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peu homogène de réformes sociales et économiques.
Willkie
représente Wall Street, c’est-à-dire le capitalisme traditionnel. Mai
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t, c’est-à-dire le capitalisme traditionnel. Mais
Willkie
promet aux foules de conserver et même de développer presque toutes l
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re l’idéal totalitaire, et ses partisans accusent
Willkie
de jouer — sans le vouloir — le jeu des totalitaires. Mais Willkie ré
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— sans le vouloir — le jeu des totalitaires. Mais
Willkie
réplique que c’est Roosevelt qui, en prétendant demeurer au pouvoir p
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es États-Unis serait un peu plus probable qu’avec
Willkie
? Ce n’est pas certain. Mais peut-être cette nuance hypothétique joue
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lt gagnant par 2 à 1. Aujourd’hui, les chances de
Willkie
paraissent augmenter rapidement : les journaux parlent de 48 % des vo
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idement : les journaux parlent de 48 % des voix à
Willkie
contre 50 % à Roosevelt, le résidu allant aux candidats socialiste et
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beaucoup plus la violence d’un match de football.
M. Willkie
et même Mrs Willkie ont reçu quelques œufs sur la tête, mais ces mani
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ce d’un match de football. M. Willkie et même Mrs
Willkie
ont reçu quelques œufs sur la tête, mais ces manifestations somme tou
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que la presse, à peu d’exceptions près, soutienne
Willkie
— comme elle soutint Landon il y a quatre ans — l’information reste i
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sevelt, par son ancien secrétaire, l’autre contre
Willkie
, par un de ses amis de jeunesse. Les deux auteurs insistaient longuem
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« dictatoriales » du président. Les partisans de
Willkie
mirent en vente un bouton-insigne portant la devise : « Je voudrais,
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poitrine, avec une sobre éloquence : « Je désire
Willkie
(ou Roosevelt) comme président. » Tout cela paraît, dans l’ensemble,