1 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
1 on ne voit pas la mer.   Dans la bibliothèque de Waldburg , qui sent encore le cuir, la chasse, j’ai trouvé tous les classiques
2 e sécheresse partielle. J’ai vu sur les terres de Waldburg un village que le burgrave a de son propre chef « libéré ». C’est de
3 assé d’héroïsme dans ces châteaux perdus, dans ce Waldburg gardien de quels secrets longuement, lentement fortifiés…   La nuit,
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
4 is on ne voit pas la mer. Dans la bibliothèque de Waldburg , qui sent encore le cuir, la chasse, j’ai trouvé tous les classiques
5 ohenzollern-Hechingen, couplées avec celles de sa grand-mère Waldburg au plafond à caissons du grand salon : « Une mésalliance ! » Il est v
6 ces, burgraves et comtes zu Dohna-Schlobitten auf Waldburg touchaient encore en 1914 un droit de péage sur le grand pont de Dres
7 e sécheresse partielle. J’ai vu sur les terres de Waldburg un village que le burgrave a de son propre chef « libéré ». C’est de
8 assé d’héroïsme dans ces châteaux perdus, dans ce Waldburg gardien de quels secrets longuement, lentement fortifiés… La nuit, le
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
9 Les maîtres du lieu sourient un peu de « ceux de Waldburg qui ne boivent que du lait ». Et nous servent du thé bouillant où nag
10 on ne voit pas la mer.   Dans la bibliothèque de Waldburg , qui sent encore le cuir, la chasse, j’ai trouvé tous les classiques
11 ohenzollern-Hechingen, couplées avec celles de sa grand-mère Waldburg au plafond à caissons du grand salon : « Une mésalliance ! » Il est v
12 ces, burgraves et comtes zu Dohna-Schlobitten auf Waldburg touchaient encore en 1914 un droit de péage sur le grand pont de Dres
13 e sécheresse partielle. J’ai vu sur les terres de Waldburg un village que le burgrave a de son propre chef « libéré ». C’est de
14 assé d’héroïsme dans ces châteaux perdus, dans ce Waldburg gardien de quels secrets longuement, lentement fortifiés…   La nuit,