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on n’a pas attendu les éclaircissements du subtil
abbé
pour n’y plus rien comprendre. ⁂ Qu’on imagine un personnage de table
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t a voulu faire… Comme je citais cette page à un
abbé
fort écouté, dont les travaux marient avec aisance théologie et human
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in oncle à lui, qu’il appelle l’abbé Bazin. « Cet
abbé
mourut, nous dit-il, persuadé que tous les savants peuvent se tromper
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chers fils. Un autre assistant. — Dis donc, l’
abbé
, des fois, c’est pas lui qui remplit ta cave, et gratis ! Un 3e as
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Oh ! moi, je ne suis pas du pays. Monseigneur l’
abbé
d’Einsiedeln est arrivé ici hier soir, avec une suite brillante et no
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n héraut (précédant le cortège). — Monseigneur l’
abbé
d’Einsiedeln et sa suite saluent le frère Claus et lui demandent sa b
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urquoi êtes-vous venus dans cette solitude ? L’
abbé
. — Notre cœur brûlait du désir de voir l’homme dont on parle tant. S
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du pain du ciel, à la très sainte communion. L’
abbé
. — Comment une telle merveille est-elle possible ? Nicolas. — Di
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elui qui mange ma chair en sera rassasié » ? L’
abbé
. — Tu n’éprouves donc aucun besoin du corps ? Nicolas. — D’autre
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plus grand que nous qui peut nous éclairer. L’
abbé
. — Tu es rude, frère Claus, comme les vrais montagnards. Mais nous s
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juges et les faux témoins, les faux prêtres, faux
abbés
, fausses recluses et faux reclus85 ». Ils seront détruits, « soumis à
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juges et les faux témoins, les faux prêtres, faux
abbés
, fausses recluses et faux reclus »77. Ils seront détruits, « soumis à
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c’est précisément à Einsiedeln que Zwingli, jeune
abbé
passionné d’humanisme et « chapelain acolyte » du pape, apprend en 15
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juges et les faux témoins, les faux prêtres, faux
abbés
, fausses recluses et faux reclus »27. Ils seront détruits « soumis à
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pages sur l’Europe par Gonzague de Reynold. M. l’
abbé
Pfulg a demandé à notre directeur de bien vouloir écrire le chapitre
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s autorités scolaires et sous la conduite de M. l’
abbé
Pfulg, inspecteur de l’enseignement, le CEC a organisé : — une enquêt
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tié qui liait Da Ponte et Casanova au moment où l’
abbé
écrivit son livret, la visite que les deux compères firent à Mozart,
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tié qui liait Da Ponte et Casanova au moment où l’
abbé
écrivit son livret, la visite que les deux compères firent alors à Mo
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aits qui rendent justice aux idées positives de l’
abbé
ou qui en dégagent l’originalité. Cependant, pour leur intérêt histor
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occasion singulière qui inspira son projet au bon
abbé
. Au cours d’un voyage en Normandie, durant l’hiver 1706-1707, sa voit
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ne. Voyons maintenant les chemins nouveaux que l’
abbé
s’efforça d’ouvrir. Préface98 … Il y a environ quatre ans qu’après
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« l’utopie ».et les « chimères » de son Projet, l’
abbé
avait écrit avec une sobre lucidité : Je conviens qu’il se peut bien
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s qui réussiront aussi aisément que celui de M. l’
abbé
de Saint-Pierre, mais puisqu’il est permis de faire des romans, pourq
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re les princes. On en revient donc aux plans de l’
abbé
. En Allemagne c’est le Dr Eobald Toze qui reprend l’idée dans Die all
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rojets d’« Henry IV » (Sully), de Goudet, et de l’
abbé
, et les juges irréalistes, parce que contraires au principe triomphan
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islas Leczinski critique lui aussi le Projet de l’
abbé
, et propose que le roi de France prenne la tête d’une union des répub
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s qui réussiront aussi aisément que celui de M. l’
abbé
de Saint-Pierre, mais puisqu’il est permis de faire des romans, pourq
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urtoisie, mais non sans scepticisme. Il écrit à l’
abbé
, en 1715 : J’ai fait enfin quelque effort pour me tirer à l’écart e
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e : Extrait du Projet de paix perpétuelle de M. l’
abbé
de Saint-Pierre, par J. J. Rousseau, citoyen de Genève. Au début, l’é
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sumé du Projet, il ironise sur la confiance que l’
abbé
semblait mettre en un congrès des nations : Il se forme de temps en
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suivants. Suit un long résumé des 23 tomes de l’
abbé
, suivi de cette conclusion justement célèbre : L’établissement de la
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usseau formule des critiques plus sévères. Pour l’
abbé
, c’est aux princes souverains qu’il appartient de convoquer le Congrè
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. L’Extrait du Projet de paix perpétuelle de M. l’
abbé
de Saint-Pierre, par J.-J. Rousseau, citoyen de Genève parut à Amster
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c’est précisément à Einsiedeln que Zwingli, jeune
abbé
passionné d’humanisme et « chapelain acolyte » du pape, apprend en 15
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s de passage, d’un vieil officier de marine, d’un
abbé
italien, d’un journaliste de Paris, d’un Belge exalté et d’un négocia
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et de ses lettres galantes à la reine Radegonde,
abbesse
du monastère de la Sainte-Croix de Poitiers, jusqu’à la propre tante
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inouïe et qui surpasse encore celle de donner à l’
abbesse
le pouvoir supérieur non seulement sur les religieuses (comme Héloïse
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peu « relevées » que possible, instituant pour «
abbesse
» la plus experte. Seconde réaction, selon Bezzola : une sourde crise
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Saint-Martial de Limoges. Or il se trouve que « l’
abbé
laïque » de Saint-Martial n’est autre que Guillaume, septième comte d
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ngt esclaves musulmans d’Espagne sont reçus par l’
abbé
, qui en retient deux à son service, et confie les autres à de grands
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e Tristan châtié et repenti à cette Iseut devenue
abbesse
malgré elle, mais qui s’en tient avec obstination à sa morale du cœur
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omte de Neuchâtel en 1360. On trouve également un
abbé
de Rougemont, à Neuchâtel, en 1372. Quand la ville était principauté