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rudence mais aussi de lucidité. Séduit par Gide ;
admirant
Maurras sans l’aimer ; saluant en Valéry une réussite unique mais pre
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s, me paraît particulièrement improbable. Tout en
admirant
à chaque page l’ingéniosité et la science de M. Goguel, on se sent pa
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evraient se garder d’affadir une telle œuvre, n’y
admirant
à leur coutume qu’une « fantaisie gratuite » de l’art. Nul doute que
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il est clair que leur force est là, et qu’en les
admirant
, en les enviant, nous sommes précisément en train de perdre ce qu’ils
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pouvoir conserver des privilèges hérités, tout en
admirant
et soutenant des chefs brutaux qui les bernaient pour mieux les détro
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pouvoir conserver des privilèges hérités, tout en
admirant
et soutenant des chefs brutaux qui les bernaient pour mieux les détro
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il est clair que leur force est là, et qu’en les
admirant
, en les enviant, nous sommes précisément en train de perdre ce qu’ils
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evraient se garder d’affadir une telle œuvre, n’y
admirant
à leur coutume qu’une fantaisie « gratuite » de l’imagination. Nul do
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ttérature. (Mais il s’en détachait visiblement, n’
admirant
plus, avec quelque ferveur, que les ouvrages qu’il se sentait le plus
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ttérature. (Mais il s’en détachait visiblement, n’
admirant
plus, avec quelque ferveur, que les ouvrages qu’il se sentait le plus
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soleil les inondait de chaleur et de lumière, en
admirant
ces merveilleux enfants… Songe merveilleux, sublime aberration de l’h