1 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
1 minces cahiers les pittoresques invectives ou les abyssales logomachies dialectiques qui font le charme des revues communistes. R
2 1934, Politique de la personne. Appendice — 3. Groupements personnalistes
2 minces cahiers les pittoresques invectives ou les abyssales logomachies dialectiques qui font le charme des revues communistes. R
3 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
3 oser clairement, sans la trahir, la dialectique «  abyssale  » de cette œuvre. Personne n’a fait plus que Jean Wahl pour faire con
4 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
4 l’invraisemblable, de la vérité mystérieuse, de l’ abyssale originalité qui est pour chacun ce qu’il a de plus réel, de plus inex
5 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
5 oute leur volonté profonde, et plus que profonde, abyssale . Qui donc oserait avouer qu’il veut la Mort ? et qu’il déteste le Jou
6 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
6 âme avide de tortures transfigurantes, de la nuit abyssale où l’éclair de l’amour illumine parfois une face immobile et fascinan
7 t la tristesse métaphysique. C’est la dialectique abyssale de l’hérésie manichéenne, le renversement perpétuel du jour en Nuit e
7 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
8 oute leur volonté profonde, et plus que profonde, abyssale . Qui donc oserait avouer qu’il veut la Mort ? et qu’il déteste le Jou
8 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
9 âme avide de tortures transfigurantes, de la nuit abyssale où l’éclair de l’amour illumine parfois une face immobile et fascinan
10 t la tristesse métaphysique. C’est la dialectique abyssale de l’hérésie manichéenne, le renversement perpétuel du jour en Nuit e
9 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
11 oute leur volonté profonde, et plus que profonde, abyssale . Qui donc oserait avouer qu’il veut la Mort ? qu’il déteste le Jour q
10 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
12 âme avide de tortures transfigurantes, de la nuit abyssale où l’éclair de l’amour illumine parfois une face immobile et fascinan
13 t la tristesse métaphysique. C’est la dialectique abyssale de l’hérésie manichéenne, le renversement perpétuel du jour en Nuit e
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Troisième partie. L’été parisien
14 l’invraisemblable, de la vérité mystérieuse, de l’ abyssale originalité qui est pour chacun ce qu’il a de plus réel, de plus inex
12 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
15 lité d’une guerre « nationale » aujourd’hui, et l’ abyssale aberration d’une guerre « idéologique » de dévastation mutuelle et ma