteur de Vendée , etc. Au moins autant que de celle de Kant, de Guillaume Apollinaire,