1 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
1 . j. « Jeunes artistes neuchâtelois », Das Werk, Zurich , vol. 14, avril 1927, p. 123-129.
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
2 titut neuchâtelois pour l’Exposition nationale de Zurich , et dont Arthur Honegger écrivit la musique au fur et à mesure des te
3 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
3 et ce premier cosmopolite : Béat de Muralt. Puis Zurich et l’hégémonie passagère de l’École suisse sur la littérature alleman
4 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
4 « Le seul espoir », Feuille centrale de Zofingue, Zurich , n° 9, juin 1938, p. 469-472.
5 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
5 sciples ou d’amis des réformateurs : Myconius, de Zurich  ; Ritter, de Saint-Gall ; Valerius Anshelm, de Berne (dès 1529) ; Stu
6 réplique en 1526 : Pieux confédérés, Faber adjure Zurich de conserver l’ancienne foi des cantons : mais vous savez très bien q
7 e foi des cantons : mais vous savez très bien que Zurich seule garde le souci de la vieille foi, celle des saints apôtres et d
8 ui sera joué — Dieu voulant ! — à l’Exposition de Zurich . J’ai tenté de réintégrer Nicolas dans l’actualité la plus brûlante d
6 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
9 rofit d’un drame que j’écris pour l’Exposition de Zurich . Je veux mettre en scène un héros suisse, le bienheureux Nicolas de F
7 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
10 ougemont. Elle sera représentée à l’Exposition de Zurich et offerte au public suisse par le canton de Neuchâtel. Il y a quelqu
11 xte si besoin est… Et pourquoi donc ? La scène de Zurich est immense et se trouve dans une salle ouverte. En outre, la scène c
8 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
12 gne des vastes dimensions de la Halle des Fêtes à Zurich . C’était en septembre 1938. L’Europe entière allait mobiliser. Vous v
13 s deux journées neuchâteloises de l’Exposition de Zurich . Mais le mois de septembre 1939 nous apporta la catastrophe que septe
14 horistes et musiciens qui s’étaient préparés pour Zurich . (Compagnie de la Saint-Grégoire, Chorales du Locle et de La Chaux-de
9 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
15 m’offrit d’écrire une pièce pour l’Exposition de Zurich . Je ris un peu de tant de flegme… L’Exposition, d’abord, n’aurait pas
16 rait une scène à étages… C’est justement celle de Zurich  ! Nuit blanche. Trois actes se composent, irrésistiblement, impitoyab
17 es de fait ont joué dans cette création (scène de Zurich , chœurs et fanfares disponibles en pays neuchâtelois). On devine auss
10 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
18 faire le sujet d’un drame, qui sera représenté à Zurich en septembre, et pour lequel Arthur Honegger a composé une importante
19 et traités de Bullinger (successeur de Zwingli à Zurich ) ; de Vadian (Joachim von Watt, réformateur de Saint-Gall et grand hu
11 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
20 ue. Voici les sièges des villes : Lucerne, Berne, Zurich … (Chaque nom est ponctué d’un coup sur le siège.) …Et voici pour les
21 confédérés. Les villes disposent de trois voix : Zurich , Berne, Lucerne. Mais avec leur richesse et leur astuce, cela vaut bi
12 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
22 rouvé suspendu à la veille des représentations de Zurich . Il est donc encore impossible d’estimer la valeur intrinsèque de ce
23 , La Suisse vue à travers l’Exposition nationale, Zurich , Atlantis Verlag, vol. II, 1939, p. 542-545 (dont 2 p. illustrées).
13 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Hommage à C. F. Ramuz (mai 1940)
24 identelles, de centres européens dans un canton : Zurich au xviiie siècle, Coppet, Bâle au temps de Burckhardt et de Nietzsch
14 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
25 ab. « L’heure sévère », Neue Schweizer Rundschau, Zurich , juin 1940, p. 69-75.
15 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
26 qui est mon idée et celle de mon ami Spoerri, de Zurich , et à laquelle je tiens. Elle suit d’ailleurs son chemin malgré les t
27 rnées neuchâteloises de l’Exposition nationale de Zurich et qui ne put être représentée, la guerre ayant éclaté quelques jours
16 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
28 rès ce premier cosmopolite : Béat de Muralt. Puis Zurich et l’hégémonie passagère de l’École suisse sur la littérature alleman
17 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
29 ntons forestiers s’allie aux villes de Lucerne et Zurich  ; puis conquiert avec l’aide de Zurich les pays de Glaris et de Zoug 
30 Lucerne et Zurich ; puis conquiert avec l’aide de Zurich les pays de Glaris et de Zoug ; puis les libère et s’allie avec eux ;
31  ; Berne ensuite noue des liens particuliers avec Zurich , et d’autre part se soumet Vaud et l’Argovie ; etc., etc. Il faudrait
32 dès le temps où les Waldstätten s’unirent contre Zurich qui voulait tout mener. L’intervention fameuse de Nicolas de Flue n’e
18 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
33 ensuelle de l’Office national suisse du tourisme, Zurich , n° 7-8, [juillet-août] 1940, p. 14-15.
19 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
34 ote suivante. Un jour une dame vient le trouver à Zurich , et lui expose son tourment : elle ne pouvait plus se promener dans l
35 e. Jung possède une villa sur les rives du lac de Zurich . Il proposa que la séance eût lieu dans un petit pavillon au bord de
20 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
36 ote suivante. Un jour une dame vient le trouver à Zurich , et lui expose son tourment : elle ne pouvait se promener dans la rue
37 e. Jung possède une villa sur les rives du lac de Zurich . Il proposa que la séance eût lieu dans un petit pavillon au bord de
21 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
38 ote suivante. Un jour une dame vient le trouver à Zurich , et lui expose son tourment : elle ne pouvait se promener dans la rue
39 e. Jung possède une villa sur les rives du lac de Zurich . Il proposa que la séance eût lieu dans un petit pavillon au bord de
22 1946, Combat, articles (1946–1950). Ni secret ni défense (19-20 mai 1946)
40 t cela. En fait, c’est à l’École polytechnique de Zurich que sont nés les travaux d’Einstein. Supposez maintenant que ce petit
23 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
41 ons, jusqu’en 1939, au sujet du régime hitlérien. Zurich et Bâle étaient sans doute les villes d’Europe qui se sentaient les p
42 ompromis imaginable. Je me rappelle ces écoles de Zurich rétablissant l’usage du dialecte cantonal, en haine de l’allemand off
24 1946, Journal des deux mondes. Intermède
43 ne d’elles, vers midi, sur une route au-dessus de Zurich , cette auto militaire qui stoppe à côté de moi, ce jeune lieutenant i
25 1946, Lettres sur la bombe atomique. Ni secret, ni défense
44 t cela. En fait, c’est à l’École polytechnique de Zurich que sont nés les travaux d’Einstein. Supposez maintenant que ce petit
26 1946, Lettres sur la bombe atomique. Ni secret, ni défense
45 t cela. En fait, c’est à l’École polytechnique de Zurich que sont nés les travaux d’Einstein. Supposez maintenant que ce petit
27 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
46 de tous les Suisses. La scène de l’Exposition de Zurich , sans décors ni rideau, 36 mètres de large et 18 mètres de profondeur
28 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
47 -août 1940 Réunion du directoire de la Ligue à Zurich , dans une villa du Zürichberg. Tandis que nous nous dirigeons vers un
29 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
48 ce principe. Chaque fois qu’un des cantons, comme Zurich , ou un groupe de cantons citadins, plus riche ou plus peuplé que les
30 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
49 ns composantes. Les luttes des Waldstätten contre Zurich , puis des cantons campagnards contre les villes, et finalement l’atti
31 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
50 ce principe. Chaque fois qu’un des cantons, comme Zurich , ou un groupe de cantons citadins, plus riche ou plus peuplé que les
32 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
51 urchill avait réclamée dans son grand discours de Zurich . C’est de ces deux initiatives indépendantes, et de leur rencontre à
33 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
52 urchill avait réclamée dans son grand discours de Zurich . C’est de ces deux initiatives indépendantes, et de leur rencontre à
34 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
53 conomies ne sont pas plus disparates que celle de Zurich par exemple, et de ses petits voisins paysans. Les sombres prévisions
35 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
54 onomies ne sont pas plus disparates que celles de Zurich , par exemple, et de ses petits voisins paysans. Les sombres prévision
36 1950, Lettres aux députés européens. Première lettre
55 onomies ne sont pas plus disparates que celles de Zurich , par exemple, et de ses petits voisins paysans. Les sombres prévision
37 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
56 , il faut le redire de toutes les autres, Bâle et Zurich , Berne, Lausanne, Genève… Et le peuple suisse tient à ce pluralisme u
38 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
57 tarda guère à s’allier avec la ville impériale de Zurich , et à conquérir les vallées de Glaris et de Zoug, puis à conclure un
58 e, qui de son côté venait de nouer des liens avec Zurich , et allait bientôt soumettre le pays de Vaud et les plateaux de l’Arg
59 lité l’idéal politique de l’ermite. Nommé curé de Zurich , il commença à introduire des réformes ecclésiastiques analogues à ce
60 nquiet des progrès de la Réforme, voulut attaquer Zurich avec l’aide des cantons du centre, demeurés catholiques, Zwingli fut
61 is les princes luthériens se montrèrent froids. À Zurich même, une opposition croissante se manifestait contre le réformateur.
62 s. Finalement, une armée catholique s’approcha de Zurich . Les protestants désiraient traiter. Zwingli était pour la guerre. À
63 asme devint le centre des imprimeurs humanistes ; Zurich avec Zwingli, le centre de la Réforme suisse ; Genève, avec Calvin, l
64 laquelle ils s’étaient constitués : ainsi firent Zurich pour l’Allemagne du xviiie siècle, et le Coppet de Mme de Staël pour
65 chef-lieu » était une cité de quelque importance, Zurich , Lucerne, Soleure, Berne, Bâle, Fribourg, ainsi que les villes alliée
39 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
66 ême canton, et la coutume veut que les cantons de Zurich , Berne et Vaud, les plus peuplés, aient droit à un siège en tout temp
40 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
67 les protestants chassés du Tessin introduisent à Zurich l’industrie de la soie. Au xviie , les huguenots chassés de France dé
68 riques de machines s’installent dans le canton de Zurich , malgré la résistance de la population. Les cens et les dîmes sont ab
69 pays, et plus particulièrement dans le canton de Zurich . Ces usines ont construit les locomotives et les dynamos les plus pui
70 conservent leur primitivisme, si on les compare à Zurich ou à Bâle, bien qu’il n’y ait plus de frontières ni de restrictions d
41 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
71 s : 0 1 2 3 4 5 6 7 Et plus Ville de Zurich 225 000 protestants 80 000 catholiques 20 000 divers 343 263 213 98
72 mmes mariées, nombre de divorces : Ville de Zurich 8,2 Appenzell Rh.-Int. 0,9 Ville de Genève 9,4 Pour l’ensemble
73 ribourg, catholique et bilingue ; celles de Bâle, Zurich et Berne, allemandes. Si, dans ces conditions, la Confédération avait
74 pende de l’État fédéral, l’École polytechnique de Zurich , soit un institut de recherches et de préparation pratique, dans lequ
75 des principaux journaux de Genève, de Bâle ou de Zurich se sont acquis la réputation de « faire la leçon » au monde entier. À
42 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
76 lande, visitent vers 610 les environs des lacs de Zurich et de Constance, ils trouvent des idoles de Wotan dans les anciennes
77 débuts, à l’égard des innovations religieuses de Zurich . L’esprit clérical était prononcé, et ses abus non moins criants qu’e
78 rotestantisme suisse. Les débuts de sa réforme, à Zurich , datent de 1518, lorsqu’il déclare, du haut de la chaire, qu’il se pr
79 ce sont les deux villes soumises à son influence, Zurich et Berne, qui prendront la tête du parti réformé et soutiendront la l
80 nt qu’on lise encore les œuvres du réformateur de Zurich , ni que ses doctrines soient enseignées. Mais il a proposé aux Suisse
43 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
81 ale. Genève a son Jeûne genevois et son Escalade, Zurich son Sechseläuten, Bâle son Carnaval, Lucerne sa fête de Sempach, Glar
82 it encore l’admiration des classes dirigeantes de Zurich et de Bâle. Pendant la guerre de 14-18, la Suisse neutre fut divisée
44 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
83 1er septembre 1946 d’un discours de Churchill, à Zurich . En vérité, Churchill s’était borné à conseiller l’union de la France
45 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
84 rgondes : société des nations souterraine. Paris, Zurich , Milan sont à une heure d’avion ; Londres, Bruxelles, La Haye, Bonn,
46 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
85 sner », im Gedenkbuch zum achtzigsten Geburtstag, Zurich , 1953.) 84. Le Livre du souvenir, p. 161. 85. Recueilli dans Geist
86 Umgang der Jahre (Commerce des Ans), E. Rentsch, Zurich , 1949. Une bonne partie de ces proverbes étaient écrits avant la guer
47 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
87 ion économique d’un riche canton industriel comme Zurich fut immédiate ; celle d’un pauvre canton rural comme Glarus (son vois
88 le 1915 ; Karl Dändliker, Geschichte der Schweiz, Zurich 1900-1909 ; Johannes Dierauer, Geschichte der Schweizerischen Eidgeno
89 e der Schweiz von den Anfängen bis zur Gegenwart, Zurich 1920 ; Werner Oechsli, Quellenbuch zur Schweizergeschichte, Zurich 19
90 ner Oechsli, Quellenbuch zur Schweizergeschichte, Zurich 1918 ; Hans Nabholz, Geschichte der Schweiz, Zurich 1937. Sur les ori
91 rich 1918 ; Hans Nabholz, Geschichte der Schweiz, Zurich 1937. Sur les origines : Karl Meyer, Ueber die Einwirkung des Gotthar
92 chtsfreund », t. 74, 1924 ; id., Die Urschweizer, Zurich 1927 ; id., Der älteste Schweizerbund, dans « Revue d’Histoire suisse
93 d Wandlung moderner Staatstheorie in der Schweiz, Zurich , 1916 ; William Martin, Histoire de la Suisse, Paris 1930 ; Gonzague
94 n ! 26. Ernest Gagliardi, Histoire de la Suisse, Zurich , 1925, I, p. 79. k. « Une expérience de fédéralisme : la Suisse », L
48 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
95 s, qu’il rencontre au château de Zizzers, près de Zurich — Retinger aboutit à la conclusion qu’en dépit de ce que souhaitent C
96 ar Churchill à la suite de son fameux discours de Zurich , et à sa contrepartie sur le continent : le Comité français pour l’Eu
49 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
97 t été l’auteur du code civil de son canton natal, Zurich , avant de devenir à Heidelberg l’un des plus célèbres professeurs de
50 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
98 on. 278. Dans une conférence à l’Université de Zurich , nov. 1922. Cf. Variété I, Gallimard, Paris, 1924. 279. Dans un bref
51 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
99 tres se font entendre. Ainsi Winston Churchill, à Zurich , le 16 septembre 1946, propose « une sorte d’États-Unis d’Europe325 :
52 1962, Articles divers (1957-1962). Journal d’un témoin (23-24 juin 1962)
100 n nationale, Theophil Spoerri, de l’Université de Zurich , parle de la Suisse romande, moi de la Suisse alémanique. En sortant
53 1962, Articles divers (1957-1962). La conjuration des officiers en juin 1940 : Journal d’un témoin III (26 juin 1962)
101 Mi-août 1940 Réunion du Directoire de la Ligue à Zurich , dans une villa de l’Utliberg. Tandis que nous nous dirigeons vers un
54 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe est un colosse qui s’ignore (encore) (27 juin 1962)
102 mais féconde, marquée tout au début, à Lyon et à Zurich , par les révoltes ouvrières contre les machines à tisser, puis contre
55 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
103 généraux de l’Europe. Churchill vient de faire à Zurich son célèbre discours appelant à l’union tous les peuples du continent
56 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
104 mais féconde, marquée tout au début, à Lyon ou à Zurich , par les révoltes ouvrières contre les machines à tisser, puis contre
57 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
105 t Théodore de Bèze, Bâle, avec Érasme et Holbein, Zurich avec Zwingli, sont les trois premiers foyers de rayonnement européen
106 plus que nul autre la sensibilité occidentale. De Zurich au début du xviiie siècle, rayonne l’école suisse du doyen Bodmer pu
107 ner et des spéculations mystiques de Lavater ; et Zurich devient le foyer d’une renaissance de la littérature dans les Allemag
108 c’est le tour de Genève, une fois de plus, et de Zurich tôt après, d’où rayonnent sur l’Europe entière et l’Amérique l’Instit
58 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
109 s plus riche ou plus peuplé que les autres, comme Zurich , ou un groupe de cantons coalisés au nom de leurs intérêts particulie
110 ation ont leur siège dans ses villes principales, Zurich , Bâle, Genève. Elles sont placées sous la protection de l’armée suiss
59 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Enquête sur l’enseignement civique dans les pays européens [Avant-propos] (mai 1963)
111 ges vont avoir lieu en 1963, à Tutzing (mai) et à Zurich (octobre). Entre-temps, les réponses à l’enquête étaient parvenues au
60 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
112 (1879). Auteur du Code civil de son canton natal, Zurich , Bluntschli connaît les mécanismes de notre vie civique : il n’hésite
113 éenne ont leur siège dans ses villes principales, Zurich , Genève et Bâle, à vingt minutes d’avion l’une de l’autre ; Berne res
61 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Campagne pour l’Europe des citoyens (septembre 1964)
114 urageants ; que ce soit à Bruxelles, à Tutzing, à Zurich , à La Haye, à Oosterbeek, à Calw, l’accueil le plus bienveillant a ét
62 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
115 (1879). Auteur du Code civil de son canton natal, Zurich , Bluntschli connaît les mécanismes de notre vie confédérale : il n’hé
116 er « une sorte de lien fédéral » a été prononcé à Zurich un an plus tôt. Cette idée aussitôt adoptée par les leaders de l’UEF
63 1964, Articles divers (1963-1969). Les arts dans la vie en Suisse (1964)
117 nt mutuellement. L’un voudra se faire connaître à Zurich , puis à Munich, Vienne et Berlin, et l’autre d’abord à Paris. Tous de
118 ts dans la vie en Suisse », Les Arts dans la vie, Zurich , Exposition nationale suisse, Nouvelle Société helvétique, 1964, 2 p.
64 1965, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe et le monde [Introduction] (février 1965)
119 rre franco-allemande : le discours de Churchill à Zurich , en 1946, le dit expressément. Et tout cela conduisit à la création d
65 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
120 uscules typographiques (voir l’école graphique de Zurich ) se sent complètement dépaysée dans ces sanctuaires où l’or est gaspi
66 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
121 re de duc de Zähringen et l’avouerie impériale de Zurich , dont le couvent de Fraumünster possède la suzeraineté de la vallée d
122 ar les hauts rochers des Mythen, le débouché vers Zurich et la Souabe. À l’ouest, les collines et vallées de l’Obwald et du Ni
123 impériales » Soleure, Schaffhouse, Saint-Gall et Zurich .
67 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « La Suisse est née de la révolte de pâtres libertaires contre le despote autrichien »
124 rvitude, et qui au surplus vient d’Argovie, ou de Zurich , par la seule grâce du comte Rodolphe. Seul, ce second motif de résis
125 ême année, le 16 octobre — un premier traité avec Zurich  — les noms des chefs qui dirigeaient alors la politique des trois val
126 famille avait acquis de l’abbaye de Fraumünster à Zurich , la charge d’intendant pour la vallée d’Uri : ces Erstfeld, à leurs d
127 e moitié du xive siècle que les villes de Berne, Zurich , Soleure et Zoug concluent une alliance contre Léopold III et que la
68 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Le pacte de 1291 a fondé la Suisse »
128 ue canton n’est pas allié avec tous les autres. ( Zurich , par exemple, était allié aux six cantons du centre d’une part, à Ber
129 u’à la Suisse actuelle. En 1351, la cité libre de Zurich conclut un pacte avec Lucerne et les Waldstätten, mais réserve son dr
130 s cantons primitifs et les villes protestantes de Zurich et de Berne paralyse l’extension normale des Ligues et produit même l
131 ntative d’hégémonie. Qu’un « grand » État tel que Zurich entre en conflit avec l’un de ses petits voisins tel que Schwyz, auss
132 chwyz, aussitôt tous les autres s’unissent contre Zurich , qui devient de ce fait le plus faible. Si bien que l’arbitrage qui t
69 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Ce « petit peuple pacifique… »
133 ermanent avec leurs voisins immédiats, Lucerne et Zurich notamment, qui menaient contre eux une guerre douanière pour le compt
134 qui s’y connaît. Berne a des ambitions à l’ouest, Zurich au nord, les Waldstätten et leurs alliés Grisons au sud. En 1512, les
70 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
135 épublicaine ne fut renversé qu’en 1848. À Genève, Zurich et Bâle, anciennes villes libres et impériales, les bourgeois, sous l
71 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Un pays traditionnellement neutre »
136 t des sermons enflammés du pasteur Breitinger, de Zurich , sur le texte de l’Apocalypse : « Parce que tu es tiède et que tu n’e
72 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
137 iles acharnées, comme celle de six cantons contre Zurich au xve siècle et comme les guerres dites de religion, renouvelées du
138 e se prononce dans les cantons suisses allemands, Zurich en tête, qui adoptent l’un après l’autre l’initiative, le référendum
73 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
139 . Les plus grandes communes de Suisse, telles que Zurich (un demi-million d’habitants), sont en train d’adopter une politique
140 des cités libres comme Berne, ou impériales comme Zurich , qui très vite arrondirent leurs domaines dans les campagnes environn
141 ême canton, et la coutume veut que les cantons de Zurich , Berne et Vaud, les plus peuplés, aient droit à un siège en tout temp
142 s dans les régions protestantes et urbaines comme Zurich , toujours très fortes dans les régions catholiques et agricoles comme
143 ale. Genève a son Jeûne genevois et son Escalade, Zurich son Sechseläuten, Bâle son Carnaval, Lucerne sa fête de Sempach, Glar
74 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
144 opulations de la Suisse orientale — Saint-Gall et Zurich  — avaient porté l’industrie textile à son plus haut point de raffinem
145 s pour ses parents, dans un quartier populaire de Zurich . À 16 ans, il devient vendeur dans une épicerie en gros. Après quelqu
146 n commando de camions d’épicerie dans les rues de Zurich  : il ne vend que quelques produits d’usage courant, mais sa marge de
75 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
147 uscules typographiques (voir l’école graphique de Zurich ), se sent complètement dépaysée dans ces sanctuaires où l’or est gasp
148 iteurs humanistes, dont le premier est Frobenius. Zurich , avec les réformateurs Zwingli et Bullinger, auxquels se joignent le
149 sa cité qu’une charge de scrutateur du Sénat. De Zurich , l’« École suisse », initiée par J. J. Bodmer et J. J. Breitinger, ét
150 Rousseau fonde la pédagogie moderne. Tandis qu’à Zurich , qui a vu revivre au milieu du xixe siècle une « école suisse » de r
151 au point sa théorie de la relativité restreinte. Zurich n’a pas su retenir ce jeune génie d’allure tranquille mais peu profes
152 ensuite la naissance de Dada au café Voltaire, à Zurich encore, et depuis lors cette ville est restée le centre des tentative
153 ciple de Lavater et de l’École suisse de Bodmer à Zurich , met en peinture le Serment du Grütli, puis émigre à Londres où il di
154 er, avant de lui passer une première commande92 à Zurich , en 1963, et de lui décerner, à Genève, la même année, un titre de do
155 tous très barbus sauf Wagner, chef d’orchestre à Zurich , et Liszt, professeur au conservatoire de Genève. Aujourd’hui, les ch
156 que année plus nombreux, au premier rang desquels Zurich , qui monte des opéras nouveaux, et Lucerne, qui rassemble les chefs e
157 Havre, d’une famille de commerçants originaire de Zurich . À vingt ans, il opta pour la nationalité suisse, parce que sa mère l
158 é. Et au xixe siècle, c’est à partir de Bâle, de Zurich et de Genève que l’Europe moderne va découvrir toute la virtù de la R
159 s revues telles que la Neue Schweizer Rundschau à Zurich , animée par le grand critique Max Rychner, et plus encore la Revue d
160 ribourg, catholique et bilingue ; celles de Bâle, Zurich et Berne, d’origine humaniste et réformée et de langue allemande, mai
161 débuts, à l’égard des innovations religieuses de Zurich . L’esprit clérical était prononcé, et ses abus non moins criants qu’e
162 rotestantisme suisse. Les débuts de sa réforme, à Zurich , datent de 1518, lorsqu’il déclare, du haut de la chaire, qu’il se pr
163 ce sont les deux villes soumises à son influence, Zurich et Berne, qui prendront la tête du parti réformé et soutiendront la l
164 l’étage des docteurs. En voici deux exemples : À Zurich , en 1963, un référendum est organisé sur la reconnaissance par l’État
165 nt qu’on lise encore les œuvres du réformateur de Zurich , ni même que ses doctrines soient enseignées. Mais il a proposé aux S
76 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
166 éenne ont leur siège dans ses villes principales, Zurich , Genève et Bâle, à vingt minutes d’avion l’une de l’autre ; Berne res
77 1967, Articles divers (1963-1969). Le civisme européen : notes pour un « Petit Livre rouge » (été 1967)
167 Éducation en Europe » II. 2. 22. Artemis Verlag, Zurich 1966, p. 152. 23. Voir numéro 3 de cette revue. 24. « Tout ce que n
78 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
168 des régions ! L’État-nation contre l’Europe Zurich , le 16 septembre 1946 : avec une poignante éloquence, Winston Churchi
79 1968, Articles divers (1963-1969). Vingt ans après La Haye : où en est l’Europe ? (mai 1968)
169 é d’un centimètre depuis que Churchill (en 1946 à Zurich ) parlait de son urgence dramatique. La preuve est faite de la foncièr
170 mployais cette formule dans mes cours à Genève et Zurich au début de 1967, c’est-à-dire au moment où devaient l’écrire de leur
80 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
171 . Il y avait eu enfin, quelques jours plus tard à Zurich , le 16 septembre exactement, le discours de Winston Churchill, propos
81 1969, Articles divers (1963-1969). De l’Aar à l’Europe (1969)
172 u lac de Wallenstadt à l’est, à travers le lac de Zurich , tandis que la Reuss lui amène les eaux des Quatre-Cantons, de Sarnen
82 1969, Articles divers (1963-1969). Toujours disponible (1969)
173 la première fois Hans Oprecht. Avant la guerre à Zurich , avec Silone ? Peut-être bien, puisque la Büchergilde Gutenberg venai
83 1970, Articles divers (1970-1973). Ce que la Suisse peut apporter à l’Europe (19 mars 1970)
174 réputés sérieux, surtout sur les bords du lac de Zurich , comme vous le savez. Vous me demandez si c’est la meilleure voie ? J
84 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
175 are, avec Churchill — dans son fameux discours de Zurich — qu’il n’y a pas une minute à perdre ! Quel est l’obstacle apparemme
85 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Le mouvement européen
176 urchill avait réclamée dans son grand discours de Zurich . C’est de ces deux initiatives indépendantes, et de leur rencontre à
86 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Sur la fabrication des nouvelles et des faits
177 1er septembre 1946 d’un discours de Churchill, à Zurich . En vérité, Churchill s’était borné à conseiller l’union de la France
87 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — L’Europe, l’été…
178 cerne, par exemple, pour remonter au nord-est par Zurich et Munich jusqu’à Bayreuth, revenir à l’ouest par Wiesbaden, Strasbou
179 sées par une grande ville comme Berlin, Vienne ou Zurich , capable de puiser dans les ressources dont elle dispose pour sa prop
88 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Fécondité des études régionales
180 la Pléiade, les élisabéthains, l’École suisse de Zurich , Weimar, les lakistes ; — de philosophie : des éléates jusqu’aux logi
89 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
181 généraux de l’Europe. Churchill vient de faire à Zurich son célèbre discours appelant à l’union tous les peuples du continent
182 s insistant, dès le premier (celui de Churchill à Zurich ), sur l’urgence vitale de l’affaire ; et un progrès de fait qui évoqu
90 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
183 éclare avec Churchill, dans le fameux discours de Zurich , qu’il n’y a pas une minute à perdre. Quel est l’obstacle apparemment
91 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
184 e des régions ! 39. Le siècle des nations ? Zurich , le 16 septembre 1946 : Avec une poignante éloquence, Winston Churchi
185 upart des agences fédérales européennes siègent à Zurich , Bâle et Lausanne, Genève restant ville internationale et Berne ville
92 1970, L’Un et le Divers ou la Cité européenne. II. La Cité européenne
186 clare, avec Churchill dans son fameux discours de Zurich — qu’il n’y a pas une minute à perdre ! Quel est l’obstacle apparemme
93 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
187 ois grands courants d’idées Au xviiie siècle, Zurich et Bâle, puis Genève, seront les sources de trois grands courants d’i
188 ttres, les sciences, les doctrines politiques. De Zurich , « l’École suisse » inspirée par J.-J. Bodmer révolutionne la littéra
189 monde ? Il faudrait parler de Dada, qui explose à Zurich au moment où Lénine s’y prépare à partir en wagon plombé pour la Gare
190 remière moitié du xxe siècle. C’est à Berne et à Zurich qu’Einstein, alors naturalisé suisse, élabora sa première théorie de
191 ora sa première théorie de la relativité. C’est à Zurich qu’au retour de longs séjours chez les Africains C. G. Jung crée les
94 1971, Articles divers (1970-1973). Les régions et la civilisation (mars 1971)
192 la Pléiade, les élisabéthains, l’École suisse de Zurich , Weimar, les lakistes ; — de philosophie : des éléates jusqu’aux logi
95 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
193 pour l’Exposition nationale qui devait s’ouvrir à Zurich l’année suivante. J’étais en train de sortir mes uniformes d’une mall
96 1971, Articles divers (1970-1973). L’Europe est d’abord une unité de culture (1971)
194 is la Genève de Calvin. Ensuite l’École suisse de Zurich , qui règne au xviie siècle sur les lettres allemandes, puis Bâle de
97 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
195 guedoc et de la Castille, Genève au xvie siècle, Zurich au xviiie … On sait le rôle merveilleusement fécondant de petites vil
98 1972, Articles divers (1970-1973). Forteresse au centre de l’Europe : la Suisse (1972)
196 nce, la Belgique, la Suisse par-dessus les toits, Zurich , Sélection du Reader’s Digest, 1972, p. 149-151. Titre donné par l’éd
99 1973, Articles divers (1970-1973). L’Europe, c’est d’abord une culture (juillet-août 1973)
197 ’Europe, c’est d’abord une culture », Reformatio, Zurich , n° 7-8, juillet-août 1973, p. 388-395.
100 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). « L’écrivain engagé, tel que je l’imagine et l’appelle »
198 é par François Bondy dans Der Rest Ist Schreiben, Zurich , 1972, excellente analyse de la littérature des « engagés et enragés