1 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
1 ominant après la Réforme et tout au long de l’ère absolutiste , ère de la formation des États souverains, du xvie au xviiie siècle
2 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
2 ineté sans limites, constituée pendant la période absolutiste , et reprise par le xixe siècle des nationalismes. Il faudrait voir,
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
3 ins une idée exaltante. Rousseau fuyant la France absolutiste court vers « la Suisse » pour y trouver refuge : En entrant sur le t
4 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
4 ssibilité de l’agora ou du forum, auquel l’époque absolutiste a déjà substitué, dans nos capitales, des espaces géométriques social
5 avec l’avènement des grandes villes de la société absolutiste , puis de la société industrielle, par suite de l’accroissement des po
5 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). I. Alpbach : le trentième anniversaire du Forum européen
6 rte du Nouveau Monde ; — la culture de la société absolutiste et la philosophie européenne bouleversées par la Révolution française
6 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
7 , plutôt que « du pouvoir centralisé de la France absolutiste  », de « l’expérience anarchiste des Hurons », voire de l’idée que se
7 1988, Inédits (extraits de cours). État-nation
8 e est là en puissance. Le comble de la prétention absolutiste se manifeste donc dès le début de l’apparition de l’État moderne. Le