2
titut neuchâtelois pour l’Exposition nationale de
Zurich
, et dont Arthur Honegger écrivit la musique au fur et à mesure des te
3
et ce premier cosmopolite : Béat de Muralt. Puis
Zurich
et l’hégémonie passagère de l’École suisse sur la littérature alleman
5
sciples ou d’amis des réformateurs : Myconius, de
Zurich
; Ritter, de Saint-Gall ; Valerius Anshelm, de Berne (dès 1529) ; Stu
6
réplique en 1526 : Pieux confédérés, Faber adjure
Zurich
de conserver l’ancienne foi des cantons : mais vous savez très bien q
7
e foi des cantons : mais vous savez très bien que
Zurich
seule garde le souci de la vieille foi, celle des saints apôtres et d
8
ui sera joué — Dieu voulant ! — à l’Exposition de
Zurich
. J’ai tenté de réintégrer Nicolas dans l’actualité la plus brûlante d
9
rofit d’un drame que j’écris pour l’Exposition de
Zurich
. Je veux mettre en scène un héros suisse, le bienheureux Nicolas de F
10
ougemont. Elle sera représentée à l’Exposition de
Zurich
et offerte au public suisse par le canton de Neuchâtel. Il y a quelqu
11
xte si besoin est… Et pourquoi donc ? La scène de
Zurich
est immense et se trouve dans une salle ouverte. En outre, la scène c
12
gne des vastes dimensions de la Halle des Fêtes à
Zurich
. C’était en septembre 1938. L’Europe entière allait mobiliser. Vous v
13
s deux journées neuchâteloises de l’Exposition de
Zurich
. Mais le mois de septembre 1939 nous apporta la catastrophe que septe
14
horistes et musiciens qui s’étaient préparés pour
Zurich
. (Compagnie de la Saint-Grégoire, Chorales du Locle et de La Chaux-de
15
m’offrit d’écrire une pièce pour l’Exposition de
Zurich
. Je ris un peu de tant de flegme… L’Exposition, d’abord, n’aurait pas
16
rait une scène à étages… C’est justement celle de
Zurich
! Nuit blanche. Trois actes se composent, irrésistiblement, impitoyab
17
es de fait ont joué dans cette création (scène de
Zurich
, chœurs et fanfares disponibles en pays neuchâtelois). On devine auss
18
faire le sujet d’un drame, qui sera représenté à
Zurich
en septembre, et pour lequel Arthur Honegger a composé une importante
19
et traités de Bullinger (successeur de Zwingli à
Zurich
) ; de Vadian (Joachim von Watt, réformateur de Saint-Gall et grand hu
20
ue. Voici les sièges des villes : Lucerne, Berne,
Zurich
… (Chaque nom est ponctué d’un coup sur le siège.) …Et voici pour les
21
confédérés. Les villes disposent de trois voix :
Zurich
, Berne, Lucerne. Mais avec leur richesse et leur astuce, cela vaut bi
22
rouvé suspendu à la veille des représentations de
Zurich
. Il est donc encore impossible d’estimer la valeur intrinsèque de ce
23
, La Suisse vue à travers l’Exposition nationale,
Zurich
, Atlantis Verlag, vol. II, 1939, p. 542-545 (dont 2 p. illustrées).
24
identelles, de centres européens dans un canton :
Zurich
au xviiie siècle, Coppet, Bâle au temps de Burckhardt et de Nietzsch
26
qui est mon idée et celle de mon ami Spoerri, de
Zurich
, et à laquelle je tiens. Elle suit d’ailleurs son chemin malgré les t
27
rnées neuchâteloises de l’Exposition nationale de
Zurich
et qui ne put être représentée, la guerre ayant éclaté quelques jours
28
rès ce premier cosmopolite : Béat de Muralt. Puis
Zurich
et l’hégémonie passagère de l’École suisse sur la littérature alleman
29
ntons forestiers s’allie aux villes de Lucerne et
Zurich
; puis conquiert avec l’aide de Zurich les pays de Glaris et de Zoug
30
Lucerne et Zurich ; puis conquiert avec l’aide de
Zurich
les pays de Glaris et de Zoug ; puis les libère et s’allie avec eux ;
31
; Berne ensuite noue des liens particuliers avec
Zurich
, et d’autre part se soumet Vaud et l’Argovie ; etc., etc. Il faudrait
32
dès le temps où les Waldstätten s’unirent contre
Zurich
qui voulait tout mener. L’intervention fameuse de Nicolas de Flue n’e
33
ensuelle de l’Office national suisse du tourisme,
Zurich
, n° 7-8, [juillet-août] 1940, p. 14-15.
34
ote suivante. Un jour une dame vient le trouver à
Zurich
, et lui expose son tourment : elle ne pouvait plus se promener dans l
35
e. Jung possède une villa sur les rives du lac de
Zurich
. Il proposa que la séance eût lieu dans un petit pavillon au bord de
36
ote suivante. Un jour une dame vient le trouver à
Zurich
, et lui expose son tourment : elle ne pouvait se promener dans la rue
37
e. Jung possède une villa sur les rives du lac de
Zurich
. Il proposa que la séance eût lieu dans un petit pavillon au bord de
38
ote suivante. Un jour une dame vient le trouver à
Zurich
, et lui expose son tourment : elle ne pouvait se promener dans la rue
39
e. Jung possède une villa sur les rives du lac de
Zurich
. Il proposa que la séance eût lieu dans un petit pavillon au bord de
40
t cela. En fait, c’est à l’École polytechnique de
Zurich
que sont nés les travaux d’Einstein. Supposez maintenant que ce petit
41
ons, jusqu’en 1939, au sujet du régime hitlérien.
Zurich
et Bâle étaient sans doute les villes d’Europe qui se sentaient les p
42
ompromis imaginable. Je me rappelle ces écoles de
Zurich
rétablissant l’usage du dialecte cantonal, en haine de l’allemand off
43
ne d’elles, vers midi, sur une route au-dessus de
Zurich
, cette auto militaire qui stoppe à côté de moi, ce jeune lieutenant i
44
t cela. En fait, c’est à l’École polytechnique de
Zurich
que sont nés les travaux d’Einstein. Supposez maintenant que ce petit
45
t cela. En fait, c’est à l’École polytechnique de
Zurich
que sont nés les travaux d’Einstein. Supposez maintenant que ce petit
46
de tous les Suisses. La scène de l’Exposition de
Zurich
, sans décors ni rideau, 36 mètres de large et 18 mètres de profondeur
47
-août 1940 Réunion du directoire de la Ligue à
Zurich
, dans une villa du Zürichberg. Tandis que nous nous dirigeons vers un
48
ce principe. Chaque fois qu’un des cantons, comme
Zurich
, ou un groupe de cantons citadins, plus riche ou plus peuplé que les
49
ns composantes. Les luttes des Waldstätten contre
Zurich
, puis des cantons campagnards contre les villes, et finalement l’atti
50
ce principe. Chaque fois qu’un des cantons, comme
Zurich
, ou un groupe de cantons citadins, plus riche ou plus peuplé que les
51
urchill avait réclamée dans son grand discours de
Zurich
. C’est de ces deux initiatives indépendantes, et de leur rencontre à
52
urchill avait réclamée dans son grand discours de
Zurich
. C’est de ces deux initiatives indépendantes, et de leur rencontre à
53
conomies ne sont pas plus disparates que celle de
Zurich
par exemple, et de ses petits voisins paysans. Les sombres prévisions
54
onomies ne sont pas plus disparates que celles de
Zurich
, par exemple, et de ses petits voisins paysans. Les sombres prévision
55
onomies ne sont pas plus disparates que celles de
Zurich
, par exemple, et de ses petits voisins paysans. Les sombres prévision
56
, il faut le redire de toutes les autres, Bâle et
Zurich
, Berne, Lausanne, Genève… Et le peuple suisse tient à ce pluralisme u
57
tarda guère à s’allier avec la ville impériale de
Zurich
, et à conquérir les vallées de Glaris et de Zoug, puis à conclure un
58
e, qui de son côté venait de nouer des liens avec
Zurich
, et allait bientôt soumettre le pays de Vaud et les plateaux de l’Arg
59
lité l’idéal politique de l’ermite. Nommé curé de
Zurich
, il commença à introduire des réformes ecclésiastiques analogues à ce
60
nquiet des progrès de la Réforme, voulut attaquer
Zurich
avec l’aide des cantons du centre, demeurés catholiques, Zwingli fut
61
is les princes luthériens se montrèrent froids. À
Zurich
même, une opposition croissante se manifestait contre le réformateur.
62
s. Finalement, une armée catholique s’approcha de
Zurich
. Les protestants désiraient traiter. Zwingli était pour la guerre. À
63
asme devint le centre des imprimeurs humanistes ;
Zurich
avec Zwingli, le centre de la Réforme suisse ; Genève, avec Calvin, l
64
laquelle ils s’étaient constitués : ainsi firent
Zurich
pour l’Allemagne du xviiie siècle, et le Coppet de Mme de Staël pour
65
chef-lieu » était une cité de quelque importance,
Zurich
, Lucerne, Soleure, Berne, Bâle, Fribourg, ainsi que les villes alliée
66
ême canton, et la coutume veut que les cantons de
Zurich
, Berne et Vaud, les plus peuplés, aient droit à un siège en tout temp
67
les protestants chassés du Tessin introduisent à
Zurich
l’industrie de la soie. Au xviie , les huguenots chassés de France dé
68
riques de machines s’installent dans le canton de
Zurich
, malgré la résistance de la population. Les cens et les dîmes sont ab
69
pays, et plus particulièrement dans le canton de
Zurich
. Ces usines ont construit les locomotives et les dynamos les plus pui
70
conservent leur primitivisme, si on les compare à
Zurich
ou à Bâle, bien qu’il n’y ait plus de frontières ni de restrictions d
71
s : 0 1 2 3 4 5 6 7 Et plus Ville de
Zurich
225 000 protestants 80 000 catholiques 20 000 divers 343 263 213 98
72
mmes mariées, nombre de divorces : Ville de
Zurich
8,2 Appenzell Rh.-Int. 0,9 Ville de Genève 9,4 Pour l’ensemble
73
ribourg, catholique et bilingue ; celles de Bâle,
Zurich
et Berne, allemandes. Si, dans ces conditions, la Confédération avait
74
pende de l’État fédéral, l’École polytechnique de
Zurich
, soit un institut de recherches et de préparation pratique, dans lequ
75
des principaux journaux de Genève, de Bâle ou de
Zurich
se sont acquis la réputation de « faire la leçon » au monde entier. À
76
lande, visitent vers 610 les environs des lacs de
Zurich
et de Constance, ils trouvent des idoles de Wotan dans les anciennes
77
débuts, à l’égard des innovations religieuses de
Zurich
. L’esprit clérical était prononcé, et ses abus non moins criants qu’e
78
rotestantisme suisse. Les débuts de sa réforme, à
Zurich
, datent de 1518, lorsqu’il déclare, du haut de la chaire, qu’il se pr
79
ce sont les deux villes soumises à son influence,
Zurich
et Berne, qui prendront la tête du parti réformé et soutiendront la l
80
nt qu’on lise encore les œuvres du réformateur de
Zurich
, ni que ses doctrines soient enseignées. Mais il a proposé aux Suisse
81
ale. Genève a son Jeûne genevois et son Escalade,
Zurich
son Sechseläuten, Bâle son Carnaval, Lucerne sa fête de Sempach, Glar
82
it encore l’admiration des classes dirigeantes de
Zurich
et de Bâle. Pendant la guerre de 14-18, la Suisse neutre fut divisée
83
1er septembre 1946 d’un discours de Churchill, à
Zurich
. En vérité, Churchill s’était borné à conseiller l’union de la France
84
rgondes : société des nations souterraine. Paris,
Zurich
, Milan sont à une heure d’avion ; Londres, Bruxelles, La Haye, Bonn,
85
sner », im Gedenkbuch zum achtzigsten Geburtstag,
Zurich
, 1953.) 84. Le Livre du souvenir, p. 161. 85. Recueilli dans Geist
86
Umgang der Jahre (Commerce des Ans), E. Rentsch,
Zurich
, 1949. Une bonne partie de ces proverbes étaient écrits avant la guer
87
ion économique d’un riche canton industriel comme
Zurich
fut immédiate ; celle d’un pauvre canton rural comme Glarus (son vois
88
le 1915 ; Karl Dändliker, Geschichte der Schweiz,
Zurich
1900-1909 ; Johannes Dierauer, Geschichte der Schweizerischen Eidgeno
89
e der Schweiz von den Anfängen bis zur Gegenwart,
Zurich
1920 ; Werner Oechsli, Quellenbuch zur Schweizergeschichte, Zurich 19
90
ner Oechsli, Quellenbuch zur Schweizergeschichte,
Zurich
1918 ; Hans Nabholz, Geschichte der Schweiz, Zurich 1937. Sur les ori
91
rich 1918 ; Hans Nabholz, Geschichte der Schweiz,
Zurich
1937. Sur les origines : Karl Meyer, Ueber die Einwirkung des Gotthar
92
chtsfreund », t. 74, 1924 ; id., Die Urschweizer,
Zurich
1927 ; id., Der älteste Schweizerbund, dans « Revue d’Histoire suisse
93
d Wandlung moderner Staatstheorie in der Schweiz,
Zurich
, 1916 ; William Martin, Histoire de la Suisse, Paris 1930 ; Gonzague
94
n ! 26. Ernest Gagliardi, Histoire de la Suisse,
Zurich
, 1925, I, p. 79. k. « Une expérience de fédéralisme : la Suisse », L
95
s, qu’il rencontre au château de Zizzers, près de
Zurich
— Retinger aboutit à la conclusion qu’en dépit de ce que souhaitent C
96
ar Churchill à la suite de son fameux discours de
Zurich
, et à sa contrepartie sur le continent : le Comité français pour l’Eu
97
t été l’auteur du code civil de son canton natal,
Zurich
, avant de devenir à Heidelberg l’un des plus célèbres professeurs de
98
on. 278. Dans une conférence à l’Université de
Zurich
, nov. 1922. Cf. Variété I, Gallimard, Paris, 1924. 279. Dans un bref
99
tres se font entendre. Ainsi Winston Churchill, à
Zurich
, le 16 septembre 1946, propose « une sorte d’États-Unis d’Europe325 :
100
n nationale, Theophil Spoerri, de l’Université de
Zurich
, parle de la Suisse romande, moi de la Suisse alémanique. En sortant
101
Mi-août 1940 Réunion du Directoire de la Ligue à
Zurich
, dans une villa de l’Utliberg. Tandis que nous nous dirigeons vers un
102
mais féconde, marquée tout au début, à Lyon et à
Zurich
, par les révoltes ouvrières contre les machines à tisser, puis contre
103
généraux de l’Europe. Churchill vient de faire à
Zurich
son célèbre discours appelant à l’union tous les peuples du continent
104
mais féconde, marquée tout au début, à Lyon ou à
Zurich
, par les révoltes ouvrières contre les machines à tisser, puis contre
105
t Théodore de Bèze, Bâle, avec Érasme et Holbein,
Zurich
avec Zwingli, sont les trois premiers foyers de rayonnement européen
106
plus que nul autre la sensibilité occidentale. De
Zurich
au début du xviiie siècle, rayonne l’école suisse du doyen Bodmer pu
107
ner et des spéculations mystiques de Lavater ; et
Zurich
devient le foyer d’une renaissance de la littérature dans les Allemag
108
c’est le tour de Genève, une fois de plus, et de
Zurich
tôt après, d’où rayonnent sur l’Europe entière et l’Amérique l’Instit
109
s plus riche ou plus peuplé que les autres, comme
Zurich
, ou un groupe de cantons coalisés au nom de leurs intérêts particulie
110
ation ont leur siège dans ses villes principales,
Zurich
, Bâle, Genève. Elles sont placées sous la protection de l’armée suiss
111
ges vont avoir lieu en 1963, à Tutzing (mai) et à
Zurich
(octobre). Entre-temps, les réponses à l’enquête étaient parvenues au
112
(1879). Auteur du Code civil de son canton natal,
Zurich
, Bluntschli connaît les mécanismes de notre vie civique : il n’hésite
113
éenne ont leur siège dans ses villes principales,
Zurich
, Genève et Bâle, à vingt minutes d’avion l’une de l’autre ; Berne res
114
urageants ; que ce soit à Bruxelles, à Tutzing, à
Zurich
, à La Haye, à Oosterbeek, à Calw, l’accueil le plus bienveillant a ét
115
(1879). Auteur du Code civil de son canton natal,
Zurich
, Bluntschli connaît les mécanismes de notre vie confédérale : il n’hé
116
er « une sorte de lien fédéral » a été prononcé à
Zurich
un an plus tôt. Cette idée aussitôt adoptée par les leaders de l’UEF
117
nt mutuellement. L’un voudra se faire connaître à
Zurich
, puis à Munich, Vienne et Berlin, et l’autre d’abord à Paris. Tous de
118
ts dans la vie en Suisse », Les Arts dans la vie,
Zurich
, Exposition nationale suisse, Nouvelle Société helvétique, 1964, 2 p.
119
rre franco-allemande : le discours de Churchill à
Zurich
, en 1946, le dit expressément. Et tout cela conduisit à la création d
120
uscules typographiques (voir l’école graphique de
Zurich
) se sent complètement dépaysée dans ces sanctuaires où l’or est gaspi
121
re de duc de Zähringen et l’avouerie impériale de
Zurich
, dont le couvent de Fraumünster possède la suzeraineté de la vallée d
122
ar les hauts rochers des Mythen, le débouché vers
Zurich
et la Souabe. À l’ouest, les collines et vallées de l’Obwald et du Ni
124
rvitude, et qui au surplus vient d’Argovie, ou de
Zurich
, par la seule grâce du comte Rodolphe. Seul, ce second motif de résis
125
ême année, le 16 octobre — un premier traité avec
Zurich
— les noms des chefs qui dirigeaient alors la politique des trois val
126
famille avait acquis de l’abbaye de Fraumünster à
Zurich
, la charge d’intendant pour la vallée d’Uri : ces Erstfeld, à leurs d
127
e moitié du xive siècle que les villes de Berne,
Zurich
, Soleure et Zoug concluent une alliance contre Léopold III et que la
128
ue canton n’est pas allié avec tous les autres. (
Zurich
, par exemple, était allié aux six cantons du centre d’une part, à Ber
129
u’à la Suisse actuelle. En 1351, la cité libre de
Zurich
conclut un pacte avec Lucerne et les Waldstätten, mais réserve son dr
130
s cantons primitifs et les villes protestantes de
Zurich
et de Berne paralyse l’extension normale des Ligues et produit même l
131
ntative d’hégémonie. Qu’un « grand » État tel que
Zurich
entre en conflit avec l’un de ses petits voisins tel que Schwyz, auss
132
chwyz, aussitôt tous les autres s’unissent contre
Zurich
, qui devient de ce fait le plus faible. Si bien que l’arbitrage qui t
133
ermanent avec leurs voisins immédiats, Lucerne et
Zurich
notamment, qui menaient contre eux une guerre douanière pour le compt
134
qui s’y connaît. Berne a des ambitions à l’ouest,
Zurich
au nord, les Waldstätten et leurs alliés Grisons au sud. En 1512, les
135
épublicaine ne fut renversé qu’en 1848. À Genève,
Zurich
et Bâle, anciennes villes libres et impériales, les bourgeois, sous l
136
t des sermons enflammés du pasteur Breitinger, de
Zurich
, sur le texte de l’Apocalypse : « Parce que tu es tiède et que tu n’e
137
iles acharnées, comme celle de six cantons contre
Zurich
au xve siècle et comme les guerres dites de religion, renouvelées du
138
e se prononce dans les cantons suisses allemands,
Zurich
en tête, qui adoptent l’un après l’autre l’initiative, le référendum
139
. Les plus grandes communes de Suisse, telles que
Zurich
(un demi-million d’habitants), sont en train d’adopter une politique
140
des cités libres comme Berne, ou impériales comme
Zurich
, qui très vite arrondirent leurs domaines dans les campagnes environn
141
ême canton, et la coutume veut que les cantons de
Zurich
, Berne et Vaud, les plus peuplés, aient droit à un siège en tout temp
142
s dans les régions protestantes et urbaines comme
Zurich
, toujours très fortes dans les régions catholiques et agricoles comme
143
ale. Genève a son Jeûne genevois et son Escalade,
Zurich
son Sechseläuten, Bâle son Carnaval, Lucerne sa fête de Sempach, Glar
144
opulations de la Suisse orientale — Saint-Gall et
Zurich
— avaient porté l’industrie textile à son plus haut point de raffinem
145
s pour ses parents, dans un quartier populaire de
Zurich
. À 16 ans, il devient vendeur dans une épicerie en gros. Après quelqu
146
n commando de camions d’épicerie dans les rues de
Zurich
: il ne vend que quelques produits d’usage courant, mais sa marge de
147
uscules typographiques (voir l’école graphique de
Zurich
), se sent complètement dépaysée dans ces sanctuaires où l’or est gasp
148
iteurs humanistes, dont le premier est Frobenius.
Zurich
, avec les réformateurs Zwingli et Bullinger, auxquels se joignent le
149
sa cité qu’une charge de scrutateur du Sénat. De
Zurich
, l’« École suisse », initiée par J. J. Bodmer et J. J. Breitinger, ét
150
Rousseau fonde la pédagogie moderne. Tandis qu’à
Zurich
, qui a vu revivre au milieu du xixe siècle une « école suisse » de r
151
au point sa théorie de la relativité restreinte.
Zurich
n’a pas su retenir ce jeune génie d’allure tranquille mais peu profes
152
ensuite la naissance de Dada au café Voltaire, à
Zurich
encore, et depuis lors cette ville est restée le centre des tentative
153
ciple de Lavater et de l’École suisse de Bodmer à
Zurich
, met en peinture le Serment du Grütli, puis émigre à Londres où il di
154
er, avant de lui passer une première commande92 à
Zurich
, en 1963, et de lui décerner, à Genève, la même année, un titre de do
155
tous très barbus sauf Wagner, chef d’orchestre à
Zurich
, et Liszt, professeur au conservatoire de Genève. Aujourd’hui, les ch
156
que année plus nombreux, au premier rang desquels
Zurich
, qui monte des opéras nouveaux, et Lucerne, qui rassemble les chefs e
157
Havre, d’une famille de commerçants originaire de
Zurich
. À vingt ans, il opta pour la nationalité suisse, parce que sa mère l
158
é. Et au xixe siècle, c’est à partir de Bâle, de
Zurich
et de Genève que l’Europe moderne va découvrir toute la virtù de la R
159
s revues telles que la Neue Schweizer Rundschau à
Zurich
, animée par le grand critique Max Rychner, et plus encore la Revue d
160
ribourg, catholique et bilingue ; celles de Bâle,
Zurich
et Berne, d’origine humaniste et réformée et de langue allemande, mai
161
débuts, à l’égard des innovations religieuses de
Zurich
. L’esprit clérical était prononcé, et ses abus non moins criants qu’e
162
rotestantisme suisse. Les débuts de sa réforme, à
Zurich
, datent de 1518, lorsqu’il déclare, du haut de la chaire, qu’il se pr
163
ce sont les deux villes soumises à son influence,
Zurich
et Berne, qui prendront la tête du parti réformé et soutiendront la l
164
l’étage des docteurs. En voici deux exemples : À
Zurich
, en 1963, un référendum est organisé sur la reconnaissance par l’État
165
nt qu’on lise encore les œuvres du réformateur de
Zurich
, ni même que ses doctrines soient enseignées. Mais il a proposé aux S
166
éenne ont leur siège dans ses villes principales,
Zurich
, Genève et Bâle, à vingt minutes d’avion l’une de l’autre ; Berne res
167
Éducation en Europe » II. 2. 22. Artemis Verlag,
Zurich
1966, p. 152. 23. Voir numéro 3 de cette revue. 24. « Tout ce que n
168
des régions ! L’État-nation contre l’Europe
Zurich
, le 16 septembre 1946 : avec une poignante éloquence, Winston Churchi
169
é d’un centimètre depuis que Churchill (en 1946 à
Zurich
) parlait de son urgence dramatique. La preuve est faite de la foncièr
170
mployais cette formule dans mes cours à Genève et
Zurich
au début de 1967, c’est-à-dire au moment où devaient l’écrire de leur
171
. Il y avait eu enfin, quelques jours plus tard à
Zurich
, le 16 septembre exactement, le discours de Winston Churchill, propos
172
u lac de Wallenstadt à l’est, à travers le lac de
Zurich
, tandis que la Reuss lui amène les eaux des Quatre-Cantons, de Sarnen
173
la première fois Hans Oprecht. Avant la guerre à
Zurich
, avec Silone ? Peut-être bien, puisque la Büchergilde Gutenberg venai
174
réputés sérieux, surtout sur les bords du lac de
Zurich
, comme vous le savez. Vous me demandez si c’est la meilleure voie ? J
175
are, avec Churchill — dans son fameux discours de
Zurich
— qu’il n’y a pas une minute à perdre ! Quel est l’obstacle apparemme
176
urchill avait réclamée dans son grand discours de
Zurich
. C’est de ces deux initiatives indépendantes, et de leur rencontre à
177
1er septembre 1946 d’un discours de Churchill, à
Zurich
. En vérité, Churchill s’était borné à conseiller l’union de la France
178
cerne, par exemple, pour remonter au nord-est par
Zurich
et Munich jusqu’à Bayreuth, revenir à l’ouest par Wiesbaden, Strasbou
179
sées par une grande ville comme Berlin, Vienne ou
Zurich
, capable de puiser dans les ressources dont elle dispose pour sa prop
180
la Pléiade, les élisabéthains, l’École suisse de
Zurich
, Weimar, les lakistes ; — de philosophie : des éléates jusqu’aux logi
181
généraux de l’Europe. Churchill vient de faire à
Zurich
son célèbre discours appelant à l’union tous les peuples du continent
182
s insistant, dès le premier (celui de Churchill à
Zurich
), sur l’urgence vitale de l’affaire ; et un progrès de fait qui évoqu
183
éclare avec Churchill, dans le fameux discours de
Zurich
, qu’il n’y a pas une minute à perdre. Quel est l’obstacle apparemment
184
e des régions ! 39. Le siècle des nations ?
Zurich
, le 16 septembre 1946 : Avec une poignante éloquence, Winston Churchi
185
upart des agences fédérales européennes siègent à
Zurich
, Bâle et Lausanne, Genève restant ville internationale et Berne ville
186
clare, avec Churchill dans son fameux discours de
Zurich
— qu’il n’y a pas une minute à perdre ! Quel est l’obstacle apparemme
187
ois grands courants d’idées Au xviiie siècle,
Zurich
et Bâle, puis Genève, seront les sources de trois grands courants d’i
188
ttres, les sciences, les doctrines politiques. De
Zurich
, « l’École suisse » inspirée par J.-J. Bodmer révolutionne la littéra
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monde ? Il faudrait parler de Dada, qui explose à
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au moment où Lénine s’y prépare à partir en wagon plombé pour la Gare
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remière moitié du xxe siècle. C’est à Berne et à
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qu’Einstein, alors naturalisé suisse, élabora sa première théorie de
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ora sa première théorie de la relativité. C’est à
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qu’au retour de longs séjours chez les Africains C. G. Jung crée les
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la Pléiade, les élisabéthains, l’École suisse de
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, Weimar, les lakistes ; — de philosophie : des éléates jusqu’aux logi
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pour l’Exposition nationale qui devait s’ouvrir à
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l’année suivante. J’étais en train de sortir mes uniformes d’une mall
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is la Genève de Calvin. Ensuite l’École suisse de
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, qui règne au xviie siècle sur les lettres allemandes, puis Bâle de
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guedoc et de la Castille, Genève au xvie siècle,
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au xviiie … On sait le rôle merveilleusement fécondant de petites vil
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nce, la Belgique, la Suisse par-dessus les toits,
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, Sélection du Reader’s Digest, 1972, p. 149-151. Titre donné par l’éd
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’Europe, c’est d’abord une culture », Reformatio,
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, n° 7-8, juillet-août 1973, p. 388-395.
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é par François Bondy dans Der Rest Ist Schreiben,
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, 1972, excellente analyse de la littérature des « engagés et enragés