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ominant après la Réforme et tout au long de l’ère
absolutiste
, ère de la formation des États souverains, du xvie au xviiie siècle
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ineté sans limites, constituée pendant la période
absolutiste
, et reprise par le xixe siècle des nationalismes. Il faudrait voir,
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ins une idée exaltante. Rousseau fuyant la France
absolutiste
court vers « la Suisse » pour y trouver refuge : En entrant sur le t
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ssibilité de l’agora ou du forum, auquel l’époque
absolutiste
a déjà substitué, dans nos capitales, des espaces géométriques social
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avec l’avènement des grandes villes de la société
absolutiste
, puis de la société industrielle, par suite de l’accroissement des po
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rte du Nouveau Monde ; — la culture de la société
absolutiste
et la philosophie européenne bouleversées par la Révolution française
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, plutôt que « du pouvoir centralisé de la France
absolutiste
», de « l’expérience anarchiste des Hurons », voire de l’idée que se
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e est là en puissance. Le comble de la prétention
absolutiste
se manifeste donc dès le début de l’apparition de l’État moderne. Le